Des indicateurs d'exposition environnementale
C'est une étude française qui croise chaleur, pollution de l'air et manque de végétation pour définir des indicateurs d'expositions environnementales au niveau de chaque IRIS "îlots regroupés pour l'information statistique". C'est à ce niveau de quelques rues que les chercheurs ont compilé de 2000 à 2018 les indices européens de défaveur sociale, les températures ambiantes quotidiennes, les concentrations en particules fines et l'indice de végétation. La conclusion est sans appel : "la défaveur sociale est fortement associée dans les zones urbaines au risque de vivre dans un "point noir environnemental". Cette défaveur sociale est d'autant plus significative que la période 2015 à 2018 est bien plus chaude que la période 2000 à 2014. Autrement dit, l'impact sanitaire du nouveau régime climatique s'accroît. Les auteurs de l'étude appellent les décideurs politiques à prendre en considération ces données pour les aménagements urbains à venir. Le compte-rendu de l'étude est sur The conversation.
Une réflexion qui n'a manifestement pas effleuré les LARDORG qui privilégient les aménagements de centre ville comme la "poche du lac" qui a eu droit à son enrobé blanc pour améliorer l'albédo et qui profitera aux touristes et aux habitants peu suspects de vivre des minima sociaux de cet endroit à quelques dizaines de mètres du lac. Il est vrai que le Maire y a élu domicile. Mais ce n'est pas cette raison qui a fait prendre la décision je pense. Idem pour la place François de Menthon qui doit devenir un îlot de fraicheur pour les habitants de l'hyper centre.
La future majorité municipale devra, au contraire de nos écolo-égoïstes, se poser la question des priorités des lieux d'aménagement pour que le combat contre le réchauffement climatique profite d'abord aux plus désargentés. La publication à venir des données spatialisées de l'étude y aidera pour identifier les rues les plus exposées.
Femme à la rue avec enfants...
Cette femme venue, exténuée, à la permanence de la CIMADE ne laisse pas de me tourmenter. Elle est à la rue avec deux jumeaux d'une douzaine d'années. Le peu de temps passé avec elle permet de savoir qu'elle a obtenu le statut de réfugiée en GRÈCE. Mais comme elle ne parle pas le grec, elle est venue en France pour essayer de s'en sortir mieux avec ses enfants scolarisés à ANNECY. La France lui répond que son statut de réfugiée ayant été obtenu dans un pays de l'UE elle peut voyager librement; mais elle n'a le droit à aucune des quelques aides aux victimes de l'exil ayant obtenu le statut de réfugié en France. Et donc elle se trouve à la rue depuis plusieurs semaines, appelant le 115 chaque jour pour essayer de trouver un toit pour une nuit, sans aucun succès.
Son histoire, entraperçue dans le mémoire de son avocat relève du cauchemar. Accusée de sorcellerie en bas âge à cause du décès de ses parents au Congo, elle a été envoyée en Angola chez une tante où, un décès plus tard, elle a été confirmée comme sorcière. De là la fuite, toujours plus loin, jusqu'à obtenir le statut de réfugiée en GRÈCE.
La CIMADE aide les démarches administratives des exilés, des demandeurs d'asile; mais elle n'a pas de logements à offrir et pas de service logement. Mes démarches sont restées vaines pour le moment. Si vous avez une idée, n'hésitez pas à me laisser un courriel à thbillet@orange.fr
Femme, vie, liberté !
La télévision publique nous offre souvent le meilleur. Avec le documentaire "Nous, jeunesse d'Iran", elle s'honore de présenter en direct de l'IRAN les témoignages de jeunes femmes de 20 ans, les unes engagées dans le mouvement pour la liberté, d'autres soutenant encore le régime des mollahs.
L'utilisation de l'intelligence artificielle pour créer des visages différents des jeunes qui témoignent et protéger ainsi leur anonymat tout en conservant leurs expressions est une première prometteuse évitant ces floutages qui défigurent les témoins. C'est une première avec ce documentaire.
