Publié le 31 Octobre 2011 par Thierry BILLET
Publié le 28 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans Environnement
Ce jeudi et ce vendredi à CHAMBERY, a lieu la conférence internationale de lancement du programme européen ALPSTAR qui a pour objectif de promouvoir les actions engagées sur le thème de la "neutralité carbone", c'est à dire des initiatives engagées pour que l'activité humaine ne dégage plus de gaz à effet de serre.
La conférence était précédée de l'assemblée générale de l'association "Ville des Alpes de l'année" à laquelle ANNECY à l'honneur de participer, en sa qualité de "ville des Alpes de l'année" en 2012.
Le programme de cette année "Ville des Alpes" est en voie de finalisation... Attendez vous simplement à savoir que la Ville va vous proposer un programme d'initiatives permettant aux annéciens de mieux connaître et de s'approprier les objectifs de la Convention alpine.
Pour revenir à la conférence, je suis frappé à quel point nous devons changer notre optique de vue dans le domaine de l'efficacité des politiques publiques. Aujourd'hui, l'efficacité se mesure au nombre de mètres cube de béton qui ont été coulés. Demain, elle doit se mesurer à la capacité d'anticiper les changements climatiques pour assurer la sécurité et le bien être des habitants.
Le représentant de la Ville de BOLZANO, dans le Haut Adige, qui a adopté un plan climat très actif fondé sur une démarche volontariste de réduction de la place de la voiture dans la commune, me disait que leur choix que je qualifiais d'ambitieux, lui paraissait la simple prise en compte du simple principe d'efficacité et de bonne stratégie économique. Il considère que si sa ville ne prend pas aujourd'hui ce virage volontariste, la vie quotidienne des habitants sera à ce point percutée par les changements climatiques, le renchérissement du prix de l'énergie, etc. qu'il est irresponsable de la part des élus de ne pas prendre ce tournant énergétique et donc social.
Etre capable de se placer aujourd'hui comme si l'on était en en 2050 et voir ce qu'il faut faire pour que la vie dans la Ville soit, à cette date, non seulement viable mais meilleure qu'ajourd'hui, c'est à dire anticiper sur un réchauffement climatique d'au moins 3° et un prix du pétrole devenu exorbitant, et peut-être épuisé... Tel est l'enjeu des politiques publiques d'aujourd'hui.
La même vision stratégique qu'ont eue nos aînés lorsqu'ils ont imaginé sauver le Lac. La seule question politique qui
vaille est : sommes nous à la hauteur de leur héritage ?
Publié le 27 Octobre 2011 par Thierry BILLET
Publié le 26 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans C'est personnel
Pierre RAHBI lance pour cette élection 2012 un forum de candidatures spontanées pour réclamer la prise en compte de l'homme, de ses aspirations profondes, de sa volonté de partage.
Soyez candidat(e).
Publié le 25 Octobre 2011 par Thierry BILLET
À travers la planète, des millions de paysannes et paysans font face à une menace grandissante des accaparements de terres par des intérêts privés et publics et à l’absence de volonté des pouvoirs publics. En Inde, le mouvement gandhien Ekta Parishad refuse de baisser les bras, intensifie son combat et lance une marche d’un an à travers le pays à partir du 2 octobre 2011 . Cette première marche aboutira au Jan Satyagraha, la marche pour la justice : en octobre 2012, 100 000 indiennes et indiens réclameront un accès équitable à la terre pour toutes et tous. Des mouvements sociaux, partout dans le monde, soutiennent cette initiative pour faire entendre la voix des sans-terres au gouvernement indien et défendre la souveraineté alimentaire pour tou-te-s !
