municipales 2008
Conseil municipal du 12 novembre 2007 : CECCON toujours...
Mais je retiendrai une autre information dans les échanges. Suite au rappel par le Maire des marchés passés par la Ville, j'ai débusqué le fait que 100% des marchés avaient été attribués à l'entreprise CECCON. Interrogé par le Maire, M. CROSET adjoint UMP et président de la commission d'appels d'offres devait déclarer que c'était le cas parce que CECCON était souvent le seul à répondre à l'appel d'offres.
Qui peut croire que ce ne soit que le fruit du hasard ?
Comment expliquer que dans une ville de 50 000 habitants seule une entreprise récupère tous les marchés publics et qu'aucune autre entreprise ne vienne se positionner en concurrence ?
Les deux marchés de VRD et de batiment évoqués lors du conseil devaient également tomber dans l'escarcelle de CECCON...
Bizarre autant qu'étrange.

Plan communal de sauvegarde
J'ai profité du conseil municipal pour interpeller le conseil municipal sur les lacunes les plus graves en ce domaine.
Je reproduis le texte de mon intervention et les réponses de JLR.
Il est des risques que l'on ne peut éviter comme le risque sismique auquel ANNECY est confrontée, mais contre lequel aucune mesure de prévention n'existe : il faut alors anticiper sur les conséquences de ce risque inéluctable. Nous le faisons depuis de longues années.
En revanche, concernant les risques industriels ou technologiques, nous sommes en capacité d'empêcher leur survenance par un contrôle efficace des installations et par des mesures précises de prévention des risques à l'intérieur même des entreprises concernées.
Suite à la catastrophe d'AZF, un renforcement de la législation a été votée à l'initiative de Yves COCHET, alors ministre de l'écologie. Sa philosophie est celle que je viens de citer. Mais l'application sur le terrain laisse gravement à désirer.
TUMBACH vient de recevoir une nouvelle mise en demeure du Préfet pour ne pas avoir respecté son arrêté préfectoral : cela ne changera rien; il est manifestement assuré de la plus complète compréhension de la part des autorités de l'Etat. Jusqu'à l'incendie majeur qui finira par arriver...
La Société industrielle du combustible nucléaire (SICN) a fonctionné quarante ans sans véritable suivi et dans l'opacité la plus complète, fondant et usinant des milliers de tonnes d'uranium en plein coeur de la ville. Les difficultés soulevées par son démantèlement sont devenues tout à coup fort complexes après que les VERTS aient dénoncé une pollution résiduelle considérable. Où en est on de ce dossier ?
Réponse de Jean Luc RIGAUT : AREVA n'a pas encore finalisé le projet de démantèlement pour le site SICN; la Ville n'accordera le permis de démolir que lorsque ce démantèlement aura été validé par la DRIRE et après une information large de la population sur cette opération.
Le Groupement pétrolier de la HAUTE SAVOIE (GPHS) devrait être suivi par une commission locale d'information et de contrôle (CLIC) : je n'ai jamais vu de compte rendu de ses réunions, et ignore même si elle a été créée et qui
y siège... Le POI doit être mis à jour tous les trois ans : le dernier date de Juillet 2003, nous sommes en novembre 2007. Le PPI est en deçà de ce qui existait auparavant puisqu'il était prévu
de réaliser des exercices d'évacuation. Or, dans le nouveau document, aucun exercice n'est prévu. Compte tenu de l'ampleur prévisible d'un incendie avec effet BLEVE et boules de feu projetées à
des dizaines de mètres à la ronde, seul une exercice grandeur réelle peut sensibiliser la population et permettre d'acquérir les « réflexes » prévus à notre plan communal. Croyez vous
vraiment que la population est prête sans exercice à se rendre sans difficultés au centre culturel et sportif des BALMETTES ?
Un séisme de grande ampleur provoquant une rupture des citernes du GPHSne doit pas nous laisser sans préparation.