Sur le fond, le film ne cache pas l'adhésion organisée depuis le plus jeune âge par le régime d'une partie de la jeunesse. La scène où l'on voit le guide suprême, vieillard cacochyme, entouré d'une marée de gamines enamourées est du même tonneau que les images de Corée du Nord. Mais le film montre aussi un camp de guérilleras kurdes dans les montagnes d'IRAK car les kurdes représentent 10% de la population iranienne. Et bien entendu, il donne la parole à toute cette jeunesse qui s'est soulevée pour l'égalité entre les hommes et les femmes et pour la liberté de conscience. Une parole très politique montrant l'incurie des mollahs à gérer la question de l'eau et de la pollution de l'air qui est irrespirable à TÉHÉRAN. Exilée, la jeunesse la plus éduquée tient le flambeau que la répression en IRAN a mis sous le boisseau. Mais aucun régime ne peut durer contre sa jeunesse. Le jour viendra comme est venu le jour de la chute du Shah en 1979.
Mme LARDET se plaint de diffamation
La lettre porte en objet "propos diffamatoires sur votre blog" et elle est datée du 8 avril. Je la reproduis volontiers puisque chacun constatera qu'aucune allégation de diffamation n'y figure. La lettre se termine d'ailleurs une gentille invitation "à la plus grande vigilance dans vos articles afin d'éviter toute diffamation". L'article en question est ici. Il porte sur le comité médical qui a confirmé la lardetose en maladie professionnelle.
Je milite depuis plus de 50 ans maintenant et mon métier m'a appris à maîtriser les termes de l'article 29 de la loi de 1881. J'imagine que Mme LARDET a demandé conseil à un confrère qui lui a confirmé que mes articles étaient factuels et qu'ils ne portaient nullement atteinte à son honneur ni à sa considération. Le site "service public" donne quelques exemples de propos diffamatoires. Jamais je n'ai utilisé de tels termes et jamais je ne les utiliserai. Pour autant, réfuter ce que Mme LARDET affirme dans ce courrier reste possible. Et je le fais.
Ainsi prétendre que c'est le syndicat majoritaire (donc l'UNSA si je comprends bien ) qui aurait relevé que le comité médical de janvier présentait un vice de forme demande à être prouvé puisque la représentante de ce syndicat a voté pour la reconnaissance de la lardetose en maladie professionnelle. Et que la lettre de saisine du second comité médical par Mme GUICHARD n'y fait nullement référence. Si l'UNSA du Grand ANNECY est à l'origine de la saisine, je vous le ferais bien entendu savoir. Nul doute que des adhérents de ce syndicat lisent mon blog avec attention ...
Assurer que cette demande de second comité médical ne concernait pas le fond du dossier mais ce simple vice de procédure est parfaitement faux puisque la demande signée de Mme GUICHARD demandait au comité médical de statuer 1/ sur la maladie professionnelle et 2/ sur le taux de 25% d'incapacité permanente partielle... ce qui est bien statuer sur le fond. Le vice de procédure était le prétexte en vue d'un réexamen complet du dossier. Mais le comité composé différemment a confirmé le point de vue du premier au grand dam de Mme LARDET.
Enfin, Mme PIMONOW - qui n'a pas besoin à ma connaissance de Mme LARDET pour s'exprimer à propos de mon article - s'est bien abstenue lors du premier comité médical et a voté pour la reconnaissance en maladie professionnelle lors du second; ce qui confirme qu'il ne s'agissait pas d'une simple question de procédure mais d'un examen au fond. Mais aussi, que Mme PIMONOW a voté en faveur de la reconnaissance du lien direct et exclusif entre le management de Mme LARDET et la dégradation de l'état de santé de l'agent concerné. Ceci est factuel et irréfutable. Et je comprends que Mme LARDET n'ait pas apprécié ce vote qui est objectivement un désaveu de son management.
Une lettre pour rien donc car si Mme LARDET pense m'impressionner, elle se trompe lourdement. Dénoncer sans relâche sa gestion du Grand ANNECY est une tâche d'intérêt général puisqu'elle a annoncé qu'elle serait de nouveau candidate en 2026.