Environ 75 % de la population indienne vit en zone rurale et dépend de l’agriculture familiale et paysanne pour vivre. Pourtant, près de 220 millions d’indien-ne-s n’ont pas accès à une terre qui leur permettrait de se nourrir de leur production et dépendent donc d’emplois rares aux salaires particulièrement bas et des aides de l’État. Malgré les programmes de développement rural mis en place par le gouvernement indien, la campagne indienne reste le parent pauvre d’une économie prospère (8 à 10 % de croissance par an) qui se développe surtout à travers son industrie et une concentration des services dans les villes. Dans les zones rurales, pauvreté et accès restreint aux ressources naturelles prédominent, tandis que se multiplient les suicides de paysan-ne-s, incapables de survivre en raison notamment d’un soutien trop faible de l’État. Au contraire, la politique de développement du gouvernement indien favorise les accaparements de terres et de ressources naturelles au profit d’entreprises multinationales. Ces projets d’extraction minière, de zones industrielles ou d’agrobusiness conduisent à des déplacements massifs de populations et à la paupérisation des travailleuses et travailleurs locaux.
Pour obtenir que les autorités indiennes prennent en compte les véritables besoins des populations indiennes et engagent une véritable réforme agraire, le mouvement Ekta Parishad organise depuis sa création, en 1991, des actions non-violentes (marches, sit-in, réunions publiques, etc.) dans de nombreux États indiens. Ekta Parishad travaille en priorité avec les paysan- ne-s, les dalits et les communautés tribales en développant des projets de développement communautaire et local. L’objectif de ces programmes est de faire prendre conscience aux communautés de leurs droits à accéder à la terre, à la souveraineté alimentaire et de les amener à réclamer le respect de ces droits auprès des autorités. Ekta Parishad défend en particulier l’accès des femmes à la terre, fort du constat que celles-ci représentent environ 75% des travailleurs-ses agricoles mais seulement 10 % des propriétaires fonciers. Ekta Mahila Manch, la branche féminine d’Ekta Parishad, mène ainsi des actions pour renforcer les capacités des femmes dans différents domaines, pour accroître leur participation au sein des panchayats (conseils des villages) et favoriser l’obtention de patnas (titres de propriété) conjoints aux femmes et hommes d’un même foyer. Ekta Parishad organise également une participation massive des femmes sans-terre à ses actions de mobilisation non-violente.
En 2007, Ekta Parishad a mobilisé 25 000 marcheurs-ses : après un mois de marche, ils-elles ont obtenu l’engagement du gouvernement indien de mettre en oeuvre la réforme agraire demandée. Aujourd’hui, les mouvements sociaux indiens constatent que cette réforme, comme de nombreuses lois1 adoptées afin d’assurer l’accès aux ressources naturelles, n’a pas été mise en oeuvre au profit du plus grand nombre. Afin de réclamer une véritable application de ces lois et de dénoncer l’injustice criante de la situation en Inde, plus de 100 000 indien-ne-s participeront donc en octobre 2012 au Jan Satyagraha, une marche de deux semaines sur plus de 300 km, de Gwâlior à Delhi, inspirée de l’exemple de la Marche du Sel de Gandhi en 1930. La mobilisation démarre dès le 2 octobre 2011 par une marche qui passera dans tous les États indiens et traversera 300 des 600 districts de l’Inde. Pour faire entendre la voix des sans-terre au Premier ministre indien et le pousser à mettre en oeuvre une véritable réforme agraire, mobilisez-vous dès maintenant.
Publié le 24 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans Environnement
Je vous ai à plusieurs reprises entretenu du Groupement pétrolier de Haute Savoie (devenu Dépôt pétrolie de Haute Savoie = DPHS).
Ici :
http://www.thierry-billet.org/article-plan-de-prevention-des-risques-technologiques-du-gphs-
Ou là :
http://www.thierry-billet.org/article-depot-petrolier-de-vovray-l-etat-augmente-sa-participation-
Je suis en effet persuadé que notre pays ne cherche pas à se doter d'une "culture du risque" et préfère s'en remettre au système "D" lorsqu'il s'agit de prendre en considération les risques naturels ou industriels.
Bien sûr, on met en place des "plans", mais qui restent dans les tiroirs et que l'on ne tente pas de mettre en oeuvre.