Réponse de Jean Luc RIGAUT : Je suis d'accord pour interpeller le Préfet sur cette question afin de réaliser un exercice d'évacuation, cela est cohérent avec la création d'une « culture du risque ».
Le danger nucléaire.
Grâce aux VERTS, ce que souhaitaient l'époque Bernard BOSSON et Pierre HERISSON, c'est à dire la fermeture de SUPERPHENIX à CREYS MALVILLE a été obtenu. C'était le risque nucléaire majeur pour la Ville. Reste la centrale nucléaire du BUGEY, dans l'AIN à 100 kilomètres d'ANNECY seulement avec ses quatre réacteurs de 900 MW. En ce domaine, le manque de transparence a continué comme au meilleur temps d'avant TCHERNOBYL, tandis que le risque nucléaire est en plein essor avec le mauvais entretien des centrales de l'EUROPE de l'EST, les centrales nucléaires japonaises qui ne résistent pas aux séismes nippons – la plus grosse centrale est à l'arrêt pour au moins deux ans à la suite d'un séisme-. Mais également le laxisme des exploitants privés comme on l'a vu en SUEDE et en ALLEMAGNE.
Dans ce contexte, la Ville doit se donner les moyens d'alerter la population locale en cas d'accident nucléaire, par l'installation d'une balise de mesure de la radioactivité.
Cette installation cofinancée par le Conseil régional RHONE ALPES pourrait être inscrite au Budget 2008 de la Ville.
Réponse de Jean Luc RIGAUT : J'ai perdu de vue l'avancement de ce dossier. On fait le point prochainement avec les autres collectivités intéressées : agglomération & conseil général.
Plan local de l'habitat, le durable et la récup...
A force de pressions, et de rappels moraux, il a obtenu que les communes de l'agglo remplissent plus ou moins les objectifs fixés.
Les "mauvais élèves" sont toujours les mêmes: ceux qui répugnent à voir s'installer dans leur commune des personnes moins aisées.
Comme aimait à le rappeler Bernard BOSSON, ANNECY LE VIEUX a choisi d'appliquer la loi LITTORAL sur l'ensemble de son territoire pour se créer un motif de refus de construire du logement aidé.
Mais revenons au débat. D'abord un constat partagé : " un vieillissemet de la population, la diminution de la taille des ménages, la stagnation des revenus".
Ludovic BANET, conseiller municipal UMP, en charge du logement à l'agglo y suggère de "favoriser la mixité sociale et le développement durable. Il propose que les opérations répondant à cet objectif bénéficient de financements bonifiés." .
Et là, je suis tombé de ma chaise en le lisant car c'est exactement la proposition que j'ai faite depuis des années, et qui n'a jamais été retenue par l'exécutif !
De la vraie récupération politique !
J'ai proposé depuis longtemps de garantir de manière plus efficace les emprunts des bailleurs sociaux qui prennent des engagements en faveur de la réduction de consommation d'eau et d'énergie dans leurs logements, et de favoriser la même politique au niveau de l'agglomération.
Mais on ne m'a pas écouté.
Maintenant, on récupère sans m'attribuer la paternité.
C'est un bon signe sur le fond, mais un mauvais sur la forme...
Les HARAS, jeu trouble en prévision
C'est sans compter sur le jeu trouble de l'Etat qui a fait flamber la valeur du m² inconstructible en le faisant passer en quelques mois à 3 000 euros le m² ... Comment expliquer un tel prix pour du terrain qui n'est destiné qu'à une utilisation publique dans le cadre d'une ouverture au public du parc ?
Simultanément un groupe de promoteurs a fait parler de lui dans des conditions assez obscures; et alors qu'aucun espoir ne leur est offert par la Ville.
Cette flambée des prix, qui va faire peser sur les annéciens une charge de rachat du ténement des HARAS, est une flambée politique : ce n'est pas le technicien qui a estimé le prix qui l'a décidé. C'est une pression indirecte sur la Ville dans la stratégie d'affrontement entre Bernard BOSSON et l'UMP, du temps où il était encore Maire. Bernard BOSSON n'avait pas eu de mots trop forts pour s'en inquiéter et le dénoncer.
