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thierry billet
Articles récents

L'année de " Ville des Alpes " n'est qu'un début

15 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

 

Lutte contre le changement climatique, participation des jeunes, identité alpine : en 2013, les 14 " Villes des Alpes de l'Année " ont multiplié les initiatives. Quelques-unes de ces actions sont présentées dans le Rapport annuel de l'association " Ville des Alpes de l'Année ".

Lecco, " Ville des Alpes 2013 ", coopère avec d'autres villes alpines pour une politique urbaine durable.
© studiofotografico.com

4342_Lecco.jpg

Lecco, ville italienne située au bord du lac de Côme, a été désignée " Ville des Alpes 2013 ".

Antonio Zambon, membre du jury de l'association " Ville des Alpes de l'Année ", explique dans le Rapport annuel 2013 comment ce titre a permis de lancer une série de manifestations et de projets sur les thèmes de l'efficacité énergétique, de la mobilité douce et du changement climatique.

Des participants aux ateliers de Villach et de Gap apportent eux aussi leur témoignage : dans le cadre du projet transalpin Alpstar, les villes ont lancé le débat sur la participation de la population à la lutte contre le changement climatique et sur l'action des communes dans leur rôle de maître d'ouvrage.

Quant à Christian Volz, professeur au lycée de Sonthofen, il fait dans une interview le bilan du Parlement des Jeunes de la Convention alpine (YPAC), organisé en 2013 en coopération avec les Villes des Alpes de l'Année.
Le Rapport annuel est disponible gratuitement sur :
www.alpenstaedte.org/fr

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14 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Bonjour à tous,
 
Le Club Climat de la ville d'Annecy est heureux d'organiser dans le cadre de son cycle de conférences " les Mardis de l'éco-durable",  la venue de Raphaël SOUCHIER autour de son ouvrage "Made in local: emploi, croissance, durabilité , Si la solution était locale ?".
 
Le Mardi 27 MAI à 19h30 Salle Yvette MARTINET à Annecy
 
Auteur et conférencier, il est aussi consultant européen en économies locales soutenables, facilitation de processus et coopération trans-culturelle.
Au cours des 20 dernières années, il a animé pour l’Union Européenne onze réseaux de coopération et projets d'échange d'expériences entre collectivités, universités et entreprises à travers le continent.
Polyglotte, il a vécu dans divers pays, dont les Etats-Unis où il a vécu l'expérience du mouvement Business Alliance for Local Living Economies (BALLE).
Il est aussi intervenu en tant qu'expert auprès de l’UNESCO, de l’UNHCR et du Conseil de l’Europe.
Il est titulaire d'un MBA (HEC Paris) et diplômé des universités de Paris (licence de sociologie, DEA d'ethnologie et science des religions et DU de médiation et gestion des conflits).
 
En quelques mots sur ce livre:
 
Notre nourriture, notre énergie, notre santé, notre argent... Dans bien des domaines, des logiques mondialisées dirigent notre quotidien, non sans dérives.
Il existe pourtant des alternatives : un mouvement de rééquilibrage se développe, qui réhabilite le local, les circuits courts, le développement durable, la démocratie.
Parti à la rencontre de nombreux entrepreneurs qui se sont engagés dans cette voie, Raphaël Souchier rapporte leurs expériences, de la création de systèmes locaux de nourriture à la relocalisation industrielle, de l'invention d'outils de financement à celle de médias de proximité.
Il s'intéresse en particulier au mouvement Balle, pionnier de cette nouvelle approche, qui réunit plus de 30 000 entreprises locales dans 80 villes et régions d'Amérique du Nord. Peu à peu se dessinent ainsi les contours d'une "nouvelle économie locale" qui redonne du sens au travail et permet à des territoires entiers de revivre.
Et si le local était la solution ? Made in local rend accessible tout un vivier d'idées, d'expériences et d'outils pour penser et vivre l'économie autrement.
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12 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Partir loin, dans un rythme différent, permet de rendre matûre une réflexion que l'on porte depuis des mois et qui devient progressivement évidente. La question du "pacte de responsabilité" devenue l'alpha et l'omega du Président HOLLANDE est présentée comme une démarche social-démocrate. Une démarche de compromis social dont la FRANCE a besoin pour sortir de l'ornière. La preuve d'une modernisation des relations sociales dans notre pays. J'ai toujours plaidé pour la négociation collective, je n'en change pas. En revanche, ce qui nous est présenté comme social-démocrate n'a rien à voir avec la social-démocratie. Qu'on me parle de la création d'un SMIC en ALLEMAGNE, et je vous dis qu'elle en est une illustration évidente : le capitalisme d'outre Rhin doit accepter une régulation de son fonctionnement et l'abandon de salaires à 4 euros de l'heure pour ses travailleurs roumains dans ses abattoirs. Car c'est bien de cela dont il s'agit quand on se veut social-démocrate : réguler le capitalisme pour limiter ses abus et améliorer le sort des salariés. C'est ce que la gauche a fait en 1983 avec les lois AUROUX : de nouveaux droits pour les salariés et leurs organisations syndicales dans le cadre du système économique capitaliste. De "nouveaux droits". On dirait que c'est un gros mot aujourd'hui.

