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thierry billet
Articles récents

Suppression du train St Gervais > Paris ?

19 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

La desserte de la ligne Intercités  St Gervais les Bains Le Fayet – Paris est menacée suite au rapport de M. DURON

L'association des usagers des transports tient à jour la veille contre une telle mauvaise idée en pleine campagne pour améliorer la qualité de l'air dans les vallées alpines (photos, cartes, horaires, réactions..).

D'ores et déjà, l'ami Eric FOURNIER a justement fait part de sa colère. Plus d'informations sur le site de l'association :

 

 

 

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Flore rare ou menacée en Haute Savoie

18 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Pour tous ceux que la botanique et la biodiversité intéressent, la parution d'un atlas de la flore rare ou menacée en Haute Savoie, rédigé par un botaniste de renom avec l'appui d'ASTERS et du Conservatoire botanique national alpin est une excellente nouvelle.

Vous pouvez aider à cette publication en souscrivant. Plus de renseignements à l'adresse ci-dessous :

 

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Construction illégale, démolition impossible !

17 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Celle loi MACRON sera le repère historique de la démission du gouvernement socialiste à promouvoir le moindre changement progressiste en matière économique et sociale. Encore une illustration avec le droit de l'urbanisme dans cette loi fourre tout où le Ministre de l'économie est tout à la fois le Ministre de la Justice, le Ministre du Travail, le Ministre de l'environnement et le Ministre de l'agriculture. M. MACRON n'aura aucun mal à se trouver une nouvelle cage dorée dans une multinationale tant ils les aura si aimablement servies.

Michèle Bonneton, députée écologiste de l’Isère, François de Rugy, co-président du groupe écologiste, député de Loire-Atlantique, Noël Mamère, député écologiste de Gironde et Jean Desessard, sénateur écologiste de Paris, souhaitent que « l’article 29 [ de la loi Macron ] soit supprimé, comme l’ont proposé les sénateurs écologistes et que le Sénat a adopté ».

 

Après avoir été supprimé à l’Assemblée nationale et au Sénat, l’article 29, qui met un terme à la procédure d’action en démolition contre les permis de construire jugés illégaux, est réintroduit par le gouvernement en deuxième et dernière lecture en Commission à l’Assemblée nationale.

Il y aurait trop de recours abusifs contre les projets de construction, ce qui découragerait l'investissement. Cela a conduit le gouvernement, dans le cadre de la loi dite « Macron », à proposer cet article. Et ceci, bien que l'action en démolition soit déjà très encadrée par le droit actuel.

Cette impossibilité de démolir ne s'appliquerait pas à certaines zones très protégées : le cœur des parcs nationaux, les sites Natura 2000, les zones figurant dans les plans de prévention des risques technologiques (PPRT) ou naturels, etc. Soit à un très faible pourcentage du territoire.

En revanche, suite à un permis illégal, il ne serait plus possible de faire démolir un bâtiment dans un parc naturel régional ou pour non-respect des distances d'éloignement des bâtiments, ou pour non-respect d’une servitude d’urbanisme, par exemple…

Il s'agit d'un recul important par rapport aux travaux que nous avons menés sous cette législature pour lutter contre l'artificialisation des sols, pour la protection des sites et des paysages, pour la qualité de l'eau et pour la biodiversité. Alors même que l’ordonnance du 18 juillet 2013 lutte contre les recours abusifs, avec, entre autres, la possibilité de condamner le requérant si son recours est jugé abusif.

Nous y voyons ainsi une brèche dans laquelle pourraient s‘engouffrer des constructeurs qui seraient peu soucieux des lois et règlements, bénéficieraient du concours d'élus mal informés ou peu scrupuleux, leur délivrant des permis de construire litigieux, qui sont ensuite annulés. L'article encourage ces constructeurs à aller vite en besogne puisqu'une fois la construction achevée, on ne pourra plus la faire démolir. La menace d'une peine de démolition agit comme une mesure pédagogique de dissuasion des pratiques délictueuses, au regard de la protection de l'environnement et des paysages.

 

Autre perversion de cet article : sans possibilité de faire démolir, les auteurs des recours demanderont probablement des indemnités, comme le prévoit l'article L. 480-13 du code de l'urbanisme. Ils ne manqueront pas de se retourner vers les élus locaux qui ont signé le permis, générant une insécurité juridique pour ces derniers.

Nous comprenons que les recours en justice et la menace de démolition puissent rallonger les délais de mise en chantier. Il faut toutefois relativiser l'importance du phénomène, le nombre de démolitions effectives restant très limité (pas plus d'une vingtaine par an). La bonne solution consisterait, alors, à simplifier et à accélérer les procédures, notamment celles d'instruction. La solution du référé avant même que les travaux ne démarrent permet de régler le problème en quelques mois.

Ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain !

