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thierry billet

Carbone : le temps de la responsabilité et de la solidarité

13 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

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Philippe MEIRIEU, très probable tête de liste aux régionales

12 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #C'est personnel


Philippe MEIRIEU est lyonnais.

Il est l'un des pédagogues les plus reconnus en FRANCE, digne héritier des rénovateurs de la pédagogie, farouche rénovateur de l'Ecole au service des plus humbles.

Pour connaître ses prises de position en ce domaine, vous pouvez cliquer ci-dessous :

link

Il a accepté d'être tête de liste d'EUROPE ECOLOGIE au niveau de RHONE-ALPES pour les élections régionales.

Ce choix, soutenu par Dany COHN BENDIT et Michèle RIVASI doit encore être validé par les responsables d'EUROPE ECOLOGIE en région, mais il est maintenant sur la place publique et traduit la capacité d'EUROPE ECOLOGIE à continuer de rassembler largement.

Philippe MEIRIEU s'en explique dans LYON CAPITALE dans un entretien tout à fait explicite que vous trouverez ici :

link

La décision finale n'est pas encore prise, mais cela semble en bonne voie.

Le premier sondage pour les régionales donne 20% à EUROPE ECOLOGIE et 25% au Parti socialiste.


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Vagues sur le lac...

12 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Politique locale


Cet été aura été le théâtre de nombreuses prises de position concernant la gestion du lac et plus précisément la maîtrise des vagues...

L'association des pêcheurs amateurs a saisi le Président de la République de cette question, mettant en cause notamment le wake board, mais également le ski nautique.

Les clubs d'aviron ont repris le flambeau en mettant en cause les difficultés d'entraînement qu'ils rencontrent du fait de la multiplication des vagues.

Le 29 juillet, un accident qui aurait pu être gravissime s'est produit lorsqu'un puissant hors bord a percuté un bateau de jeunes s'adonnant au ski nautique. L'étrave était si haute que le conducteur n'a pas vu le second bateau. Par miracle, il n'y a pas eu de blessés, mais on est passé à côté d'une seconde catastrophe après celle de l'écrasement d'un bateau contre le Roc de Chère.

Toutes ces réactions mettent en cause de manière évidente la cohabitation de plusieurs activités sur le lac.

Le nombre de boucles d'amarrage autorisées sur le lac est stable, voir même en régression.

Le nombre de bateaux qui y évoluent est donc certainement stable, même si les bateaux mis à l'eau pour la journée s'y ajoutent.

En revanche, la vitesse excessive de certains pose un problème sérieux de cohabitation et la gendarmerie fluviale n'a pas les moyens de contrôler sérieusement les dépassements de vitesse et les conduites dangereuses.

Il nous faut donc remettre le travail sur le métier et revoir la question de ces cohabitations.

Le collège des usagers de la conférence Lac a mis à son programme de cet automne un groupe de travail sur la motorisation des bateaux de manière à se projeter sur l'évolution souhaitable pour les dix prochaines années.

En effet, nous sommes à un moment où les politiques doivent arbitrer sur cette question en accord avec l'Etat qui est le propriétaire du lac.

Pour faire court, faut-il décider de renoncer à la motorisation au gasoil et aller vers une réduction de la puissance des bateaux en favorisant les utilisations du lac avec des propulsions douces ou doit-on favoriser tout ce qui permet de faire "neuf" et "jeune" en acceptant des utilisations qui misent sur la puissance de l'engin et la création de grosses vagues ?

Le collège des usagers créé au SILA a du pain sur la planche.





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Taxe carbone : contributions de Pascal CANFIN

11 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement


Pascal CANFIN, nouvel eurodéputé écologiste et responsable de commission économique des VERTS, publie deux articles sur la contribution climat énergie.

Répondant aux énormités socialistes sur le sujet, il publie un article : "oui, la taxe carbone est de gauche, la preuve par les chiffres", à lire ici :

link

Et "sortir du piège du gouvernement" pour bien montrer la duplicité de la politique gouvernementale que vous pouvez lire ici :

 

link

Pour autant on ne peut jeter le bébé avec l'eau du bain !


