Les LARDORG, la Qualité de l'air, la ZFE et le foutage de gueule...
Avez-vous remarqué ce panneau routier dans notre Ville ? Le rond rouge sur fond blanc, c'est la signalisation d'une zone de faible émission (ZFE) pour la qualité de l'air. En dessous doit figurer la ou les catégories de véhicules qui ne sont pas admis. A ANNECY, les LARDORG ont choisi que tout soit autorisé.
Autrement dit, cette ZFE est totalement bidon. Elle n'aura aucun impact sur la qualité de l'air puisque tous les véhicules sont autorisés, même les plus polluants et par tous les temps; c'est à dire que même en période de pollution grave à l'ozone ou aux particules fines, tous les véhicules pourront circuler. C'est à dire, encore une fois, moins contraignant que la Zone de circulation différenciée que nous avions mise en place en 2018/2019...
Tous nos écolo-égoïstes devraient avoir tout simplement honte de cette ZFE quand ils regardent ce qu'ont fait leurs collègues de GRENOBLE, LYON ou STRASBOURG. La différence c'est que dans ces villes, les élus verts ont une colonne vertébrale politique et déroulent un programme qui peut être critiqué, mais qui est cohérent.
A ANNECY, nos écolo-égoïstes viennent chercher des indemnités d'élus et travailler le moins possible.
Alors une ZFE pour rire ne les dérange pas : ils n'auront pas à affronter les lobbies routiers, ni à réfléchir à l'accompagnement social envers les plus pauvres, ni aux infrastructures de transfert modal indispensables.
Et c'est la seconde raison de cette ZFE bidon : les LARDORG n'ont rien fait depuis 2020 en matière de parkings-relais qui sont un préalable indispensable à la création d'une ZFE efficace. Et donc, adopter une ZFE qui ne sert à rien leur permet de passer sous silence leur nullité en matière de transports collectifs.
En 6 ans, ils auront coulé la SIBRA et construit aucun P+R... Quel bilan !
Vous n'avez qu'à m'écrire...
Je dénonçais il y a quelques jours l'état du square des martyrs de la déportation (ici) Voici l'état de la pelouse après que les LARDORG aient lu mon post. Vous y trouverez la preuve au choix :
1/ que le hasard existe dans la programmation des travaux municipaux et que la concordance des dates est fortuite...
2/ que vous allez m'envoyer toutes les photos des endroits dégradés dans la Ville pour que cet heureux hasard se reproduise près de chez vous...
Vive la vie, Thierry
Questionnaire Municipales 2026
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Bonjour à toutes et tous,
👉🏼 Nous sommes à un an environ des élections municipales d'Annecy.Nous connaissons tous la situation actuelle de notre ville et avons déjà établi différents constats.
Je vous demande donc personnellement d'y répondre mais aussi de prendre de votre temps pour recueillir autour de vous l'avis d'au moins 5 à 10 personnes (voisins, amis, famille…), qu’ils soient de votre avis ou pas... et faire remplir ce questionnaire pour obtenir un panel significatif de réponses.
Nous ferons ensuite une synthèse et l'analyse globale des résultats qui vous seront communiqués et que nous partagerons également lors d'une grande rencontre début avril pour orienter la suite de ce projet collectif.
Le questionnaire est accessible par toutes et tous, à l'URL : https://jeparticipe-pourannecy.fr/
👉🏼 Vous pouvez accéder au questionnaire en cliquant sur le lien suivant : |
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Je compte sur vous et vos contributions pour dessiner ensemble le futur d'Annecy. C’est parti !
Merci pour votre soutien, et à très vite.
Jean-Luc RIGAUT, Le Collectif Pour Annecy 2026 |
Autoroute A69, critiquer les Juges ou remettre en question le passage en force ?
L'ami Julien BETAILLE livre dans une tribune au MONDE une analyse fine de la décision d'annulation de l'autorisation de l'autoroute A69 par le tribunal administratif de TOULOUSE qui mérite qu'on s'y arrête car une fois de plus, des responsables politiques remettent en cause le "pouvoir des juges" parce qu'une décision ne leur plaît pas.