Le pacte de responsabilité propose t'il le moindre nouveau droit aux salariés et aux syndicats ? La réponse est négative. La démarche est fondée uniquement sur des reculs sociaux en contre partie d'embauches putatives. Tandis que les pères La RIGUEUR du MEDEF s'octroient des augmentations de rémunération honteuses, méprisantes pour les salariés. Aucune analyse économique impartiale ne vient corréler la baisse du coût du travail et la création d'emplois pérennes. Il n'y a que les idéologues libéraux pour le prétendre. Mais François HOLLANDE a abandonné toute vélléité de débat sérieux sur la question : il s'est rallié sans aucun détour à cette antienne.

Dès lors rien ne sépare plus la politique économique et sociale de l'UMP et du gouvernement HOLLANDE. Les Français se rendent bien compte que les rodomontades et les fausses polémiques des deux écuries socialiste et ump n'ont pour objet que de masquer la compatibilité de leurs politiques.

A la différence de l'ALLEMAGNE où le SPD et la CDU gouvernent ensemble en assumant de manière dynamique leurs désaccords, la FRANCE voit s'affronter deux camps qui se présentent artificiellement  comme différents mais qui partagent la même politique économique de l'offre, de l'austérité pour les salariés et de la croissance à tous prix.

Pas étonnant donc que le slogan du F-HAINE sur l'UMPS fonctionne aussi bien. La pièce de théâtre à laquelle se livre le gouvernement et l'UMP ne fait plus recette. La crise du politique vient clairement de là : l'abstention est la fille adultérine de cette absence de confrontation d'idées réellement contradictoires d'où pourraient sortir des compromis dynamiques.

Parce que HOLLANDE ne s'assume pas comme un social-démocrate décidé à encadrer les excès du capitalisme, mais comme le pompier d'une croissance qui ne crée plus d'emplois depuis 30 ans. Parce que l'UMP est prise au piège d'une politique économique qu'elle conduirait dans les mêmes conditions, le débat idéologique se déplace sur des sujets passionnants comme la PMA ou le statut des beaux parents. Pas sûr que ça mobilisera l'électeur qui a raison de penser qu'on se moque de lui.

Ce papier de M. FASSIN dans LIBERATION me semble intéressant :

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MUSTANG...

11 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Le NEPAL, plutôt le MUSTANG, un royaume himalayen de 6.000 habitants, interdit aux étrangers jusque 1991. 3.000 visiteurs par an qui acceptent de verser 50 $ par jour pour découvrir un désert à 4.000 mètres d'altitude parsemé d'oasis de verdure au bord des fleuves cultivées en terrasses grâce à l'irrigation. Des paysans qui vivent de peu, dans une nature hostile et des paysages somptueux. Un tourisme peu intrusif, des dénivelés qui font mal au souffle et les grands sommets himalayens en toile de fond. Magnifique !

Les habitants vivent dans des conditions d'hygiène du Moyen Age, mais avec le téléphone portable, comme ce berger au milieu de nulle part écoutant de la musique sur son téléphone en faisant la sieste sous un rocher, ou ces paysans labourant à l'araire tirée par deux vaches sur des parcelles de quelques dizaines de mètres carrés. Un mode de vie très ancré dans la tradition boudhiste tibétaine : le Dalaï Lama et LHASSA en photo dans toutes les maisons et une forme de détachement vis à vis du monde extérieur qui laisse le voyageur dans une quiétude totale.