D'ici là, il est du devoir de tous les citoyens de ce territoire de montrer le réel bilan de cette présidente habile à transformer ses échecs répétés en succès inespérés. Ses doubles discours permanents sont connus des agents de la collectivité. Ils doivent l'être de tous les futurs électeurs.
Tout va très bien, Madame la Marquise LARDET
Madame LARDET a changé les paroles de la chanson, mais elle a maintenu son esprit. Ray VENTURA et ses collégiens ont trouvé une nouvelle parolière à la hauteur. Pour annoncer le départ du directeur général adjoint en charge de l'environnement, et la liquidation de l'ensemble de l'équipe de direction dont il ne reste qu'un membre en mi-temps thérapeutique, Mme LARDET fait appel à la notion de "nouvelle étape de son histoire" pour le Grand ANNECY. Le message adressé aux agents est un modèle de langue de bois. Je le reproduis intégralement. Les agents doivent se pincer quand ils ont lu que la nouvelle équipe aura pout tâche de "renouer la confiance" que la Marquise elle-même rompu du fait de son harcèlement managérial.
Elle a fait fuir une équipe de qualité qui a su réussir l'extension de l'agglomération en 2017, qui a su travailler avec des élus de sensibilités différentes, qui a su nouer les liens nécessaires avec le monde associatif et économique local, qui a fait fonctionner un service public attentif aux habitants. Et sur cette terre brûlée à deux ans de son éviction de la présidence de l'agglomération quand les annéciens voteront en 2026, elle transforme son échec dévastateur en success story.
Devant de telles psychologies détachées du monde réel, capables d'inventer une réalité à l'opposé du ressenti des agents et des annéciens, l'observateur politique demeure coi. Heureusement ANNECY n'est pas les USA où les vérités alternatives de TRUMP soulèvent l'enthousiasme et l'adhésion.
Chacun ici sent bien que plus rien ne tourne rond au Grand ANNECY. Une preuve supplémentaire avec "l'audit organisationnel" lancé par la Marquise depuis quelques semaines dont les objectifs sont tellement flous que le consultant est incapable de les expliquer aux agents qu'il rencontre; ce qui suscite une inquiétude légitime de leur part.
P... 2 ans !
Oasis jacquaires...
Sur le chemin de COMPOSTELLE, il n'y a pas que la traversée de l'AUBRAC, ou la descente vers CONQUES, ou l'abbaye de MOISSAC, il y a également quelquefois une usine chimique, une station d'épuration ou l'autoroute à contourner. Mais cette fois, j'ai traversé un concentré de la France moche. Celle des maisons individuelles ceintes de murs plus hauts les uns que les autres, celle des extensions inachevées, par manque d'argent, de courage ou de goût, celle des chiens de garde et des pancartes plus débiles les unes que les autres sur le thème "le chien est gentil, mais le maître est bizarre", celle des centaines de kilomètres de chemins goudronnés où passe une voiture par jour, celle des plateaux sportifs où aucun enfant ne joue jamais, celle des villages vides de commerce et d'enfants en pleines vacances scolaires... En voiture, on fait partie du tableau, on compte les kilomètres en minutes pour aller au supermarché. A pied, on devient observateur. On a le temps, on s'immerge. Quelques photographies en forme témoignage.
On compare la hauteur des murs de soutènement, les milliers de parpaings pour s'isoler (de qui ? du voisin qui fait pareil ?). Et puis, on redécouvre de visu l'usage du désherbant dans les vignes, sous les clôtures ou au bord des ruisseaux par des agriculteurs qui oublient qu'ils s'intoxiquent d'abord eux-mêmes.
Difficile à 4 kilomètres/heure de ne pas s'interroger sur ces vies repliées sur un isolement créé de toute pièce.
Mais le soir, telles des oasis d'ouverture au monde, les accueils jacquaires de l'association des amis de SAINT JACQUES. Des personnes dont vous ignorez tout vous reçoivent chez elles. L'accueil est "donativo" selon le terme espagnol utilisé sur le "camino" : chacun donne ce qu'il peut sous réserve de prouver qu'il est bien un pèlerin dûment muni de sa crédanciale, le sésame indispensable... Et la magie opère à chaque fois.