Pourtant, les juges appliquent la Loi que ces mêmes parlementaires ont votée. Si ils travaillaient plus sérieusement, ces mêmes députés analyseraient les conséquences possibles de leurs votes et s'éviteraient ainsi le ridicule d'une dénonciation sans cause. Malgré cela, ils revendiquent de pouvoir à nouveau cumuler des mandats, histoire de mal faire à la Ville et au parlement. Mais je laisse la parole à Julien sur le fond.
Les réactions suscitées par l’annulation du projet d’autoroute A69 du tribunal administratif de Toulouse sont inquiétantes. Le ministre des transports [Philippe Tabarot] a qualifié cette décision d’« ubuesque » et a considéré qu’il n’était « pas acceptable » que la justice administrative puisse remettre en question une décision administrative. Une journaliste du Point [Géraldine Woessner] a dénigré le travail mené par une magistrate en raison de sa prétendue inexpérience. Un ancien président de l’Assemblée nationale [François de Rugy] a appelé à « redéfinir le champ d’intervention des juges administratifs ». Un sénateur [Union centriste] du Tarn [Philippe Folliot] a annoncé sa volonté de déposer une proposition pour modifier la loi. Cela donne le sentiment qu’une partie des responsables politiques défendent la raison d’Etat plutôt que l’Etat de droit.
Face à ce type de réactions, il faut rappeler que le rôle du juge, en tant que tiers indépendant, est de trancher des conflits sur la base du droit, et ainsi de les pacifier. Il tire sa légitimité de son indépendance et du fait qu’il s’en tient à l’application de règles de droit adoptées démocratiquement. Evidemment, son travail comporte une part de subjectivité : l’interprétation est toujours une décision, jamais une simple déduction logique. Mais plutôt que de critiquer la justice, les partisans de l’autoroute A69 peuvent tout simplement exercer leur droit de faire appel. S’agissant de la liaison CDG Express, la cour administrative d’appel est ainsi revenue, en avril 2022, sur la décision du tribunal administratif. La discussion juridictionnelle sur l’A69 est donc loin d’être terminée : il est inutile de s’en prendre à l’institution.
Les enjeux sont plus profonds encore. On comprend évidemment la frustration que cette décision a générée, car ses conséquences sont majeures. En fin de compte, tout le monde est perdant : les élus locaux, le concessionnaire, l’Etat, mais aussi la biodiversité. La réalisation de plus de la moitié des travaux avant la décision du tribunal entraîne en effet un immense gaspillage financier. L’arrêt du chantier menace de mettre des centaines d’ouvriers au chômage et, quoi qu’il arrive par la suite, la biodiversité en sortira perdante : même si des poursuites pénales sont engagées et que le concessionnaire est contraint de réparer le préjudice écologique causé par les travaux, cela ne permettra pas de revenir à la situation écologique antérieure.
La stratégie du fait accompli
Les responsables de cet immense gâchis ne sont pas les juges qui ont appliqué la directive « Habitats » [du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels], pas plus que les associations qui ont exercé leur droit d’agir en justice, mais le concessionnaire autoroutier, qui, en toute connaissance de cause, a pris le risque d’engager d’immenses travaux avant d’avoir la certitude que son autorisation ne serait pas annulée par la justice. Même si l’issue d’un procès n’est jamais certaine, le risque d’annulation pouvait en effet être anticipé. La justice administrative avait d’ailleurs déjà annulé, sur le même fondement, d’importants projets routiers, comme la déviation de Beynac-et-Cazenac, en Dordogne.
La surprise qu’a suscitée cette décision, et probablement la raison de l’excès de confiance du concessionnaire, s’explique par le fait que c’est la première fois que la justice annule l’autorisation d’un projet autoroutier pour des raisons environnementales. Jusqu’à présent, elle s’était montrée très clémente à l’égard des autoroutes, ce qui ne manquait pas de susciter la critique. D’une certaine manière, elle a ici fait la preuve de son indépendance. C’est certainement aussi cela qui lui vaut d’être sous le feu des critiques.
