J'accuse MULATIER GACHET de prise illégale d'intérêts (bis)
J'ai déjà accusé le candidat MULATIER GACHET de prise illégale d'intérêts; c'est ici. Il continue néanmoins d'utiliser sa position d'élu et les privautés qu'elle accorde pour faire sa campagne municipale. On le voit ainsi tout sourire au sommet de la grue du chantier de la Mairie se féliciter de la belle vue qu'on y découvre. Sans doute filmé par quelqu'un du cabinet du Maire puisqu'il n'a jamais démenti officiellement qu'il utilisait les moyens municipaux malgré ma demande expres à ce sujet. Aucun autre candidat aux municipales ne pourra ainsi accéder à cet emplacement exceptionnel pour se faire tirer le portrait : l'avantage qu'il en tire est directement favorable à sa liste.
Il est troublant que la tête de liste de la gauche aux municipales continue ainsi de ne pas respecter l'éthique politique que lui a rappelé ANTICOR et que j'ai publié. Comment s'offusquer des pratiques politiques corrompues si l'on est pas soi-même exemplaire ? Comment se recommander d'ANTICOR et violer ses recommandations ? Le paradoxe demande à être expliqué et je n'ai pas les clés pour le faire.
Est-ce l'ivresse du pouvoir ? Ce sentiment qu'il est légitime de pouvoir bénéficier d'un traitement de faveur parce qu'on passe du temps dans son mandat d'élu et que donc on mérite bien cette récompense symbolique du temps passé au service de la mairie ? Mais en l'espèce, au service de qui les LARDORG ont-ils travaillé quand on voit M. MULATIER GACHET se gausser d'un chantier qu'il a été incapable de mener à bien depuis 2020 ? La mairie devrait être reconstruite depuis longtemps si les LARDORG avaient correctement travaillé.
Se faire prendre en vidéo à quelques mois des municipales sur un chantier qui devrait être terminé et qui commence seulement, afficher une tête hilare à cette occasion au lieu de se faire tout petit de ne pas avoir réussi à le mener à bien pendant son mandat, voilà un symbole fort de la politique des LARDORG : beaucoup de communication pour masquer le bilan maigrichon et les chantiers abandonnés.
Rastignac piégé par Martial SADDIER
Les troupes de RENAISSANCE étant ce qu'elles sont, c'est à dire plus grand chose; c'est aux REPUBLICAINS qu'Antoine ARMAND s'est adressé pour remplir ses salles et sa liste ; et donc au premier d'entre eux, le président du conseil départemental, Martial SADDIER qui ne cache pas son plaisir de participer en personne à la campagne de notre Rastignac parisiano-annécien.
Il est réjouissant de voir ceux qui ont permis à Frédérique LARDET de faire un bon score aux municipales 2020 soutenir maintenant AA. Ils avaient déjà fait alliance aux élections départementales avec les Républicains dans les cantons annéciens : rien ne change. C'est le second pilier de sa liste (même si Mme LARDET elle-même a été exfiltrée à SAINT JORIOZ) : ceux qui l'ont soutenu corps et âme pendant 6 ans se recyclent chez AA. Voilà qui ne rassure pas... Les mêmes soutiens produisant les mêmes politiques toxiques pour les agents et pour le territoire.
En réalité, RASTIGNAC est seul.
Si son verbe est celui d'un énarque (3 parties pour une dissertation et une bonne mémoire des chiffres ), le brillant est celui de MACRON. Celui dont Gérard COURTOIS écrit dans le MONDE ces jours-ci au terme d'une analyse fouillée "Le jeune MACRON conquérant a cédé la place à un président démonétisé, enfermé dans ses certitudes et acharné à perdurer contre vents et marées jusqu'à la fin de son mandat. Quoi qu'il en coûte".
En cherchant à tous prix un "ancrage local" qui aurait pu être n'importe quelle ville de France au lieu d'ANNECY, le parachuté tente de séduire comme son mentor séduisit en 2017... Mais c'était il y a dix ans, et AA n'aura pas la virginité d'un MACRON dont l'impopularité lui collera aux basques pendant toute la campagne municipale. C'est déjà le credo de MULATIER GACHET, d'Annabelle ANDRE et du R-HAINE.
Et Martial SADDIER a bien compris quel profit il pourrait tirer de l'ambitieux parachutiste solo en cas de législative anticipée...