Là, c'est un couple qui revient d'une randonnée en vélo de plusieurs mois en CORÉE et au JAPON après avoir passé plusieurs semaines à CALAIS pour donner à manger aux migrants bloqués là-bas. Ils repartent bientôt en OUZBEKISTAN mais vous parlent plutôt de leur séjour d'un an dans un village amérindien pour "aider".
Ici, c'est une dame investie dans l'accueil de familles de réfugiés syriens et de jeunes apprentis d'origine étrangère qu'il faut héberger pour qu'ils puissent poursuivre leurs études au village d'à côté. Elle me laisse seul dîner chez elle car elle a une réunion pour préparer un voyage. La porte reste ouverte jusqu'à son retour.
Ailleurs, c'est un couple qui vient vous chercher sur le chemin alors qu'ils habitent à quelques kilomètres. Elle revient de la bibliothèque où elle aide les institutrices à choisir les histoires qu'il faudra raconter aux enfants. Lui me montre l'album photo des dernières Joélettes, ces drôles de machines cyclables qui permettent d'emmener sur le chemin des personnes handicapées jusqu'à COMPOSTELLE. Une solidarité, un dévouement qui le rendent fier même si il n'utilise jamais ces mots et les réfuterait sans doute, trop pudique, trop persuadé que c'est normal de faire ça pour les autres.
Plus loin, une dame me dit au téléphone de m'installer car ils rentreront plus tard. Son mari me découvre chez lui un peu interloqué car elle n'a pas eu le temps de le prévenir. Mais il prépare le frichti que l'on partagera tous les trois en discutant de nos expériences professionnelles. Il est directeur des espaces verts dans une ville proche : les sujets ne manquent pas.
Et enfin, un accueil paysan dans une ferme qui transforme la viande des cochons qu'ils élèvent. Evidemment ils connaissent "Plutôt nourrir" et nous évoquons le souvenir de Jean VULLIET, responsable de la confédération paysanne en Haute Savoie... Pour eux, l'agriculture paysanne permet de donner du sens à la vie. Leur fils, ingénieur agronome, vient d'ailleurs de s'installer dans le département voisin dans la même philosophie. Avec sa compagne, ils gagneront trois fois moins que dans un travail salarié. Pour eux, produire sainement des aliments de qualité procure une satisfaction qui mérite ce renoncement.
Prochain départ sur le Chemin le 7 mai
Artiom SHISHKOV le 27 avril à ARGONAY
L'association des biélorusses des deux Savoie organise un concert de leur compatriote, violoniste de renommée internationale, Artiom SHISHKOV le 27 avril à 18 heures 30 à l'église d'ARGONAY. Cette association engagée dans le soutien au peuple ukrainien agressé par la Russie mérite notre soutien. Et les vidéos des prestations d'Artiom SHISHKOV font espérer un excellent moment musical.
Repartir sur le chemin...
Repartir marcher quelques jours. Le plus léger possible. Demander l'hébergement dans un "accueil jacquaire"; ces personnes, souvent elles-mêmes pèlerins et pèlerines, qui vous accueillent chez elles pour la nuitée. Retrouver le pas qui vous convient, celui qui vous emmènera loin, sans hâte, mais sans hésitation car il y a 218 kilomètres à parcourir cette fois. Bien peu par rapport à la "Via de la plata" parcourue en son temps depuis SÉVILLE, mais l'important n'est pas là. La compétition n'a pas sa place ici. Chacun invente son chemin à sa façon. Mystique, décontractée, méditative, silencieuse ou enjouée,... Mettre ses pas dans ceux des millions de personnes qui sont allés à COMPOSTELLE depuis des siècles, c'est s'inscrire dans une perspective culturelle millénaire qui fait découvrir humblement un paysage ici, une chapelle là, un oratoire plus loin, ... Peu de gens en réalité, loin des poncifs sur la fréquentation excessive du chemin. On marche dans le même sens, à des rythmes et des départs différents. Il n'est pas rare de ne rencontrer personne. Et il n'est pas besoin d'avoir envie de parler avec ceux que l'on rencontre. Personnellement, je suis sur le chemin plutôt du genre taiseux ; il m'arrive de dire que j'y parle aux pierres. Savoir d'où vient l'autre, si il est croyant et ce qu'il fait dans la vie m'importe peu. Pour d'autres amis, ce fut l'occasion de rencontres qui les marquèrent à jamais. En attendant, marchons...