Plus fondamentalement, cette situation appelle à une réflexion sur les procédures juridictionnelles en matière d’environnement. Cette stratégie du fait accompli utilisée pour mettre la justice au pied du mur n’est absolument pas nouvelle, et, jusqu’à présent, les procédures dites « d’urgence » prévues pour la contrecarrer sont restées largement impuissantes : quand le juge n’a pas le temps d’examiner en profondeur un dossier nécessairement très complexe, il est très frileux à l’idée de suspendre l’exécution de travaux d’ampleur. On peut le comprendre, mais les conséquences de cette situation sont graves : l’A69 n’en est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Pragmatisme
Tant que ces conséquences ne concernaient que l’environnement, personne ne s’en préoccupait vraiment, mais le cas de l’A69 montre bien que tout le monde a beaucoup à perdre en l’absence de procédures juridictionnelles efficaces. Il faut donc travailler sérieusement et sans a priori sur des règles spéciales en matière d’environnement. Une option possible serait de prévoir que le dépôt d’un recours contre ce type de projet entraîne automatiquement sa suspension et que, concomitamment, le juge a l’obligation d’examiner ce recours dans un délai relativement court, par exemple un an. Cela présenterait, bien sûr, des inconvénients, mais, face au défaut de sagesse de certains maîtres d’ouvrage, c’est probablement nécessaire pour assurer une protection crédible de la biodiversité et améliorer significativement la sécurité juridique des projets, sans pour autant rogner l’Etat de droit.
En tout état de cause, un débat sérieux sur cette question est souhaitable. Evidemment, il ne doit pas être confisqué par des postures idéologiques : d’un côté, la défense inconditionnelle de nouvelles infrastructures ; de l’autre, leur dénonciation systématique. Il doit être abordé avec pragmatisme dans le but de pacifier les conflits, qui, malheureusement, n’ont pas manqué de se développer ces dernières années. Ne laissons pas croire qu’il suffit d’ériger une zone à défendre pour se faire entendre : nos institutions doivent être en mesure de régler pacifiquement ce type de questions. Cela passe par de meilleures procédures juridictionnelles, pas par la limitation des recours ou la critique de la justice.
Julien Bétaille, maître de conférences à l’Ecole de droit de Toulouse (université Toulouse-Capitole), est membre de l’Institut universitaire de France.
Un appel à l'action de LA SOLAIRE DU LAC
Un coup d'arrêt brutal aux énergies renouvelables se profile avec la remise en cause du contrat S21 d'obligation achat de l’électricité pour les installations photovoltaïques de 1 kWc à 500 kWc.
Le gouvernement envisage en effet de réduire, de façon rétroactive au 1er février, les niveaux de soutien aux projets solaires d'une puissance inférieure à 500kWc (segment dit "S21"), d'une manière telle que plus aucun projet ne serait viable économiquement en 2025. Ceci reviendrait en réalité à instaurer un moratoire, dans l'attente qu'un nouveau mécanisme de soutien se mette en place dans un calendrier non défini.
Ce texte aurait ainsi pour conséquence de restreindre drastiquement le développement des projets citoyens et locaux d'énergie renouvelable, mettant en péril nos initiatives et celles de nombreuses autres coopératives engagées dans la transition énergétique, et mettrait en grande difficulté toute une filière clé pour notre souveraineté énergétique.
Si cette loi est adoptée, elle entravera gravement notre capacité à produire une énergie décarbonée, locale et citoyenne et à accélérer la transition énergétique nécessaire pour atteindre la neutralité carbone.
Nous avons besoin de vous !
✊ Signez la pétition pour montrer notre opposition massive à ce projet de loi
📢 Diffusez l'information autour de vous : chaque signature compte !
La transition énergétique ne peut pas être freinée par des décisions contraires à l'intérêt général et à l'urgence climatique. Ensemble, faisons entendre notre voix !
Nous vous remercions pour votre engagement.
