Ruptures conventionnelles, le prix de la paix sociale
Les partenaires sociaux se sont mis d'accord en 2008 sur la négociation des départs de l'entreprise sans contentieux possible par le dispositif des ruptures conventionnelles. Pour les salariés, c'était la possibilité de percevoir des allocations de chômage au lieu de démissionner. Pour les patrons, c'était l'assurance de sécuriser un licenciement sans avoir besoin de le motiver puisque la rupture était amiable. Donnant donnant ou gagnant gagnant...
J'ai toujours considéré que les ruptures conventionnelles (devenues entre temps la méthode de rupture des contrats de travail la plus populaire) était un moyen de paix sociale sur le dos des cotisants à l'assurance chômage.
Il est devenu avec le temps un "droit" pour les salariés, et avec le barème MACRON pour limiter les indemnités pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, il est apprécié des patrons pour limiter drastiquement le recours aux Prud'hommes et pour se séparer d'un salarié qui n'a plus envie de rester dans l'entreprise et qui le fait savoir : le salarié évite la démission et l'employeur évite le procès.
Bien entendu, le prix à payer grossit avec la popularité de la mesure. En ces temps de vaches maigres, le gouvernement envisage de revenir dessus.
Et ni les organisations patronales, ni les organisations syndicales n'y sont favorables même si elle coûte de plus en plus cher à l'assurance chômage car elle favorise une fluidité du marché du travail entre des entreprises qui ne se sentent plus engagées par le maintien de l'emploi et des salariés désormais habitués à passer d'une entreprise à une autre sans prendre le risque d'une démission.
Une forme de socialisation des risques de rupture des contrats de travail aux dépens de formes d'emploi stables qui atteint les limites de son propre succès, les ruptures conventionnelles sont l'une des expressions de la crise de la valeur travail tant du côté des entreprises que des salariés.
Sandrine ROUSSEAU, la mauvaise farce des écologistes
Comme Laurent WAUQUIEZ, Sandrine ROUSSEAU est dotée d'une compétence académique. Quand ils parlent aux médias, ils en connaissent les règles : une formule violente de quelques secondes sera reprise en boucle. Une explication argumentée de quelques minutes restera confidentielle. Alors, ils ont décidé l'un comme l'autre; mais aussi DATI, RETAILLEAU, LE PEN, de céder à la tentation de la notoriété plutôt qu'à celle de la conviction.
L'important devient donc de choquer pour passer à la télé en continu, de caricaturer ses propres positions pour accéder à une audience.
Dès lors que cette posture est prise, il est aisé de trouver le sujet qui fera l'audimat. Dès qu'une crise apparaît, la saisir et trouver l'angle qui va mettre d'autres acteurs en colère et susciter en retour une vague d'indignation qui alimentera la notoriété de l'émetteur initial.
Le revenu des agriculteurs pour l'une, les immigrés à Saint Pierre et Miquelon pour l'autre. Mme ROUSSEAU, comme M. WAUQUIEZ se moquent des impacts négatifs de leurs propos sur leur camp politique. On a parlé d'eux, c'est l'essentiel.
S'agissant de Sandrine ROUSSEAU, ses propos débiles sur les revenus des agriculteurs qui sont le coeur du débat idéologique et économique sur le type d'agriculture que l'on souhaite, montrent sa méconnaissance du dossier, mais surtout son mépris pour les 2 millions de personnes qui ont signé la pétition à l'Assemblée nationale dont elle sabote la puissance et occulte les motivations, par une seule phrase épouvantail qui sert la propagande de l'agro-business.
Comme dans le dossier BAYOU qu'elle accusa sans preuve et dont elle détruisit la carrière politique, Mme ROUSSEAU est à l'écologie politique le pire exemple d'irresponsabilité. Rien d'étonnant à ce qu'avec des personnalités comme elle, le parti écologiste végète alors qu'il devrait caracoler en tête. Mais Mme ROUSSEAU s'en moque, on a parlé d'ELLE. Le reste, elle n'en a rien à "péter".