La fête des LARDORG
Et voilà la fête des LARDORG ! La vraie, celle qui leur ressemble, à défaut d'être celle qui nous ressemble. Rt que voilà une belle consultation citoyenne sur le sujet. Ah oui j'oubliais, cela concerne la fête du Lac. Pour faire oublier le grand vide de leurs réalisations concrètes, les LARDORG multiplient les consultations par internet sur tous les sujets. Le dernier en date, avec une vidéo du Maire en prime, concerne la fête du lac. "Une fête qui nous ressemble", ose t'il. Mais moi je ne veux rien qui ressemble aux LARDORG ! Je veux vous oublier au plus vite, dès 2026. Vous renvoyer dans les poubelles de l'Histoire comme un cauchemar dont il faudra bien tout le mandat 2026-2032 pour remettre la Ville et l'agglomération en marche. Mais revenons à la consultation.
L'amie Séverine GRARD a pu voter 3 fois; j'ai essayé, on peut voter autant qu'on veut... Cette consultation est totalement bidon. Quant aux questions, elles sont tellement orientées dans le sens des LARDORG que cela méritera d'être enseigné dans les écoles de communication comme exemple de manipulation. Sans compter la gamine qui pose les questions, preuve de l'infantilisation à laquelle les LARDORG voudraient nous réduire. Nous, nous savons. Et une gamine va vous expliquer ce que vous ne savez pas comprendre. Trop bêtes pour eux. Et les LARDORG vous le font sentir d'entrée vous interrogeant du haut d'une tête de trois pommes.
Et puis enfin, les principaux protagonistes sont absents : ce sont les spectateurs. Sur les 42 000 visiteurs payants, combien sont annéciens ? La Fête du lac est un spectacle que la Ville offre à ses visiteurs. Et ils ne sont pas interrogés... Cette particularité annécienne d'une fête pilotée par la Ville intégralement, sans recours au secteur privé, n'est jamais évoquée par les LARDORG. Veulent-ils sous-traiter au privé ? Tout est à craindre avec les LARDORG, alors que la Fête est aussi un moment de bravoure et de fierté pour le service Logistique événement de la Ville.
Aucun rappel historique n'émaille les propos du Maire : sans doute ignore-t'il que la Fête remonte à la visite de Napoléon III du 29 au 31 août 1860 pour fêter le rattachement de la SAVOIE à la France. Jusque là, ANNECY tournait le dos au lac. Nous avions raconté cette histoire en 2012 à l'occasion de l'élection d'ANNECY comme ville alpine de l'année, à l'occasion d'un cycle de conférences du service des archives de la Ville sur l'histoire des relations des annéciens à leur lac. Merci encore à Marice-Claude RAYSSAC pour le travail qu'elle réalisa à cette occasion.
Mieux traités en finançant DAESH qu'en défendant l'environnement ...
J'emprunte à Jean-Jacques FRESKO, de la lettre d'information INFO-NATURE, son éditorial sur les ciments LAFARGE et la surenchère répressive que représente les arrestations opérées suite à l'entrée de militants écologistes dans l'usine de VAL DE REUIL. Ils ont été menottés chez eux comme de véritables terroristes ou assassins (avec des erreurs de surcroît sur les personnes poursuivies...). Cet abus, criminalisant une action symbolique de quelques minute, est inquiétant. Alors que le gouvernement a laissé bloquer des axes routiers majeurs et saccager des édifices publics par la FNSEA, le "2 poids 2 mesures" à l'égard des écologistes que démontrent ces arrestations dénie au gouvernement tout bénéfice de la politique environnementale qu'il revendique.
Urgence Attentats |
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