Le Conseil Coopératif de La Solaire du Lac
Le nuisible Laurent WAUQUIEZ
Laurent WAUQUIEZ et sa marionnette président du conseil régional ont énvoyé aux agriculteurs de la région une lettre dans laquelle ils dénigrent les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB) et l'existence même de cet office. Du pur TRUMP dont WAUQUIEZ avait déjà dit tant de bien lors de sa première élection en 2017. La réalité des chiffres de ces contrôles est donnée par la Préfète de Région et le directeur général de l'OFB : Les agents ont réalisé 140 contrôles administratifs dans la région en 2024, contre 420 en 2023, « qui n’ont donné lieu qu’à 27 suites administratives ». L’office a effectué 1 436 déplacements en 2024 pour assurer les indemnisations à la suite de prédation de troupeaux, notamment par le loup. Des suites administratives, et donc aucune poursuite pénale.
WAUQUIEZ ment donc éhontément. L'important pour ces hommes politiques n'est plus de prendre en considération la réalité des faits; mais de créer une vérité alternative en saturant les réseaux sociaux et les télévisions en continu de déclarations plus outrancières les unes que les autres, sans aucun souci de véracité. L'important c'est le coup de menton et l'attitude combative. Nullement la mesure et la recherche de compromis ou de solutions consensuelles. Nous n'en sommes plus là.
Laurent WAUQUIEZ est un homme ultra diplômé qui sait parfaitement qu'il ment lorsqu'il écrit cette lettre aux agriculteurs; mais il s'en moque. L'essentiel est de créer un climat de suspiscion à l'égard des fonctionnaires et de toutes les instances de régulation qui font respecter la Constitution et la Loi. Une dérive démocratique pour une alliance programmée avec le R-HAINE.
Nouvelles plantations, nouvelles friches...
Alors que des plantations ont lieu dans l'hypercentre place François de Menthon et rue de la Paix d'espèces qui ne feront guère d'ombre l'été, les jardins attenant comme le square des martyrs de la déportation tombent en friche sans entretien minimal.
En plantant n'importe où n'importe quoi, les LARDORG laissent à leurs successeurs des soucis d'entretien de bosquets qui n'apporteront que du travail supplémentaire aux agents municipaux sans réellement améliorer la chaleur en ville ni la qualité de l'air.
Une de leurs lubies va être par exemple de planter deux arbres devant l'église Saint Maurice qui n'en a jamais connu et où ils masqueront le bâtiment patrimonial que nous avions remis en état avec succès.
On voit cet hiver les plantations s'accélérer en cette année pré électorale simplement pour annoncer un chiffre dans le bilan municipal sans souci de leur cohérence écologique et de leur utilité environnementale.
Car les LARDORG oublient l'enjeu de l'entretien de ces espaces qui nécessite des jardiniers formés et impacte le budget de fonctionnement que la Ville doit maitriser pour se dégager des marges d'investissement. Dans le budget municipal, le budget d'investissement est alimenté par l'excédent du budget de fonctionnement. Si celui-ci n'est pas maîtrisé, l'investissement diminuera. Déjà incapables de gérer correctement les espaces publics actuels, les LARDORG chargent la barque pour leurs successeurs.
Logement social, la preuve par le chiffre
Avec le "jardin des sens", les LARDORG présentent leur premier projet de construction depuis 5 ans qui serait conforme à leur charte "bien construire ANNECY". Sauf que sur 57 logements, seuls 9 sont des logements sociaux; c'est à dire 9/57 = 15%. Soit moins que la loi SRU qui fixe un minimum de 20% et surtout deux fois moins que la jurisprudence BOSSON/RIGAUT qui fixait le minimum de logements sociaux à 30% sur tous les programmes pour parvenir sur toute la Ville à 20% en moyenne de logements sociaux. C'est cette politique qui nous avait permis avant 2020 d'être remarqués chaque année par la Fondation ex Abbé Pierre pour notre effort de mixité sociale. Les LARDORG passent cela par pertes et profits, satisfaisant ainsi leur électorat écoloégoïste. Ce sont les critères des autorisations de construire, au moins autant que le combat contre le déferlement de la spéculation Airbnb, qui sont déterminantes pour lutter contre la surenchère urbaine. Les LARDORG, en abandonnant la règle des 30%, démontrent que leur politique n'est pas une politique de solidarité sociale contrairement à leurs déclarations d'intention. Cela n'étonnera que ceux qui les ont cru en 2020.