Depuis plusieurs années, je réclame un véritable exercice d'évacuation de la zone industrielle de VOVRAY pour le cas où un incendie non maîtrisé aurait lieu.
Cet exercice aura lieu le 23 novembre 2011.
La réunion du 11 octobre avec les riverains (essentiellement des entreprises) a permis de leur expliquer les raisons de cette démarche.
Toutes les entreprises présentes ont réagi très favorablement à cette initiative qui va les obliger à arrêter leur activité quelques heures et à
tester leurs propres procédures de regroupement des salariés et d'évacuation.
La Ville s'est mise en situation d'évacuer les agents du Parc des services techniques.
L'ensemble du secteur sera bouclé par les services de gendarmerie, de police nationale et de la police municipale.
Publié le 23 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans C'est personnel
Tout d'abord en complément de l'article d'hier sur la Région SAVOIE, ce petit livre reçu ce midi du Mouvement Région SAVOIE, avec le logo d'EELV qui nous donne la traduction des noms de communes savoyardes en "francoprovençal"... Je ne vous raconte pas comment se traduit ANNECY...
Comment un parti qui a réussi à réunir 20% des savoyards aux régionales et aux européeennes peut-il se rendre ridicule avec une telle publication ringarde et ridicule ?
Mais revenons à l'entretien qu'a donné Eva JOLY dans LE MONDE daté du 19 octobre un entretien qui me semble l'exemple même du piège médiatique.
Deux questions sur le point de savoir ce que feront les VERTS si HOLLANDE refuse leur ultimatum sur le nucléaire.
Puis, tout le reste sur les affaires judiciaires en cours concernant SARKOZY.
Le problème, c'est que ce n'est pas le boulot d'une candidate présidentiable de donner son avis sur : "Nicolas SARKOZY est il personnellement impliqué dans les dossiers KARACHI et BETTENCOURT ?".
Eva JOLY devrait refuser de répondre à de telles questions; mais on ne se refait pas, et l'ancienne magistrate assène son point de vue...
Au passage, elle ne parle d'aucune question environnementale, alors qu'il y a tant à dire... Alain LIPIETZ se plaint que la candidate n'aborde nullement les questions de l'alimentation par exemple, pourtant l'un des noeuds gordiens de la démarche écologiste...
Elle est aujourd'hui à 3% dans les sondages; cela ne remontera pas si Eva JOLY ne parle pas plus d'écologie...
Et qu'elle arrête de poser des ultimatums... alors que Cécile DUFLOT négocie une circonscription à PARIS, Philippe MEIRIEU une circonscription à LYON, et combien d'autres ailleurs ?
Ils y renonceront si le PS ne signe pas un accord sur la sortie rapide du nucléaire ? J'attends de le voir pour le croire !
Il n'y a qu'à constater que l'inénarrable Jean-Vincent PLACé, bombardé sénateur en provenance directe des Radicaux de Gauche, se pare
du titre de "N°2 des VERTS", alors qu'il n'a aucun titre pour cela... Et on le laisse faire des déclarations tonutruantes à la presse... après avoir qualifié Eva JOLY de "vieille
éthique"... Du grand n'importe quoi.
L'ambiguïté est totale : posture radicale sur le programme de gouvernement et négociations en coulisses sur les circonscriptions gagnables pour les leaders du mouvement et ceux qui ont fait allégeance au camarade PLACE grand ordonnateur des négociations avec le PS. (Pas celles sur le programme, il s'en moque; les sérieuses, celles sur les places à prendre...)
Philippe MEIRIEU, par exemple, a fait campagne sur le fait que les conseillers régionaux EUROPE ECOLOGIE n'avaient (et donc n'auraient) que ce mandat, dont il disait qu'il est si important qu'il doit mobiliser toutes les énergies des élus régionaux... Et il donne lui-même l'exemple de se présenter dans une circonscription gagnable à LYON... Il est vrai qu'il annonce qu'il démissionnerait de la région si il est élu... Or, il a été élu il y a seulement 3 ans et il a en charge l'une des politiques structurelles de la Région, qui commence à peine à se mettre en place. Si il part, c'est un élu socialiste qui prendra sa place, pas un Vert...