Voici l'avis de France Nature Environnement :

« Cet article est un véritable scandale et doit absolument être supprimé. Le message adressé est catastrophique : Pour construire en violant les règles d'urbanisme, privilégiez le passage en force, une fois la construction réalisée, plus personne ne pourra s'y opposer ; c'est tout le contraire de l'État de droit, c'est la politique du fait accompli, une stérilisation du droit d'accès à la justice, en totale contradiction avec le discours de François Hollande. ».

Ainsi, la constitutionnalité du texte paraît douteuse au regard de l’article 16 de la Déclaration des droits de l’Homme qui garantit comme droit fondamental l’exécution d’une décision de justice revêtue de l’autorité de la chose jugée; la constitutionnalité du texte paraît également douteuse au regard de la Charte de l'environnement en ses articles 1 et 4.

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Grotte CHAUVET

17 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Même si il n'y avait que cette main, réalisée en pulvérisant de la poudre, en empreinte sur la paroi de la grotte, il y a 36 000 ans près de Vallon Pont d'Arc, il faudrait aller visiter l'espace de restitution de la Grotte CHAUVET, désormais fermée à la visite pour protéger les peintures de nos ancêtres aurignaciens. Une visite s'impose tant les autres panneaux sont magnifiques et émouvants. Mais cette main ! Comme un salut aux humains des temps modernes...

Grotte CHAUVET
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Sur l'utilisation du 49-3...

16 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

C'était en 2008, c'était du temps de la préhistoire sans doute, du temps où les députés socialistes demandaient le respect du travail parlementaire.

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Zusamme solar !

16 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

En Alsace, à l'initiative d'André LANGWOST, un ami allemand installé à ANNECY depuis plusieurs années, on va inaugurer la première coopérative énergétique franco-allemande « Zusamme Solar ! Colmar » pour un ensemble de 400 kw sur 4 toitures industrielles.
Un bel exemple de ce que l'on peut faire ensemble – littéralement « Zusamme » en alsacien.

N' hésitez pas à faire suivre cette invitation a vos amis qui sont intéressé par le sujet ou bien vos amis en Alsace : Samedi, 20 juin 2015 de 10h à 16h Université de Colmar (I.U.T.) / Berglas Kiener rdv: 31 rue des Jardins, F-68000 Colmar
André nous annonce également la création de l'association Eurosolar France, la filiale française de cette association européenne qui a été créée en 1988.

http://www.eurosolar.de/en/
 

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Publié depuis Overblog et Facebook

15 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Indemnisation des licenciements abusifs : de la flexi-sécurité à la flexi-impunité

Le Monde | • Mis à jour le | Par

 

Le ministre des finances Michel Sapin et le ministre de l'économie Emmanuel Macron à l'Assemblée nationale, le 9 juin.

Se conformant aux annonces du premier ministre, la commission spéciale de l’Assemblée nationale chargée d’examiner le projet de loi « Macron » a très vite adopté, le jeudi 11 juin, un amendement du gouvernement plafonnant la réparation des licenciements injustifiés. Une réforme passée en force, un séisme pour la justice sociale.

« Lorsqu’il n’y a pas de rupture conventionnelle, une incertitude demeure avec les prud’hommes puisqu’il n’existe pas de plafond aux montants d’indemnisation prononcés », a expliqué Manuel Valls qui prétend que « renforcer la prévisibilité des décisions du juge prud’homal » sécurisera les parties au contrat de travail et, ainsi, lèvera un frein à l’embauche.

Si tel est bien le calcul, aussi contestable soit-il, n’aurait-il pas été plus honnête d’admettre qu’il s’agit exclusivement de sécuriser les employeurs : ne décident-ils pas seuls des embauches comme des licenciements ?

Pour favoriser les premières, il s’agirait donc de leur épargner, par privilège, les incertitudes inhérentes à toute procédure contentieuse. Car l’aléa judiciaire n’est ni réservé aux employeurs ni le fait des seuls prud’hommes, en dépit d’une rhétorique qui relève plus de l’escroquerie intellectuelle que de l’argumentation.

Réparation volontairement bridée

La même rhétorique au demeurant qui, jouant du langage courant, qualifie d’indemnités, souvent perçues comme forfaitaires, les dommages-intérêts, par nature individualisés, auxquels ouvrent droit les licenciements abusifs. Pour qui veut ouvrir les yeux, tout est là : le plafonnement de ces dommages-intérêts doit permettre à l’employeur d’évaluer par avance ce que lui coûtera le licenciement qu’un conseil de prud’hommes – ou, comme souvent, une cour d’appel – jugerait non justifié par une cause réelle et sérieuse.

Car il n’est bien question, ici, que de licenciements abusifs et non de ceux qui sont dûment motivés par une difficulté économique réelle, une réorganisation légitime, ou une faute avérée du salarié.