Alors que la plus grande transparence devrait être de mise, on apprend par l'ESSOR que le Conseil général serait intéressé par le site pour y installer des bureaux...
Maigre ambition que d'y installer des agents du Conseil général... A moins que ce ne soit la cantine des Conseillers généraux, bien excentrée aux TRESUMS, et dans un cadre moins charmant que celui des HARAS.
Sans préjuger des propositions que nous aurons à faire dans le cadre des Municipales, c'est nécessairement un équipement public à caractère culturel qui a sa place dans les HARAS, en respectant le caractère boisé du lieu.
On ne regrettera jamais assez que ce parc ait perdu 10% de sa superficie et 17 platanes pour y construire une rue qui n'a pas réglé les problèmes de circulation dans la Ville : les embouteillages rue Jean JAURES perdurent...
Ouvrir une route c'est générer du trafic supplémentaire : c'est un des acquis du GRENELLE de l'environnement... Dommage que Bernard BOSSON se soit entêté dans ce projet routier.
Pêcheurs du Lac en colère !
L'association du Lac d'ANNECY pour la pêche et la protection du milieu aquatique, qui regroupe les pêcheurs amateurs du Lac d'ANNECY, publie en mois d'octobre 2007, sous la plume de son président, Monsieur GUIRAUDON, un véritable réquisitoire contre la gestion du Lac.
Les pêcheurs amateurs constatent tout d'abord une dégradation sans précédent de leurs prises de féra.
Ils regrettent le mépris avec lequel ils sont traités par l'administration; le Préfet ne répondant pas à leurs courriers.
Ils n'ont pu obtenir de mesures de protection efficaces contre la destruction des fonds « Grands Blancs » qui étaient une zone de frai des poissons blancs exceptionnelle, ainsi qu'un secteur de nourrissage des alevins. Les hors bords en stationnement ont détruit ce secteur de plusieurs hectares avec leurs ancres ou les moellons de béton utilisés comme lest.
Pendant ce temps, la Direction de l'agriculture autorisait le curage de 200 m² de roselières à SEVRIER...qui se transformaient en 400 m² en réalité; ce qui condamne à terme entièrement la roselière du fait des courants qui passent derrière elle. Un chenal de 56 mètres sur 8 a été illégalement construit.
Les pêcheurs rappellent leurs demandes de tirs sélectifs de cormorans et s'étonnent de la protection dont bénéficient les pêcheurs professionnels dont les prises de féra ne chutent pas.
Ils dénoncent enfin l'utilisation de bateaux destinés à produire les plus grosses vagues possibles de manière à pratiquer le « surf board »...
Monsieur GUIRAUDON appelle donc les pêcheurs à la mobilisation de manière à inverser ces décisions et menace d'engager des actions judiciaires pour les infractions que le pêcheurs constatent chaque jour : position des bouées de bande de rive, ski nautique dans la bande de rive où la vitesse est limitées à 5 km/h, autorisation de destruction de roselière, non respect du droit de passage sur les berges, etc.
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter l'association à Alp.cguiraudon@wanadoo.fr pour l'assurer de votre soutien dans ce combat pour le lac.
Il appartiendra aux candidats aux municipales de se prononcer sur ces questions. Nous y reviendrons donc longuement... Mais, rappelons que la construction de la cale sèche offerte à M. CECCON par Pierre HERISSON à SEVRIER aura bien contribué à la disparition de roselières...
Lancement du blog de Laurent DUPONT
"2008 HORIZON SOLIDAIRE" pour les municipales à ANNECY.
Vous pouvez retrouver en ligne sa première proposition concernant l'artisanat et l'économie locale où il reprend une idée chère aux écologistes, celle de l'épargne locale en vue de favoriser le développement d'activités artisanales socialement utiles et "non délocalisables".