Rachida DATI reste au gouvernement
Dans les affaires de Rachida DATI, la plus choquante n'est pas celle qu'on croit. Personne ne doute de l'arrivisme de cette magistrate, qu'il s'agisse de sa vie personnelle ou de sa vie professionnelle. Quant à la procédure pénale qui lui annonce un prochain procès pour avoir servi des intérêts privés au Parlement européen, elle n'est que l'une des casseroles que son "franc parler" ne lui évitera pas. Mais ce qui me choque, ce n'est même pas cela. Qui pouvait s'attendre à autre chose de cette personne ?
Ce qui me choque, c'est que MACRON/BAYROU la conservent au gouvernement après qu'elle eut insulté les magistrats qui ont traité son dossier et menti à la manière de TRUMP à leur propos.
Notre démocratie est fondée sur la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. En insultant les magistrats du Parquet national financier qui ont eu l'impudence d'enquêter sur ses turpitudes, Mme DATI viole le principe de la séparation des pouvoirs et mobilise le pouvoir exécutif contre le pouvoir judiciaire.
En la conservant au gouvernement alors qu'elle a commis cette faute "trumpienne", le Président de la République et le Premier Ministre - qui nous ont promis en leurs temps et tous les deux une République exemplaire - tolèrent une rupture démocratique qui va permettre à Mme DATI de continuer ses diatribes contre toutes les institutions en charge de faire respecter la démocratie : les journalistes, les magistrats, ...
En avril 2009, dans "ABUS de POUVOIR", M. BAYROU écrivait :
"Le président de la République a un plan. Il conduit la France là où elle a toujours refusé d'aller. L'abandon du modèle républicain, le culte de l'argent, le choix d'une société d'inégalités, le renoncement à ce qui faisait la force et l'originalité de la France dans le monde.
Partout, la France se range du côté des puissants.
En même temps, tous les centres de décision, politiques, économiques, médiatiques sont convoités et mis en réseau. L'arbitraire règne en maître.
Jamais démocratie ne porta plus mal son nom. Jamais République ne fut moins publique."
Seize ans plus tard, Mme DATI - et les diamants de ses amants affairistes - reste au gouvernement de M. BAYROU qui ne s'est pas relu depuis qu'il est premier ministre.
Docteur JEKYLL à PARIS, Mister HYDE à ANNECY
Il est toujours intéressant quand on observe la vie politique de mesurer comment les décisions prises au plan national (et donc à l'Assemblée nationale) ont des conséquences locales; et comment tel ou tel parlementaire assume sur le plan local les décisions qu'il a votées à la capitale.
Ainsi de la soudaine sollicitude du député Antoine ARMAND pour le quartier de NOVEL et en particulier son opposition à la fermeture du bureau de LA POSTE à NOVEL-TEPPES. Parce que le projet de budget de 2025 présenté en septembre 2024 prévoyait 50 millions d'euros de moins au budget de LA POSTE au titre de la "présence postale"; c'est à dire le poste bugétaire qui permet à LA POSTE de bénéficier d'un soutien de l'Etat pour assurer une présence sur le territoire même aux endroits où le service au public est déficitaire. Antoine ARMAND, ministre des Finances, a soutenu cette réduction finalement abandonnée suite à la pression de l'association des maires ruraux auprès de Michel BARNIER. Devant la bronca des maires, le gouvernement BARNIER avait reculé. Mais cette déliquescence programmée du service postal était validée par le gouvernement. Et cette déliquescence impliquait la fermeture de nombreux bureaux de poste. Alors comment reprocher à LA POSTE de fermer celui de NOVEL à ANNECY alors qu'on est d'accord pour lui retirer le financement de son maintien quand on prépare le budget de LA POSTE à PARIS ?
C'est la main droite qui ignore ce que fait la main gauche ? En tous cas, au-delà des mots creux tenus localement pour empêcher la suppression d'un service public dans un quartier difficile, c'est le signe tangible d'une incohérence politique qui est inquiétante. La fin du cumul des mandats a permis aux parlementaires de ne plus être exposés quotidiennement à cette schizophrénie politique.
Mais quand un parlementaire veut devenir maire, il faut veiller à ce que ses votes au Parlement ne soient pas en contradiction avec ce qu'il affirme vouloir faire au plan local. On ne peut pas être choqué des conséquences de ce que son gouvernement a souhaité.