Le deal MAIRIE/ASSEMBLEE entre AA et TARDY
Farouchement opposé au compromis imposé par le PS à Emmanuel MACRON, AA se lave les mains désormais de son mandat de député. Je l'ai traité de déserteur, je ne croyais pas si bien dire. Au lieu de contribuer à la définition d'un compromis permettant de faire voter le budget 2026, AA, éphémère ministre des Finances, se promène en ville.
Et voilà qu'il ne trouve rien de mieux à faire que d'afficher le soutien du LR Lionel TARDY, l'ancien député, celui qui battit Bernard BOSSON sous la houlette de Bernard ACCOYER et Pierre HERISSON pour faire perdre à la démocratie chrétienne l'un de ses derniers bastions. Ce projet revanchard, ils s'apprêtent, de leur retraite dorée, à enfin à le mettre à exécution avec la complicité de AA.
Au moment où la FRANCE a besoin de l'intelligence de tous ses parlementaires, AA s'affiche à ANNECY avec les REPUBLICAINS qui n'ont pour objectif que de faire tomber le gouvernement LECORNU 2 après avoir provoqué la chute du LECORNU 1 que AA soutient.
Alliés à ANNECY et adversaires à PARIS, qui peut croire à la sincérité de cet attelage ?
Car le timing interroge au moment où la dissolution de l'assemblée nationale est envisageable à tout moment : la programmation de cet attelage aussi fiable que la mésalliance ASTORG/LARDET en 2020 alors que le pays est en proie à une crise politique majeure n'a de sens que dans le deal passé entre les REPUBLICAINS et AA : on te soutient pour la mairie, et tu nous laisses ta circonscription.
La classe politique annécienne de droite s'acoquine donc en pleine crise politique nationale où les mêmes partis se déchirent à coeur joie pour se répartir les futurs postes d'une mairie et d'une agglomération qu'ils estiment gagnables du fait de la mauvaise gestion des LARDORG.
Au diable les débats sur le projet, l'important c'est de promettre des postes, ce dont AA ne se prive pas et de cumuler les indemnités comme l'ont fait les LARDORG.
L'histoire politique des élections municipales 2026 reste à écrire car rien ne permet d'affirmer que les annéciens ne sanctionneront pas aux municipales les partis qui ont plongé le pays dans l'incertitude et la défiance.
Puisse une liste de rassemblement large se mettre en place pour leur offrir d'élire une équipe uniquement préoccupée par ANNECY : pour servir la Ville et non pour s'en servir pour une carrière nationale
Destruction d'une piste cyclable en parfait état
J'ai charrié suffisamment Bernard BOSSON pour son manque d'appétence pour le vélo en ville que la destruction par les LARDORG de la plus emblématique de ses réalisations, la rue du Président FAVRE, me reste en travers de la gorge. Il y avait là une piste cyclable en site propre qui remontait de la rue SOMMEILLER au Rond Point de BROGNY en parfait état, très utilisée et sécurisée.
Les LARDORG l'ont détruite le long du collège Raoul BLANCHARD dans un aménagement "temporaire" miteux mais devenu définitif. Et ils finissent le travail ces jours-ci en créant quelques mètres carrés de gazon pour un coût que je n'ose imaginer (50 000 euros le m2 ?)...
Et de ce fait, vélos, piétons et voitures sortant des importants garages situés dans cette rue comme l'Olympic vont cohabiter dans tous les sens sur 2,50 mètres de voirie.
Avec un risque majeur d'accident au coin de la Place François de Menthon où les vélos arrivant de la place ne s'attendent absolument pas à trouver soudain en face d'eux des voitures remontant vers le rond point de BROGNY.
L'aberration de cette destruction est évidente alors qu'il faut sécuriser à la fois la circulation des piétons et celle des cyclistes et donc séparer les flux au lieu de les ajouter sur le même espace.
On perd son latin devant une tel massacre dont on ne sait pas s'il faut l'attribuer à la bêtise ou à la volonté d'ennuyer les automobilistes pour le plaisir de les ennuyer.
Dans tous les cas, cet aménagement est dangereux pour les plus cyclistes et anxiogène pour les conducteurs. Il provoque déjà des conflits d'usage et des engueulades en attendant un grave accident dont la probabilité augmente avec la fréquentation de cet axe majeur pour rejoindre le lac.
Faire passer cette incurie pour de la lutte contre les îlots de chaleur urbain relève de la pure mystification.