Le licenciement abusif est celui qui est contraire à la loi. Il constitue une faute de l’employeur. Une faute dont la réparation est ici volontairement bridée. Pourtant le socle protecteur du droit international qui s’impose à la France (Convention 158 de l’Organisation internationale du travail, Convention européenne des droits de l’homme, jurisprudence communautaire) tout comme les principes de la responsabilité civile, imposent la réparation intégrale du préjudice, qu’il soit matériel, moral ou caractérisé par la perte d’une chance.

Faudrait-il donc que l’entreprise échappe à la règle selon laquelle « celui qui cause un dommage par sa faute s’oblige à le réparer entièrement » ? Interrogeons-nous : qui accepterait le plafonnement des réparations dues à la victime d’un accident de circulation causé par un chauffard au prétexte qu’il faudrait alléger les charges des compagnies d’assurance ? Un plafond pour la perte d’un bras, un plafond pour la perte d’un proche…

Injustice et absurde

C’est pourtant bien le même principe qu’il s’agit ici d’appliquer : un plafond pour la perte d’un emploi… Ce barème au rabais gommera artificiellement l’étendue du préjudice propre à la situation de chaque salarié. Le juge prud’homal, les yeux rivés sur ses tableaux, ne pourra plus se préoccuper des pièces qui lui seront soumises, des vies qui lui seront confiées, butant sur le plafond empêchant la prise en compte de l’âge, des difficultés de réinsertion, des parcours professionnels brisés, des accusations injustement subies, des atteintes à la santé ou à la vie personnelle et familiale…

À l’injustice s’ajoutera d’ailleurs l’absurde. L’inégalité entre les salariés selon la taille de leur entreprise, d’abord : prime à la manœuvre « d’optimisation sociale » des employeurs qui répartissent leurs activités en filiales de petite taille… et injustice conduisant à n’accorder qu’une misère au salarié âgé qui restera durablement privé d’emploi… L’ancienneté du salarié comme seule variable, ensuite, alors qu’elle ne cesse d’être réduite au fil de carrières de plus en plus accidentées, et qu’en outre, le salarié peut se voir licencier après avoir accepté de quitter un précédent emploi stable, victime de promesses non tenues…

Pour justifier ce gâchis en forme de nouvelle et inutile concession au patronat, le gouvernement ne craint pas les contre-vérités. Indemniser les salariés à juste proportion de leurs préjudices nuirait aux embauches ? Non, le poids des condamnations prud’homales ne fait pas chavirer les entreprises en France.

Moins de 2 % des licenciements économiques y sont contestés ; les salariés n’y font pas plus de recours qu’en Allemagne ; le contentieux prud’homal s’érode depuis 15 ans ; les condamnations sont très encadrées par les textes en vigueur et par le paritarisme des prud’hommes. Et l’Organisation de coopération et de développement économiques comme le Bureau international du travail confirment que l’indice de conflictualité n’a pas de répercussion réelle et significative sur les embauches en CDI.

Déni de justice généralisé

Faciliter les licenciements abusifs favoriserait l’emploi ? Le Medef promettait déjà en 2008 qu’assouplir la rupture des contrats allait « fluidifier le marché du travail » : à ce jour, plus d’1,8 million de contrats rompus par rupture conventionnelle, dont 80 % suivies d’une inscription à Pôle emploi.

Tarifer à vil prix le coût des licenciements abusifs, c’est le premier pas vers la violation organisée de l’obligation de justifier les licenciements en décourageant les contestations des salariés, qui doivent déjà assumer les frais, les délais et la preuve dans le procès.

Couplée aux délais de justice déraisonnables contre lesquels l’Etat ne fait rien, au raccourcissement de la prescription en matière prud’homale en 2013, au remboursement à Pôle emploi par les salariés d’une partie de leurs allocations en cas de succès aux prud’hommes, cette réforme est l’atteinte de trop qui organise un déni de justice généralisé.

Persévérance d’un gouvernement « de gauche » appliqué à exaucer les souhaits d’un patronat insatiable. Déconstruction inexorable de notre droit du travail sacrifié aux lois du marché, au prétexte chimérique de créer des emplois. Quels emplois ? La supercherie n’est-elle pas trop criante pour ne pas pousser, enfin, au soulèvement ?

Françoise Martres (Présidente du Syndicat de la magistrature) et Florian Borg (Président du Syndicat des avocats de France)

Collectif (Syndicat des avocats de France et Syndicat de la magistrature)

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Vive la SCOP !

15 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Nous pouvons soutenir le projet de reprise de la Compagnie alpine d'aluminium à CRAN GEVRIER (les anciennes "Forges de Cran" implantées sur la chute d'eau du THIOU) dans le cadre d'une société coopérative ouvrière de production (SCOP) lors d'une réunion publique le 17 juin à 18 heures 30 à la salle des Forges, un peu avant le feu tricolore du Pont de Tasset.