L'élection régionale n'aura donc été qu'un tremplin ? La prochaine étape, c'est le Ministère de l'Education ?
Exactement ce que l'on a reproché à JUPPE ne pouvant se passer d'être ministre alors qu'il avait promis de rester à BORDEAUX ou à MONTEBOURG qui n'a pas pu s'empêcher de cumuler les postes de parlementaire et de président du Conseil général alors qu'il plaidait le mandat unique et la VI° République.
Bien entendu, tout ceci se fait en proclamant haut et fort que l'on s'en remettra aux décisions du parti, que rien n'est fait, que l'on n'a surtout pas d'ambition personnelle, etc.
Toutes ces déclarations de vertu qui ne trompent que ceux qui veulent bien y croire.
Mais cela se fait par un courriel adressé d'abord aux adhérents de son courant à l'intérieur des Verts, et en prenant toutes les précautions d'humilité pour essayer de ne pas effaroucher le militant de base.
Philippe MEIRIEU a déjà tout compris...
Publié le 22 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans Politique locale
Lorsque je suis arrivé en HAUTE SAVOIE, il y a vingt ans, les VERTS étaient déjà organisés en un région SAVOIE incluant les deux départements savoyards.
Cela avait été voté au milieu des années 1980 et avait un côté post soixante-huitard sympathique.
On se souvenait de "violem viur al pais" entonné sur le LARZAC dans les années 1970.
On était dans la lignée du rapport de ROCARD sur le "désert français".
Remettre en cause le centralisme exacerbé de notre pays n'était pas pour me déplaire.
Mais les choses ont commencé à mal tourner avec la montée en puissance de la Ligue savoisienne sur la scéne politique locale. Avec la Ligue, ses chefs de province, ses blasons et le reste de ses déclarations à l'emporte pièces sur les résistants savoisiens de THONES contre la République en 1792, on changeait de registre et on basculait dans une réécriture de l'Histoire de la réunion de la SAVOIE à la FRANCE qui sentait bon l'isolationnisme et le sentiment qu'indépendants, les savoisiens seraient aussi riches que les SUISSES.
La Ligue ayant cassé sa pipe, les régionalistes savoisiens ont clairement fait le choix d'investir massivement EUROPE ECOLOGIE.
Lors d'une réunion entre la Ligue savoisienne et les partisans de l'entrisme dans EUROPE ECOLOGIE, les choses furent scellées : le cheval de TROYES fut vite en place.
Avec l'accord de la frange la plus radicale des VERTS qui voyait là un appui politique d'adhérents déterminés à s'opposer au courant "réaliste", ils prirent vite une place surdéterminée par rapport à leurs forces réelles et, surtout, à leur poids électoral.
Ils réussirent même, aux Régionales, à imposer l'un des leurs en position éligible en HAUTE SAVOIE alors qu'il habite en SAVOIE... Mais il permettait ainsi d'exclure un conseiller régional "réaliste" qui se trouvait ainsi relégué en position non éligible. Tout cela au nom d'un accord "national" que nous ne vîmes jamais... pour la bonne et simple raison qu'il n'existait pas. En tous cas, vous ne verrez jamais ce conseiller régional que les haut-savoyards ont élu dans notre département.
"Faire de la politique autrement", disaient-ils...
Nous eûmes la naïveté de croire qu'EUROPE ECOLOGIE allait balayer ces héritages passéistes en retenant la seule Région RHONE-ALPES.
C'était faire fi de deux éléments.
D'abord, le fait qu'être une Région autonome chez les VERTS, cela permet à des apparatchiks locaux d'avoir des sièges réservés dans les instances nationales...
Ensuite, le manque de courage politique de Philippe MERIEU, tête de liste régionale, fermement opposé au régionalisme savoisien, mais ne voulant pas s'opposer avec ses partisans...et adoptant la posture politique démagogique des VERTS (encore reprise il y a quelques semaines par Eva JOLY) sur le sujet.