Mais comme ni ASTORG, ni LARDET ne se représentent aux municipales 2026 à ANNECY, ils peuvent raconter n'importe quoi, ils savent que plus personne ne les écoute.
RETAILLEAU coule LECORNU, mais soutient AA à ANNECY
Les jeux politiciens sont toujours surprenants. Si l'extrême droite n'était pas aux portes du pouvoir ce serait amusant. Mais avec la démission obtenue par RETAILLEAU et les Républicains de l'ex-futur Premier Ministre LECORNU et de son gouvernement fantôme au motif que leur ex-copain LE MAIRE est au gouvernement, on croit rêver... Et donc à PARIS, notre député AA se trouve avec son groupe parlementaire RENAISSANCE en pleine crise ministérielle.
Mais à ANNECY, pour les mêmes, c'est "embrassons nous Folleville"
Incapables de former ensemble un gouvernement, les voilà qui annoncent soutenir le même candidat aux élections municipales dans le cadre d'un accord national négocié par les mêmes acteurs que ceux qui n'arrivent pas à former un gouvernement de la droite et du centre... LR, HORIZONS, RENAISSANCE, tous dans le même panier de crabes à PARIS; mais amoureux fous à ANNECY. Bernard ACCOYER doit se bidonner dans son coin d'avoir pris dans ses filets un centriste pour empêcher le retour de JLR en 2026.
Et pendant ce temps là, l'éphémère Ministre de l'économie et des finances, AA, au lieu de contribuer activement au redressement du pays et de participer à la recherche d'une solution politique et économique à la crise que nous traversons, se promène en ville, tout guilleret de se faire prendre en photo distribuant des tracts dans les boites aux lettres.
Cela ne vous gêne pas, vous, cette désertion d'un parlementaire macroniste en pleine crise nationale ?
Et bien moi, ça me gêne. Quand on a dit et redit que la situation financière de la FRANCE exigeait des sacrifices de tous, on ne vient pas parader en ville : on se consacre à sa tâche de député en reconnaissance de son élection et on met ses compétences économiques au service du pays. Au lieu de cela, le parachuté cherche un atterrissage municipal qu'il abandonnera pour de plus hautes destinées quand l'occasion se présentera.
La note AA des agences de notation n'est pas celle d'une désertion.
Villes des ALPES de l'année
ANNECY a été élue en 2012 "ville des alpes de l'ANNEE" par un jury international piloté par la Commission internationale pour la protection des ALPES (CIPRA). Nous avions alors expliqué à ce jury l'ensemble des actions environnementales menées par la Ville et avions été élus largement. Plus tard, j'ai présidé l'association qui regroupe toutes les villes élues mobilisant les équipes de la Ville et obtenant par exemple la candidature hautement symbolique de CHAMONIX MONT BLANC qui fut élue.
J'apprends à l'occasion de l'assemblée générale de l'association qui s'est tenue à CHAMONIX justement cette année que les LARDORG ont quitté l'association. Quelle funeste décision alors qu'elle est un endroit de première importance pour des échanges internationaux alpins tant en matière de projets menés en commun avec le soutien de l'Union européenne ou de pays membres de la Convention alpine ! Comment des écologistes ont-ils pu faire cela ?
Il y a deux raisons possibles : c'était un projet que j'ai mené à bien et les LARDORG ont voulu faire table rase des acquis de l'équipe précédente; tant pis si c'est un projet ou une réalisation pertinente et utile. L'autre raison est plus prosaïque mais elle est recevable : participer aux travaux de la Convention alpine, ça prend du temps. Il faut se déplacer partout dans l'arc alpin, rencontrer les maires de Slovénie ou de Suisse, monter des projets, chercher des financements, comprendre les modes de fonctionnement des collectivités locales dans chaque pays membre, etc.
Cela prend du temps; et ça les LARDORG ont montré depuis 2020 qu'ils n'en avaient pas à consacrer à leur mandat d'élu. Absentéisme en commission, absentéisme auprès des annéciens, absentéisme dans les dossiers intercommunaux, ... Les LARDORG n'ont pas travaillé; l'état de la Ville et du GRAND ANNECY en sont la pire preuve...
Antoine ARMAND, déserteur parachuté
Quand on a été ministre de l'économie à 30 ans, qu'on est député jusque 2027, qu'on a annoncé au pays qu'il fallait se mobiliser pour faire face à une dette abyssale comme si une guerre contre la dette était engagée, et qu'on vient en pleine bataille se présenter aux municipales dans la 30° ville de FRANCE au lieu d'aider M. LECORNU grâce à ses éminentes compétences économiques à créer les conditions pour que l'assemblée vote le budget 2026 je dis qu'Antoine ARMAND est un déserteur devant le pays et devant ses électeurs.