Lundi soir dernier, après une longue séance d'examen, le Comité d'agrément extraordinaire de l'Initiative Grand Annecy a labellisé le projet de reprise en SCOP qui représente 80 à 85 emplois.

http://www.initiative-grand-annecy.fr/vous-accompagner/etre-soutenu-par-annecy-initiative/comite-d-agrement.html

Sur le projet de SCOP lui-même, en voici une présentation :

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/06/09/compagnie-alpine-d-aluminium-les-salaries-ont-depose-leur-projet-de-reprise

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Ferme des milles vaches, soutien aux inculpés !

14 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

   
 

Ferme-Usine des 1000 vaches : Ne laissons pas condamner des militants qui s’y opposent !

Cher-es ami-es,

Alors que l’industriel du BTP à l’origine du projet de ferme-usine dite des 1000vaches située dans la Somme est à nouveau mis en cause pour des conditions d’élevage s’affranchissant ouvertement du bien-être animal et des conditions de travail ;

Alors que ce chasseur de primes a également cru pouvoir entasser près de 300 vaches de plus que les autorisations accordées !

Alors que plus de 50 000 personnes ont déjà interpellé le ministre de l’agriculture pour obtenir une interdiction de ces fermes-usines ;

Alors qu’un sondage IFOP effectué pour le compte d’Agir pour l’Environnement indique que 68% des personnes consultées s’opposent au principe des fermes-usines ;

Neuf militants de la Confédération paysanne seront déférés devant le tribunal d’Amiens mercredi 17 juin pour avoir osé démonter symboliquement une partie de l’étable de cette ferme-usine !

« Selon que vous soyez riche ou misérable »… la justice semble préférer menacer les lanceurs d’alerte et faire preuve d’une étonnante indulgence à l’égard du promoteur de cette ferme-usine.

Mercredi 17 juin, les neuf de la conf' risquent d’être condamnés à des amendes et des peines de prison pour avoir osé s’être engagés physiquement contre les fermes-usines : nous devons et nous pouvons leur faire part de notre solidarité.
 

Comment les soutenir ?

1. Pour ceux qui le peuvent, des bus sont organisés un peu partout en france pour aller à Amiens le mercredi 17 juin.

2. Pour les autres, nous vous proposons de poster un message de soutien que nous remettrons aux inculpés le jour du procès : http://lesneufdelaconf.agirpourlenvironnement.org/
 
 
 

Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé.★ - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

Stéphen, Martin, Mickaël, Julie, Benjamin et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.
contact@agirpourlenvironnement.org
--
http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement

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Assises de la vie associative

14 Juin 2015 , Rédigé par Thierry BILLET

Petit retour sur les assises de la vie associative de samedi dernier dont j'ai animé l'atelier sur les associations "citoyennes" avec ASTERS, et les témoignages de l'association Annecy Haute Savoie Athlétisme qui organise (entre autres) le marathon éco responsable d'ANNECY (le plus grand marathon organisé par des bénévoles en France) et du Vélo Club d'ANNECY qui a présenté la collaboration avec les services de la Ville sur les aménagements cyclables. Sur le marathon, un groupe de bénévoles suit par exemple la gestion des déchets et retrie les déchets mal triés par les participants et le public : ils vont dans les bacs et procédent eux-mêmes à la réorientation de ce qui est recyclable : qui dit mieux ?

Sur le vélo, l'association se félicite du "partenariat sincère" mis en place avec les services techniques de la Ville pour trouver les aménagements les plus sécurisés dans une écoute bienveillante de la part de techniciens qui souhaitent vraiment améliorer les choses. Avec pour conséquence que les améliorations sont réelles et que les bénévoles voient les résultats du temps passé sur les projets. PAX CHRISTI de son côté rappelait son opposition au Centre de congrès, ce qui n'empêche pas de travailler ensemble sur d'autres sujets comme l'organisation de manifestations d'information sur le réchauffement climatique. Il n'y a pas de chasse aux sorcières à ANNECY et la Ville respecte l'indépendance associative et travaille avec toutes les associations qui le souhaitent sur les sujets d'intérêt municipal.

En synthèse de l'atelier, nous avons conclu que l'association citoyenne n'était pas "que" l'association qui défend des causes d'intérêt général (visiteurs de malades, ONG environnementales, etc.), mais aussi les associations "thématiques" qui incluent dans leur démarche associative des moments de formation, d'incitation à la citoyenneté, de pratiques de développement durable. Dans les associations, par le collectif, on amène à la citoyenneté si l'association joue le jeu de la loi de 1901 et est soucieuse de participer à la vie de la cité. "Que serait la vie sans les associations ?"

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