Après les municipales de 1995, les VERTS ont pris l'initiative de créer une CIGALE, autrement dit un "club d'investisseurs pour une gestion locale et active de l'épargne" qui a financé plusieurs projets de développement local dans la région... Malheureusement le plus souvent en SAVOIE du fait du manque de demandes en HAUTE SAVOIE pour des financements alternatifs.
Mais nous avons pu aider par exemple ALPES BISCUITS à SAINT JORIOZ dans de bonnes conditions, à un moment où l'entreprise de production de produits bilogiques rencontrait une crise de croissance.
Mais il est certain que l'appui municipal est de nature à maximiser la collecte d'épargne de proximité et de médiatiser l'information au delà du seul cercle des militants associatifs.
En région NORD PAS DE CALAIS, c'est la Région elle-même qui pilote cette politique depuis que les VERTS en ont assuré la présidence il y a maintenant une dizaine d'années...
Plan de déplacements urbains, bilan à 6 ans
Le bilan à juin 2007 du PDU est donc intéressant pour mesurer les réalisations.
Sur les pistes cyclables, on note que 88% du réseau "structurant" est réalisé, soit 30 km sur 34 prévus. Le taux passe à 55% pour le réseau "privilégié" et à 44% pour le réseau "normal" de desserte des quartiers. On a donc réussi la création d'axes cyclistes au sein de l'agglomération. Mais le maillage dans les quartiers demeure insatisfaisant. Pour ciculer fréquemment à vélo dans l'agglo, je constate à chaque fois l'insuffisance de la protection des vélos en dehors de ces axes prioritaires qui permettent de traverser l'agglo. Les communes ne consomment pas le budget voté par l'agglo dans ce sens : 50% des crédits seulement sont utilisés...
Moyennant quoi, l'utilisation du vélo est en expansion a doublé entre 2001 et 2005, ce qui devrait être une incitation à investir encore davantage dans ce chapitre.
Les bus sont également nettement plus utilisés avec une croissance de la fréquentation de 33% pour un accroissement de l'offre kilométrique de 9,3%. En 2006, nous avons atteint 92 voyages par habitant et par an. Alors que l'on en était à 72 en 1999. Le bus gagne donc du terrain, grâce aux investissements réalisés dans les bus, aux sites propres dans ANNECY et à l'aménagement de la gare d'échange. Ce sera un dossier extrêmement important du prochain mandat d'agglomération : l'UMP a déjà décidé de mener bataille contre une augmentation du versement transports des entreprises et pour la fermeture des lignes peu fréquentées...
La CAA estime que la répartition des usages des différents modes de transport serait en 2005 dans l'agglomération de 4,8% pour le vélo, 19,5% pour la marche, 8,1% pour les transports en commun et 67,6% pour la voiture. Ce qui laisse à penser que les objectifs du PDU étaient peu ambitieux puisqu'ils sont atteint ou dépassés au bout de 4 ans...
Le bilan est muet sur les parkings relais, ce qui est normal puisque le bilan est nul : seul celui des MARQUISATS a été construit et n'a aucun sens : il est trop près du centre ville pour qu'il y ait un transfert modal intéressant. Mais cela pose le problème de parkings relais sur la rive Ouest du Lac pour prendre le bus; ce que Pierre HERISSON a combattu avec succès.
Ailleurs, c'est le même échec. Or c'est le seul moyen de limiter l'entrée en ville des véhicules de personnes qui habitent hors de l'agglomération et qui utilisent à 84,3% leur voiture individuelle.
Comme nous l'avions regretté à l'époque, cette partie du plan de déplacements urbains a été manifestement sous estimée et s'est heurtée aux résistances des communes qui n'en voulaient pas sur leur territoire.
Il faudra renforcer cette politique en diminuant les places de parking gratuites : l'expérience montre que c'est cette restriction de l'offre de places de parking qui induit un transfert modal; sinon les gens continuent malgré son coût et sa pollution de préférer leur petite auto.
Pourquoi M. HERISSON ferait-il à ANNECY ce qu'il a refusé ...
Bien entendu, M. HERISSON est un candidat légitime à la mairie d'ANNECY.