Je ne sais pas si Antoine ARMAND a été de ces députés qui ont moqué la porte parole de "Cancer Colère" après le vote de la loi DUPLOMB. Je lui fais le crédit de ne pas avoir aboyé comme les élus du R-HAINE avec lesquels il a voté cette loi. Par contre, j'ai lu de sa plume qu'il continuait de soutenir la réintroduction d'un néonicotinoïde tueur d'abeilles au motif que d'autres pays européens l'utilisaient. Drôle d'argument quand il s'agit de santé publique. Mais surtout, Est-ce parce que d'autres pays européens ont des législations homophobes que cela justifierait leur présence en FRANCE ? Si d'autres pays européens ont des législations déplorables, est-ce un motif pour adopter la même en FRANCE ? Avec un tel raisonnement, si la FRANCE doit s'aligner sur les moins disant européens, la régression sociale et environnementale est assurée pour notre pays. C'est pour s'opposer à cette politique régressive qu'un million de français ont signé la pétition à l'Assemblée Nationale contre la loi DUPLOMB votée par Mme RIOTTON et M. ARMAND.
Nous avons supprimé à ANNECY les pesticides dans les espaces verts de la Ville depuis plus de 15 ans. J'imagine la joie de M. MULATIER GACHET si M. ARMAND est tête de liste à la prochaine municipale. Un vrai cadeau pour lui.
AMG :
"Monsieur ARMAND, vous avez voté la loi DUPLOMB qui réintroduit un pesticide tueur d'abeilles et vous avez revendiqué votre vote, menaçant même un de mes colistiers de poursuites pénales pour avoir dénoncé ce vote, allez-vous réintroduire les pesticides si vous êtes élu Maire d'ANECY ?"
AA :
"Oh non bien entendu, il n'en est pas question. Nous n'avons pas de betteraves sucrières dans ma circonscription".
AMG :
"Vous distinguez donc la valeur des abeilles pour la protection de notre environnement selon la plantation qu'elles butinent ? En réalité, derrière des discours brillants, mais géographiquement incohérents, vous cachez la réalité de vos engagements en défaveur de la nature et de la santé publique puisque nous consommons à ANNECY du sucre des betteraves dont vous avez autorisé la pollution chimique. On ne peut pas vous faire confiance pour maintenir la politique "zéro phyto" que Jean-Luc RIGAUT a portée et que nous avons poursuivie. Pourquoi ne feriez-vous pas à ANNECY, une fois élu Maire, ce que vous avez voté à PARIS en tant que député ?"
Du pain bénit pour les LARDORG et un sujet de réflexions pour celles et ceux qui veulent vraiment les renvoyer à leurs chères études...
Qui pariera que les annéciens sont favorables à la fermeture d'un bureau de poste ou à la réintroduction d'un pesticide ? Qui a envie de rejouer les LEGISLATIVES aux MUNICIPALES au lieu de parler des problèmes particuliers de notre Ville en 2026 ? Qui est à ce point persuadé que le parachute de BERCY à ANNECY est un parachute doré pour prendre un tel risque ?
/https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FfR5n83E9pU8%2Fhqdefault.jpg)
Loi Duplomb : la créatrice du collectif "Cancer Colère" crie son indignation à l'Assemblée nationale
"Vous êtes des alliés du cancer et on le fera savoir !" Fleur Breteau, porte-parole du collectif "Cancer Colère" a crié son indignation dans l'hémicycle après l'adoption de la loi Duplomb, ce...
Loi DUPLOMB, mettons lui un coup dans l'aile !
Une pétition sur le site de l'Assemblée nationale explose les compteurs avec plus de 250 000 signatures en quelques jours pour demander le retrait de la loi DUPLOMB votée contre les abeilles , contre l'environnement et la santé publique. Munissez vous d'un moyen d'authentification "FRANCE CONNECT" - par exemple celui de votre déclaration d'impôts sur le revenu - pour crier votre colère contre nos parlementaires apprentis sorciers et d'un peu de patience car le site est très chargé compte-tenu du succès de cette pétition.