Alors, la Région SAVOIE existe encore chez EELV...
Bien entendu, aucun(e) conseiller régional écologiste à part l'élu savoisien ne ramène la Région SAVOIE sur le tapis lorsqu'il siège à LYON.
Aucune initiative n'est prise par personne pour la mettre en place.
Si ils y croyaient réellement, qu'attendent les conseillers régionaux verts pour mener des actions politiques en faveur de la scission de RHONE ALPES ?
Qu'attend Philippe MEIRIEU, président du Conseil fédéral d'EELV, pour porter ce combat politique qu'il a soutenu contre notre avis ?
En réalité, il ne veut pas d'une Région SAVOIE et les conseillers régionaux EELV ne font rien pour la faire exister en réalité.
Ainsi, elle continue de vivre dans le seul parti EELV, totalement déconnectée de la vie politique des deux départements
savoyards, vie politique complètement différente et incompréhensible d'un département à l'autre :
La SAVOIE basculera à gauche lors du prochain renouvellement cantonal.
La HAUTE SAVOIE demeure un fief du ruralisme conservateur.
Mais les régionalistes ont pris au sein de la structure politique des Verts Région SAVOIE un poids considérable et qui n'a jamais été aussi fort au service de leurs seuls intérêts.
Cette Région n'a aucun sens : elle ne correspond à aucune demande sociale, à aucune identité régionale, à aucun projet d'avenir, à aucune vision politique.
Elle est le rêve dangereux de militants qui sont prêts à soutenir l'UMP quand GAYMARD envisage la fusion des deux départements pour essayer de sauver sa majorité départementale UMP, ou pour créer une 2° Région offerte à la Droite...
C'est pour cela que les VERTS ne font rien à RHONE ALPES pour la faire advenir.
Faites ce que je dis, pas ce que je fais, tel pourrait être le mot d'ordre de ceux qui acceptent cet état de fait : être au fond de soi contre l'existence d'une Région SAVOIE, ne pas oser affronter les régionalistes sur ce point pour des raisons tactiques internes car cela permet de gagner les congrès par une alliance de la carpe et du lapin, mais ne surtout rien faire pour la faire exister concrètement...
Bel exemple de pratique politique schyzophrène ou de "real politik" tout
simplement.
Publié le 21 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans Environnement
J'ai reçu un courriel que je vous livre intégralement à propos des brûlages de déchets verts après l'article que je vous rappelle :
http://www.thierry-billet.org/article-plan-de-protection-de-l-atmosphere-de-l-arve-86219926.html
Il me paraît en effet fort pertinent au moment où l'agglomération d'ANNECY va devoir préciser dès 2012 ses mesures en faveur de la qualité de l'air.
Sur le site internet de la Préfecture, voici un article intéressant concernant le Plan de Protection de l'Atmosphère de la Vallée de l'Arve :
Parmi les 129 pages, les pages 53 et 69 ont particulièrement retenu mon attention :
Mesure P2 = interdire le brûlage des déchets verts.
http://www.haute-savoie.gouv.fr/06_protection_populations/065_industriel_agricole/0653_ppa_vallee_arve/index.php
Comme certains, on peut se poser la question :
Pourquoi limiter ces actions à un tel périmètre ?
La pollution aurait-elle une frontière dans notre département ?
Publié le 20 Octobre 2011 par Thierry BILLET dans Environnement
J'avais abordé cette question il y a quelques semaines ici :
L'enquête publique sur le plan de protection de l'atmosphère est ouverte et s'achèvera le 28 octobre
2011.
Voici les recommandations des associations environnementales pour y participer.
Le périmètre
Il aurait pu intégrer l'ensemble de la vallée de l'Arve, comprise l'agglomération franco-genevoise.Evaluation du PPA
L'évaluation de ce PPA chaque année doit, dès la fin 2012, montrer son bien fondé, sous peine d'être taxé de gadget de circonstance, ce que personne ne souhaite, habitants, élus et pouvoirs publics.