Mais ce que sera intéressant c'est les explications qu'il devra fournir sur ses contradictions.
La première concerne l'aménagement du territoire.
En sa qualité de maire de SEVRIER, Pierre HERISSON s'est opposé fermement à l'entrée de SEVRIER et des communes du tour du Lac à la communauté d'agglomération d'ANNECY.
Il a préféré constituer avec les communes de la rive Ouest du Lac une communauté de communes qui n'a de sens qu'en ce qu'elle leur permet de conduire une réflexion et des actions communes, sans s'inscrire dans une dynamique qui corresponde à la réalité du bassin de vie annécien.
Tous les habitants de ces communes sont attirés souvent quotidiennement vers ANNECY, ne serait-ce que pour les transports scolaires et les déplacements domicile-travail...
Le refus de Pierre HERISSON d'adhérer à la communauté d'agglomération a eu pour conséquence d'exclure la rive Ouest du Lac de l'aire de compétence de l'autorité de régulation des transports.
En d'autres termes, la SIBRA ne peut emmener ses bus au-delà du périmètre de l'agglo. Donc les bus ne peuvent aller jusque SAINT JORIOZ... Alors que ce serait une décision majeure, seule susceptible de désengorger réellement la Nationale en l'aménageant en site propre !
Au lieu de cela, Pierre HERISSON veut faire construire des bateaux sur la cale sèche concédée gracieusement à son ami Thierry CECCON...
On retrouve cette incohérence avec le Plan de déplacements urbains qui organise la politique des transports sur l'agglo et s'arrête aux MARQUISATS !
En sa qualité de futur Maire d'ANNECY, M. HERISSON voudra bien nous dire si il estime correcte la position de l'ancien maire de SEVRIER.
Je vous l'assure, ces municipales vont être passionnantes !
Un programme écologiste pour les municipales
Je ne sais pas ce qui sortira de concret des déclarations présidentielles, ni qui elles engageront réellement.
On le verra vite localement avec les infrastructures routières : l'A 41 demeurera le dernier exemple du sous développement intellectuel des décideurs de la HAUTE SAVOIE.
Ils ont l'occasion de changer d'attitude avec la deux fois deux voies à PRINGY ou avec le Tunnel sous les SEMNOZ : que feront ils ?
Avec le "bémol" porté par SARKOZY sur les contournements des villes, tous les projets risquent d'être des contournements...
En attendant, la surenchère sur l'écologie va être amusante à constater dans les programmes municipaux à ANNECY par exemple.
Tous vont se sentir des ailes environnementales.
Et les citoyens pourront choisir : l'original de mesures concrètes et la volonté farouche de les mettre en oeuvre ou les copies qui n'engagent à rien que des belles paroles sans lendemain.
Une réunion fructueuse et consensuelle
Il s'agissait, comme je l'avais annoncé, de discuter de la stratégie des municipales à ANNECY pour 2008.
Si certains préféreraient une liste autonome capable de nous "compter" et de donner une visibilité forte aux VERTS, la plupart considérent que cette éventualité ne peut être envisagée que si le PS fait montre d'un refus de prendre en compte le travail énorme réalisé par les VERTS au conseil municipal depuis 6 ans, aussi bien qu'à l'agglo et au SILA; et de l'absence de contre propositions sérieuses à l'abandon de la revendication de la tête de liste.
Les participants ont validé la poursuite des rencontres avec le Parti Socialiste en vue de la conclusion d'un accord pour une liste commune, sous réserve d'une juste représentation des VERTS sur la liste et dans l'animation de la campagne, autour d'un programme de "rupture écologiste" à la hauteur des enjeux du réchauffement climatique.
De très prochaines rencontres avec Laurent DUPONT devraient permettre d'avancer rapidement maintenant vers un accord qui affirme l'unité de la gauche et des écologistes dans une même démarche sur tout le territoire de la commune et de l'agglomération.
Nous avons suffisamment travaillé avec Laurent avec les réunions-débats de "Soigne ta gauche" pour envisager avec sérénité cette perspective.