Dans la capitale, la rencontre d'un homme extraordinaire, Luigi FIENI, qui restaure les fresques du XV° siècle de temples de l'âge d'or du MUSTANG quand LO MANTANG était un carrefour commercial entre le TIBET et l'INDE. 6 mois par an dans cet environnement rustique, à oublier le minestrone et les lasagnes, et à se consacrer à l'incroyable travail millimétrique de rénovation de fresques où il peut y avoir 100 représentations de Boudha  sur un seul mètre carré de mandala (dont la moitié tête en bas)... Contact immédiatement chaleureux avec ce "fou" heureux qui consacre sa vie à un grand oeuvre culturel qui ne sera pas fini avant 20 ans encore si les financements privés continuent pour ce travail de géant minutieux et porteur de sens, car Luigi forme des jeunes népalais et tibétains à l'art de la peinture traditionnelle. Voici une présentation de son travail sur son site :

 

 

Et voici quelques photos pour vous donner l'idée de ce monde montagnard isolé entre 3.500 et 4.000 mètres d'altitude. L'hiver, la vie est si dure que la plupart des habitants redescendent en plaine... Les photos défilent en cliquant dessus... 

Certaines agences de tourisme font pression sur le gouvernement népalais pour qu'il supprime le droit d'entrée du permis de trek obligatoire pour 10 jours minimum. Funeste proposition commerciale alors que la limitation de l'accès permet de maintenir un équilibre entre le mode de vie traditionnel paysan qui s'accompagne d'un accueil chez l'habitant et un tourisme doux qui ne perturbe pas l'éco système local. Demain si l'on peut aller à LO MANTANG en jeep pour une journée, c'en sera fini de la quiétude de ce lieu mystique balayé par le vent.

 

MUSTANG...
MUSTANG...
MUSTANG...
MUSTANG...
MUSTANG...
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Ville du futur

10 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Ma délégation municipale inclut la réflexion (et les actions nécessaires) à l'anticipation de la Ville du Futur. D'autres appellent cela la "ville intelligente", traduction littérale de l'intitulé anglais "smart cities". il s'agit de s'inscrire dans le mouvement des objets connectés qui vont se parler par le web, échanger des informations en temps réel et donc modifier nos comportements et nos façons de vivre et de travailler. Par exemple, comme le souligne le n° de KAIZEN (la revue du mouvement des COLIBRIS de Pierre RABHI) avec les espaces de "co working", espaces partagés au même titre que les fameux "fab lab" où s'inventent les entreprises de demain. Tout ceci peut être d'une particulière efficacité pour réduire notre empreinte carbone; c'est ce qui explique la double délégation à l'écologie et à la Ville du futur.

Je participe à ce titre le 15 mai à un séminaire de l'Ecole des Mines autour de la démarche "Futuring cities".

Voici ce qu'en dit M. Francis JUTAND :

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Penser et construire la ville autrement

9 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Penser et construire la ville autrement

Le Comité local de développement qui représente la société civile auprès des élus du CDDRA organise le 14 mai une réunion thématique intéressante avec Jean HAENTJENS sur l'urbanisme au regard du réchauffement climatique. Venez nombreux.

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Alain LIPIETZ, théorie et pratique

8 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Les VERTS de VILLEJUIF ont donc choisi de faire alliance avec deux listes de droite pour battre une maire communiste. Leur leader Alain LIPIETZ et ses colistiers sont menacés d'exclusion comme nous en avons fait l'objet de la part de la même clique directoriale des VERTS dont nous fûmes victimes. Alain théorise sur cette question de manière qui me semble intéressante pour tous les écologistes. Et qui s'applique à ANNECY comme ailleurs...
Réflexions finales

Une nouvelle aventure commence, mais concluons provisoirement par un peu de théorisation.

Je l’ai dit : nous avons mis six mois à nous accoutumer à ce que nous allions faire, une union citoyenne par dessus le clavage droite/gauche, tant sont prégnantes, chez les politiques que nous sommes, les habitudes hérités de la bipolarisation propre à la Ve République.

J’ai donné plus haut les liens vers les raisons strictement villejuifoises de notre choix. En fait, la population voulait ce changement, et il n’est pas sûr que nos propres électeurs nous auraient suivi si nous nous étions maintenus (au risque de faire gagner la liste Cordillot). Mais notre stratégie a-t-elle une portée au delà de Villejuif ?