La jeune femme à l'origine de la pétition raconte :
« La Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire. Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens », écrit Eléonore Pattery, étudiante de 23 ans à l’origine de la pétition. « Cette loi est un acte dangereux. Pour les travailleurs, les habitants, les écosystèmes, les services écosystémiques, et pour l’humanité tout entière », ajoute-t-elle. « Je ne suis affiliée à aucun parti », précise-t-elle sur son compte LinkedIn.
ANTICOR en HAUTE SAVOIE
Dans le cadre de son Tour de France contre la corruption, Anticor fera étape les 21 et 22 juillet en Haute Savoie avec sa camionnette aux couleurs de l’association !
Lundi 21 juillet – Annecy
📍 Bistro des Tilleuls – 13 chemin de la Prairie, 74000 Annecy
🕢 À 19h30 : projection-débat du film La (très) Grande Évasion de Yannick Kergoat, sur l’évasion fiscale.
Débat animé par Emma Taillefer, Présidente d’Anticor.
Entrée libre, c’est gratuit !
Mardi 22 juillet – Annemasse
📍 Marché d’Annemasse
🕗 De 8h à 12h : stand d'information et jeux Anticor.
Entrée libre, c’est gratuit !
Mardi 22 juillet – Thorens-Glières
📍 Cinéma Le Parnal – 260 rue Saint-François de Sales, 74570 Fillière
🕗 À 20h : projection-débat du film Aicha de Mehdi M. Barsaoui, traitant de la corruption en Tunisie.
Débat animé par Maxence Lambert, juriste d’Anticor.
Informations et réservation disponibles [en cliquant ici].
Hotel de ville, les travaux ont démarré le 5 mai
Heu, enfin presque... C'est pourtant ce que les LARDORG avaient promis sur le site de la Ville : démarrage des travaux le 5 mai (ci-dessous)... Au train où vont les choses, le chantier démarrera peut-être le 5 septembre, soit avec 4 mois de retard. Pendant ce temps-là, la mairie subit toutes les intempéries sans bâche de protection sur le toit, démontée trop hâtivement depuis des mois. La grue du chantier, quant à elle, décore la vieille ville de sa girouette. La location d'une telle grue pendant des semaines sans aucune utilisation ne sera qu'un des aspects de l'incurie de l'équipe municipale actuelle à gérer le moindre chantier d'ampleur. Heureusement que le département a pris la main pour réaliser le haras, sinon nous en serions au même point d'inachèvement.
Fermeture du bureau de Poste de Novel :
Denis DUPERTHUY s'indigne avec raison du double jeu des LARDORG dans le dossier de la fermeture du bureau de poste de NOVEL : ses arguments sont concrets et précis. Mme FARMER, une fois de plus, aura été dépassée par son rôle factice de maire déléguée d'ANNECY...
Fermeture du bureau de Poste de Novel : la majorité municipale doit rendre des comptes
Le collectif « Nous, Annecy » dénonce avec force la complicité active du maire et de la majorité municipale dans le démantèlement du service public postal à Annecy, en particulier la fermeture annoncée du bureau de Poste de Novel.
Contrairement aux déclarations publiques de certains élus de la majorité, la Ville n’a pas découvert ce projet de fermeture dans la presse. Dès avril, le conseil de quartier n°6 “le Manoir”, alerté par des agents de La Poste, avait saisi officiellement la mairie pour obtenir des clarifications. Ce courrier n’a pas reçu de réponse claire.
Pire : une réunion a ensuite été organisée à la Poste centrale avec la participation de Mme Farmer, maire déléguée, dont le rôle a été, non pas de défendre le maintien du bureau, mais de faciliter l’acceptation de sa fermeture auprès des représentants du quartier.
Lors de cette réunion, la Ville a offert une tribune aux responsables de La Poste pour justifier leur décision, allant jusqu’à évoquer l’avenir des locaux municipaux concernés.
Les faits sont clairs : il y a eu concertation entre la Ville et La Poste, un accord a été trouvé sur la fermeture, et un commerçant local suivait déjà une formation en avril pour assurer un service postal minimal.
Ces éléments contredisent frontalement les affirmations récentes de la majorité, qui tente aujourd’hui de se dédouaner de toute responsabilité.