Le meilleur et le pire
C'est une situation digne d'un thriller : le syrien qui a commis l'agression islamiste à VILLACH en AUTRICHE a été mis hors d'état de nuire par... un syrien également réfugié en AUTRICHE :
"Le porte-parole de la police autrichienne, Rainer Dionisio, a abondé lors d’un point presse : «C’était probablement un acte héroïque, oui. Cela a empêché que quelque chose de pire ne se produise.» Et le maire de Villach, Günther Albel, de saluer la bravoure d’Alaaeddin al-Halabi : «Nous sommes très reconnaissants envers l’homme qui est intervenu de manière désintéressée, courageuse et décisive.» Le gouverneur de l’Etat, Peter Kaiser, a également remercié l’homme, rappelant que son intervention «montre à quel point le mal terroriste mais aussi le bien humain peuvent être étroitement unis dans une seule et même nationalité».
Le meilleur et le pire se cotoient effectivement chez les réfugiés comme dans n'importe quelle société humaine. S'agissant de la SYRIE en particulier, aucun syrien n'a quitté son pays par plaisir : ils sont partis à cause de la guerre menée par Bachar Al Assad soutenu par POUTINE.
Et donc toutes les généralisations hâtives sur la menace que représenterait une "submersion migratoire" qui n'existe sont particulièrement dangereuses car elles exacerbent les incompréhensions réciproques.
Une étude bisannuelle réalisée par des universitaires dans 31 pays européens montre que "plus de 69% des Français sont favorables à l'accueil d'étrangers dans notre pays". Les données brutes de l'étude sont disponibles en accès direct. Les auteurs concluent "aujourd'hui sur l'immigration comme sur tout autre sujet, l'Etat doit être garant de l'utilisation d'une information fiable pour mener à bien sa mission de gardien de la cohésion sociale". On ne saurait mieux dire au moment où la Cour des comptes va publier son rapport sur l'état des retraites. Il sera intéressant de vérifier qu'il correspond aux discours alarmistes d'une réforme décriée ou si il permet une réflexion stratégique sur le compromis social à construire pour les 20 prochaines années comme le réclame la CFDT par exemple.
LARDET relance le prince ch'Armand
J'avais raconté dès octobre dernier que pour les municipales de 2026 Mme LARDET cherchait son prince ch'ARMAND (c'est ici). Elle confirme officiellement et continue d'essayer d'accrocher son sparadrap sur la chemise du député Antoine ARMAND notamment dans un entretien à LIBRINFO qui vaut son pesant de lardétude.
Elle n'habite pas à ANNECY et elle ne veut pas être maire d'ANNECY mais elle veut se présenter aux municipales à ANNECY...
Et si un jeune prince portant beau et pas bégueule voulait bien transformer la citrouille qu'est son bilan communal et communautaire déplorable en carrosse pour rester présidente du Grand Annecy, elle est parfaitement d'accord.
Il y a juste un petit hic, c'est que le prince ne lui a pas dit OUI; et qu'il ne le dira pas puisqu'elle fait valoir que la Ville mérite un maire à 100%, ce qui ne saurait être le cas d'un député qui serait alors cumulard.
En posant cette condition, Mme LARDET se prend les pieds dans le tapis.
On attend la réaction imminente du principal intéressé qui, selon mes informations, ne fait pas de doute. Econduire n'est jamais facile, mais c'est un choix de survie politique pour quiconque connaît Mme LARDET et les dégâts qu'elle a faits au Grand Annecy depuis 2020 et que seule la lâcheté de l'équipe ASTORG lui a permis de perpétrer.
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