Je serais d’abord tenté de répondre Non, tant la liste « investie UMP » que nous avions en face de nous me paraît exceptionnelle. Je le détaille, en réponse aux arguments qui ont été avancé sur les listes internes de EELV pour justifier notre suspension : « l’UMP est ultra-libérale, or le libéralisme est incompatible avec l’écologie. » J’y reviens plus loin, mais, comme je l’explique ici, si, à Villejuif, nous avons pu passer contrat avec une liste estampillée UMP, c’est qu’elle ne présente guère les aspects de loup-garou incarnés par les Sarkozy-Copé. D’abord, elle ne présente pas explicitement ce caractère « ultra-libéral » ni même spécifiquement plus libéral que la liste Cordillot, bras politique des promoteurs à travers son aménageur attitré, la Sadev.

Mais, Nonna Meyer le souligne : le clivage droite/gauche qui s’approfondit en France (comme aux USA) n’oppose pas le caractère plus ou moins libéral ou dirigiste ni même social selon les partis de gouvernement, mais le clivage entre ethnocentristes (racistes) et universalistes. Or - c’est frappant sur les photos – la « couleur » est apportée dans ce conseil municipal par notre Union citoyenne, à commencer par la liste arrivée en tête (avec investiture UMP), et les élus de la liste Cordillot, blancs comme des cachets d’aspirine, ont sérieusement besoin de se ressourcer aux Antilles. Universalistes, certes, mais alors bien assimilés…

Pourquoi alors ces miliant-e-s hors-normes qu’on aurait été bien contents d’accueillir à EELV sont-ils sur une liste estampillée UMP ? Sans soute la famille, la religion, ou l’intelligence et la généreuse bonhommie de la tête de liste Franck le Bohellec, sorte de gaulliste social à l’ancienne ? Ou tout simplement que le gaullisme populaire continue à exister et Sarkozy nous l’avait fait oublier ?

C’est ouvrir la réflexion au delà de Villejuif. Nous avons fait cette alliance avec pour unique boussole les valeurs fondamentales de EELV : démocratie, solidarité, responsabilité écologique, et elle nous a indiqué des points qui ne devraient pas s’y trouver, selon la carte traditionnelle orientée « droite-gauche ». La liste « de gauche » occupait le pole anti-démocratique, solidarité réduite au clientélisme, opposition résolue à l’écologie environnementale. Sans même évoquer les questions d’éthique, si nous nous étions alliés avec ceux qui avaient reçu des Cosse-Placé le logo EELV, comment aurions-nous pu sans rougir participer par exemple aux réunions sur le climat de la conférence de Paris ?

Le fond de la question est que les Cosse –Placé conçoivent les alliances politiques selon le paradigme traditionnel du progrès, défini par le modèle « fordiste » de 1945, où l’on est plus à gauche quand on est plus dirigiste et moins libéral, que l’on crée plus d’emplois en produisant plus, que l’on est plus social en entassant du Hlm en barre dans ces « terrains libres » que sont les espaces verts et agricoles, sauf qu’on est plus écologiste en repeignant en vert ce modèle caduque qui conduit l’humanité et la planète à la catastrophe. Sur leur carte, il y a de droite à gauche le FN, l’UMP, l’UDI-Modem, le PRG et le MRC, le PS, le FdG, le NPA, et quelque part entre PS et FdG, la case EELV.

Et bien non. Cette carte, les gens n’y croient plus et sont littéralement « déboussolés ». Déjà parce que les points qu’ils ont sous le yeux ne correspondent pas à la carte : la « vielle gauche » qui devait être au moins démocratique (depuis le XVIIIe siècle) et, de plus, sociale (depuis le XIXe siècle) n’est plus ni l’une ni l’autre, ni à Villejuif, ni à l’échelle nationale. Et parce que les gens ont conscience qu’il manque une dimension à la carte, celui de la qualité de la vie en accord avec les contraintes écologiques, qu’ils appellent « bien-être », « responsabilité » et « tranquillité ».

Alors, quand on vient leur dire « votez quand même pour cette gauche, parce que c’est écrit dessus qu’elle est de gauche », quelque chose se casse. Il revient aux écologistes sincères la dure mission de reconstruire, au delà des ruines, un nouveau paradigme de « bien-vivre » fondé sur la démocratie participative, l’autonomie, la solidarité, et la responsabilité écologique.