Quand on ne met pas ses gamins à l'école de la ville dont on veut devenir maire, quand on y habite soi-même pas, louant un studio avenue du Rhône, quand son épouse n'a aucune raison de venir travailler à ANNECY puisqu'elle travaille à l'Assemblée nationale, quand on a d'abord essayé de se faire élire à CRUSEILLES comme conseiller départemental, puis comme député, avant que M. SADDIER n'obtienne que la circonscription demeure LR et qu'on s'est présenté par défaut à ANNECY, je dis qu'Antoine ARMAND est un parachuté.
Un parachuté déserteur, ça fait beaucoup. Mais qui en sera réellement surpris ?
Pour ces premiers de la classe qui se croient des premiers de cordée, l'important c'est qu'ils soient devant. Bien entendu, il a commencé par dire que l'important c'était le programme et bien entendu que l'ordre dans la liste municipale était accessoire... Puisque le premier de la liste ce serait lui...
Antoine ARMAND a cru que la valetaille suivrait. Que JLR se rangerait gentiment comme un bon toutou désespérément provincial qu'il est.
Sauf que ça ne marche plus comme en 2017 quand il suffisait de créer un mouvement avec ses initiales (vous vous souvenez En marche EM comme Emmanuel M...) pour que ça fonctionne. Ah oui, j'oubliais la dose de mégalomanie. Le mouvement d'Antoine ARMAND, c'est les acteurs d'Annecy, AA comme les initiales du boss... Vous l'aviez deviné ?
Mais aussi comme celles des alcooliques anonymes: gageons qu'Antoine ARMAND risque avant tout une bonne gueule de bois.
Les annéciens ont rejeté la candidature de Pierre HERISSON parachuté depuis ... SEVRIER... Ils n'accepteront pas plus celui d'un parisien, clone d'un président aujourd'hui détesté pour avoir tant déçu.
Les VERTS sont des cannibales
Loin de l'image d'Epinal de militants vegan , les VERTS sont des cannibales : ils se mangent entre eux. Depuis leur création, ce qui les réunit c'est le syndrome des coupeurs de tête. Le dernier épisode en date est celui de la mise à l'écart d'Eric PIOLLE, le maire de GRENOBLE.
Pas du petit gibier : le maire réélu de la plus grosse municipalité gagnée par les VERTS en 2014, candidat à la candidature présidentielle, etc. Et donc, alors qu'il a été élu contre l'avis de Mme TONDELLIER, porte parole des VERTS, il est suspendu de ses fonctions au motif d'un embrouillamini de versement de quelques centaines d'euros par mois à sa première adjointe. Ceci était connu quand il s'est porté et candidat et il a été élu malgré cette casserole. Et bien quelques semaines après, il est suspendu pour le motif moral que tous les adhérents connaissaient et qui ne les a pas empêchés de l'élire... Comprenne qui pourra.
Les VERTS auront donc mangé l'un de leurs plus emblématiques militants. Mais rappelez vous qu'il y a quelques mois, ils ont mangé leur ancien secrétaire national M. BAYOU pour des raisons sexistes que personne n'a pu prouver... Et c'est vrai à tous les échelons : du local au régional, toute tête qui dépasse est une tête de trop qu'une coterie peut anéantir...
Je n'ai rencontré qu'une fois Eric PIOLLE, c'était du temps d'EUROPE ÉCOLOGIE, avant que les VERTS n'en reprennent le contrôle, ce qui marginalisa définitivement l'écologie politique en FRANCE après les succès retentissants de Dany COHN BENDIT aux européennes et aux régionales. Il venait me voir après que le groupe local des VERTS d'ANNECY eut décidé à l'unanimité de faire alliance avec Jean-Luc RIGAUT aux municipales de 2008 pour faire barrage au duo ACCOYER/HERISSON. Il cherchait à comprendre pourquoi les VERTS voulaient nous virer et comprendre le fonctionnement interne. Je le vois encore dans mon canapé. Rentré chez lui, Eric PIOLLE ne tint aucun compte de mon expérience et s'en trouva bien pour être élu à GRENOBLE. Il est maintenant rattrapé par le même syndrome anthropophage qui conduisit à mon départ.