Le revirement opportun du maire, qui aurait finalement écrit à La Poste en ce début de semaine, ne saurait effacer des mois de silence, de non-dits et de manœuvres visant à dissimuler la vérité aux Annéciens.
Le collectif « Nous, Annecy » refuse de cautionner cette duplicité. Nos élus, Claire Lepan et Denis Duperthuy, ne participeront pas à une mise en scène d’unité avec ceux qui ont activement soutenu ou laissé faire la casse du service public postal. Leur place sera auprès des habitants, lors du rassemblement citoyen du 16 juillet, pour exiger vérité, transparence et respect des engagements publics.
Denis DUPERTHUY
Une ville apaisée !
"Apaiser la Ville", "apaiser la Ville", "Apaiser la Ville", imaginez Mme LARDET et M. ASTORG beugler la même rengaine que celle de Johnny allumant le feu... Les LARDORG répètent ce mot valise depuis presque 6 années : apaiser. Et voilà le résultat ce 15 juillet avec une queue monstre rue Jean JAURES, rue SOMMEILLER et rue de BONLIEU embollisées par les touristes qui essayent d'accéder au parking de la préfecture puisqu'ils n'ont aucun parking relais disponible et aucun grand parking de centre-ville pour se poser et découvrir la vieille ville. La Ville est submergée et les LARDORG regardent ailleurs.
Mme LARDET pleure son prince Ch'armand qui a annoncé qu'il ne voulait pas d'elle, renvoyée aux poubelles de sa gestion désastreuse du Grand Annecy et de son management toxique du personnel.
M. ASTORG a jeté l'éponge, au grand bénéfice de sa santé physique et mentale malmenée par les aboiements de certains de ses colistiers et la désertion de la plupart déjà occupés à se reconvertir en dehors de leur mandat municipal.
Restent M. MULATIER GACHET, occupé à utiliser les moyens municipaux pour tenter de devenir Maire et Mme GREBER et M. TATU qui doivent se départager pour conduire une liste concurrente radicale à souhait, mais surtout susceptible de leur offrir les indemnités d'élus dont ils ont apprécié depuis 2020 la générosité.
Au milieu de la rue piétonne, un garage à motos
Dans le cadre de la renaturation de la Ville et de l'apaisement des circulations, voici le parking à motos en pleine rue piétonne, rue de la paix, dans l'axe de la rue Jean Jaurés désormais réouverte aux voitures. On se demande où les LARDORG trouvent tant d'imagination pour se tirer une balle dans le pied !
M. MULATIER GACHET a trouvé la parade à ma dénonciation d'utilisation abusive des moyens municipaux : REVEILLONS ANNECY republie désormais les articles de la Ville à la gloire de ... REVEILLONS ANNECY.
Séverine GRARD a fort justement soulevé la légalité de la distribution par REVEILLONS ANNECY du bilan de mandat de l'équipe municipale actuelle avec des appels à rejoindre la liste de M. MULATIER GACHET.
Tout ceci rappelle furieusement les pratiques de la campagne municipale de 2020 et l'utilisation des moyens municipaux, malheureusement blanchis par les juridictions administratives et l'absence de moyens de contrôles de la HATVP.
Dès que les 6 mois de campagne électorale municipale auront débuté, il faudra noter scrupuleusement ces pratiques dévoyées. M. MULATIER GACHET, il ne vous reste plus beaucoup de temps pour utiliser les moyens de la Ville à votre avantage personnel. Dépêchez vous d'inaugurer le peu que vous pouvez inaugurer. Pour la mairie, la piscine, les parkings relais, les installations photovoltaïques municipales, c'est définitivement trop tard.
/image%2F0935223%2F20231224%2Fob_20fe5a_fa44fd04-3b83-4512-9dce-534c79192bb9-1.jpeg)
/image%2F0935223%2F20250717%2Fob_07b236_isere-6.png)
/image%2F0935223%2F20250716%2Fob_a84db3_screenshot-20250424-175709.png)
/image%2F0935223%2F20250715%2Fob_855db9_52ffb528-883e-40be-92d8-b9d438d2a429-1.jpg)
/image%2F0935223%2F20250712%2Fob_754206_3b2a99ed-0a8d-43dd-b2a2-10614e16760c-1.jpg)