Bon ça, c’est la stratégie. Mais sur le terrain, les écologistes, qui ne sont pas majoritaires, doivent faire des choix tactiques. Je suis de ceux qui dès 1992 avons insisté que « en général » les alliances seront plutôt avec la vieille gauche. Et cela pour des raisons liées en effet à la contradiction entre marché et écologie. Mais cela ne veut pas dire que le dirigisme soit spontanément écologiste, au contraire : les plus grande catastrophe écologiques du XXe siècle sont venues de folies planistes : Tchernobyl, Mer d’Aral…

Quand le planisme est au service du productivisme (et c’était le cas à Villejuif), il devient le pire ennemi de l’écologie. Notre Mer d’Aral, notre Plateau de Saclay, s’appellent : démantèlement du parc des Hautes Bruyères, urbanisation du Terrain des Maraichers (notre dernière terre agricole), du terrain Mollicone (dernier espace vert en centre ville)…

C’est pourquoi on ne peut faire d’alliance ni à droite, ni à gauche , sans un accord programmatique défini par notre boussole, et non par une carte périmée. Ce que nous appelions autrefois « autonomie contractuelle ».

D’ailleurs, pour ceux qui préfèrent la tactique à la stratégie , il y a encore une raison bien simple. A partir du moment où tous les partis de gouvernement ont la même politique économique (Fillon, Ayrault , Valls), pour négocier le meilleur accord, il faut faire jouer la concurrence. Si on dit à l’avance que, même sans aucune négociation, on soutiendra la liste où il y a le PS, que peut-on espérer obtenir de ce parti ? La seule façon d’être un jour en mesure de peser sur les orientation des socialistes (ou du PCF là où il domine encore), c’est de leur montrer que, s’ils n’ont rien à nous offrir, on ira chercher ailleurs…

Dans ce cas, l’initiative de EELV-Villejuif a d’un coup rehaussé les standards de toute négociation ultérieure… même avec le PS.

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Les Toques éthiques

7 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Les Toques éthiques : le concours de cuisine locale pour mettre vos talents culinaires au profit d'une action éco-citoyenne !


Le principe est simple : en équipes de 4 et avec l'aide d'un restaurateur, vous aurez pour mission de créer un plat et un dessert avec une empreinte écologique minimum.

Vous voulez vous inscrire, ou simplement en savoir plus ?

Contact : Cédric Daviet - 04 50 67 17 54 - cedric.daviet@prioriterre.org

Flyer disponible en PJ ou simplement en cliquant ici
Prioriterre_AG_2014_WEB.pdf flyerToqEthiq2014_WEB_LEGER.pdf

Rappel :
Conférence/table ronde : "Habitat participatif : quand l'utopie devient réalité"
Le vendredi 16 mai 2014 à 20h00 à la maison pour la PLANÈTE à Meythet


Né en France dans les années 70, l'habitat partagé autrefois appelé "habitat autogéré" refait surface. Composé d'espaces privés et d'espaces communs (jardins, buanderie, cuisine, chambre d'amis, etc), l'habitat partagé prône un épanouissement de la vie sociale tout en préservant l'intimité de chacun.

En présence de :
- l'association PartageToit : promotion des coopératives d'habitat en Haute-Savoie
- la société coopérative Tangentes Architectes : accompagnement des projets d'habitat groupé

Avec les témoignages de :
- DOMISILAMI à Grenoble : expérience de 2 ans au centre ville
- La Ruche à Saint Cassin : expérience à petite échelle en auto-construction en milieu rural
Entrée libre
Invitation disponible ici ou en PJ

Pour plus d'information, contacter prioriterre au 04 50 67 17 54 ou par mail à contact@prioriterre.org

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1 Mai 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Je  vous ai déjà dit combien je trouvais sympa le chant choral et le plaisir de chanter ensemble. Pour la Fête de la Musique, nous allons donner avec le GEVA "Jesu meine freunde" de Bach.  Ce choeur est ouvert à tous, venez ! Pour vous mettre dans l'oreille, c'est en dessous...

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22 Avril 2014 , Rédigé par Thierry BILLET

Voici un superbe film d'animation intitulé "sans lendemain" sur la question de la croissance que me signale Pierre POLES...

 

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