Combien de militant(e)s des VERTS ont subi le même sort ? Nul ne le saura jamais tant ce parti passoire, incapable de progresser, broie ses militants les plus en vue. A six mois des municipales, virer Eric PIOLLE relève du suicide politique, mais qui se soucie du suicide politique des VERTS au moment où l'extrême droite est aux portes du pouvoir ?
Lecornu, un choix biscornu
Biscornu parce qu'il a deux visages... L'une de gauche est celle de la pure provocation de MACRON : nommer un de ses fidèles pour ne surtout pas nommer une femme ou un homme de gauche qui aurait remis sur la table la réforme des retraites... Et pour refaire les mêmes choix que BARNIER ou BAYROU, l'âge en moins.
L'autre - macroniste - qui voudrait que, pour durer jusqu'en 2027 sans dissoudre à nouveau, MACRON a choisi son plus proche collaborateur pour remettre en cause certaines de ses marottes et permettre un accord avec le PS pour tenir les 20 mois qui restent.
Du "en même temps" : je me renie et mais c'est moi qui décide de tout comme avant puisque j'ai choisi mon pote comme premier ministre et que j'ai refusé un premier ministre de gauche, même gentillette comme celle de Bernard CASENEUVE.
Pas de cohabitation avec la gauche, mais le dialogue avec le PS pour tenir le coup à la Présidence. Un exemple, la suppression des 2 jours fériés, une idée imposée par MACRON à BAYROU, que LECORNU s'empresse d'enterrer.
Personne ne peut savoir jusqu'à quel degré de lèse-majesté Monsieur LECORNU aura l'autorisation d'aller notamment en termes de justice fiscale alors que la pauvreté a gagné du terrain depuis 2017 et que les très grandes fortunes ont explosé.
L'histoire n'est pas écrite.
La grogne sociale est là. Les syndicats de salariés n'ont plus confiance en MACRON. Le patronat a choisi le R-HAINE plutôt que l'incertitude. Quel souvenir voudra laisser le Président de la République ? Mélangez tout cela et vous avez la situation politique et sociale française de l'heure...
Fin de régne chez les LARDORG
L'arrêté municipal CN-2025-2378 du 28 août 2025 signé par François ASTORG retire ses délégations à Monsieur Guillaume COHEN " dans le domaine de la propreté urbaine et du bien-être animal". La raison en est qu'il "est nécessaire, dans un souci de bonne marche de l'administration communale".
On ignore si M. COHEN a fait un recours contre cette grave décision et on ignore les raisons factuelles de cette décision rarissime.
Ce qui retient l'attention, c'est la date d'abord, en plein été, avec les plus grandes chances que cette décision ne soit pas lue ni connue (c'est raté, elle n'a pas échappé à la bucheuse Séverine GRARD sur son Facebook). Ensuite, c'est que pour que ça ne puisse attendre mars 2026, les griefs devaient être sérieux et étayés. Nous saurons bien un jour le fin mot de l'histoire...
La mésalliance LARDET/ASTORG se termine donc dans les pires conditions pour la Ville mais aussi dans des déchirements internes d'une particulière violence.
On sait que M. MULATIER GACHET s'est débarrassé de Mmes GREBER et LAFARIE et de M. TATU. Mme GREBER, cheffe des écologistes à la région RHONE ALPES, qui est manifestement lâchée par le groupe local des VERTS qui a choisi de rejoindre MULATIER GACHET. Groupe local qui serait maintenant sous tutelle du National suite à des affrontements violents entre ses membres.
Il faut dire que Mme LAFARIE, par exemple, qui a eu au moins le courage politique de pousser les feux sur le cyclisme doit en avoir gros sur la patate d'être lâchée en victime expiatoire des incohérences de son Maire. Elle, au moins, elle a bossé. A tort et à travers, mais elle a travaillé. Peu nombreux sont les LARDORG qui peuvent en dire autant.
Moi, MULATIER GACHET, je me sépare de mon bras gauche pour vous montrer comme je suis un gendre idéal pour la famille centriste annécienne, dit-il en substance aux annéciens. Demain, il nous dira pis que pendre de François ASTORG, tel un SARKOZY assassinant CHIRAC après avoir été son ministre.
Tout va donc pour le mieux chez REVEILLONS ANNECY et les sourires de façade ne cachent plus la déshérence d'un mandat pour rien.
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