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Parking Day le 18 septembre à ANNECY

10 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Politique locale



Un groupe de jeunes annéciens a souhaité s'associer à la démarche internationale "Parking Day" pour inciter les citoyens à changer leurs modes de déplacement.

Pour cela, les animateurs transforment avec l'accord de la Mairie, deux places de parking en espace vert temporaire qui devient un lieu de rencontre... pour attirer l'attention des passants sur la nécessité de changer nos habitudes de transports et permettre un échange sur ces questions.

Pour voir de quoi il s'agit, cliquez sur le lien :

link

Sur Annecy, cette initiative est relayée par Benjamin MARIAS et ses amis.

Vous pouvez le rejoindre en cliquant sur le lien :

link

L'opération aura lieu le 18 septembre de 12 heures à 18 heures, au coin de la Rue ROYALE et de la Rue de la POSTE, devant l'entrée de la POSTE.

N'hésitez pas à venir dialoguer sur le sujet.

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Une rentrée scolaire en hausse d'effectifs...

9 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Politique locale


La rentrée scolaire 2009 a montré une augmentation significative des effectifs d'élèves scolariés à ANNECY en maternelle et dans le primaire.

En maternelle, 1.346 élèves inscrits soitt 33 de plus et 2.190 en primaire, soit 153 élèves de plus.

La Ville accueille 134 classes avec une moyenne de 29 élèves en moyenne en maternelle et 25 élèves en élémentaire.

Une création de poste a été obtenue à l'école CARNOT sur les deux demandées par la Ville et les enseignants.

ANNECY affirme ainsi son dynamisme, y compris par un retour en ville de familles plus jeunes, c'est une excellente nouvelle, même si les effectifs sont importants dans chaque classe.

Mais cela renvoit à la politique nationale en la matière : supprimer des postes dans l'Education Nationale n'est pas sans conséquences, merci MM. DARCOS et CHATEL.











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Le Principe responsabilité...

8 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #C'est personnel


Je relis avec beaucoup d'émotion "Le principe responsabilité" de Hans JONAS, ce philosophe allemand, grand ami de Hannah ARENDT, et qui par ce livre, introduit la question de la responsabilité de l'humain, non seulement vis à vis de ses prochains, mais vis à vis des générations futures.

JONAS insiste sur la révolution technologique qui crée de nouvelles responsabilités pour l'espèce humaine, au-delà des critères de l'impératif catégorique de KANT.

Ce livre des années 1970 n'a pas pris une ride puisque l'accélération des évolutions technologiques et les menaces pour la survie de l'espèce humaine sont toujours croissantes.

Je suis responsable non seulement vis à vis de mes contemporains, mais également vis à vis des hommes de demain.

Simple, mais révolutionnaire.

Je choisis un 4 x 4 bien polluant et bien gaspilleur de CO2 = je suis un irresponsable.

C'est parce que l'empreinte écologique de l'homme est en développement exponentiel que la question de sa responsabilité élargie dans l'espace et dans le temps est posée; et que l'ouvrage de JONAS réédité en format de poche est aussi utile pour fonder une éthique écologiste.



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Bernard ACCOYER fait sa rentrée dans le DL.

7 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Politique locale


Par un entretien donné au Dauphiné, Bernard ACCOYER délivre sa bonne parole d'une manière très habituelle : il tape sur tout le monde, mais surtout sur J-Luc RIGAUT qui est vertement dénoncé comme un piètre financier et un dépenseur abusif de l'argent public.

Le Conseil général se fait secouer aussi, un peu moins selon le journaliste.

Voilà une bien intéressante interview. Tout aussi intéressants les commentaires sur le site internet du DL à 99.99% anonymes, comme si il était dangereux de critiquer les propos du maire d'ANNECY LE VIEUX, sauf celui de l'un de ses adjoints qui trouve les propos excellents...

Je suis surpris de cette volonté de se cacher pour donner son point de vue sur internet.

Cela permet de dire n'importe quoi, d'être outrancier dans ses propos, ou de masquer que la plupart des commentateurs sont des supporters de l'interviewé ou de ses adversaires politiques. Un seul supporter peut enregistrer plusieurs messages pour donner du poids à son point de vue, et tenter d'influencer les autres lecteurs.

Mais cette prise de parole est significative : Bernard ACCOYER influe sur l'agglomération d 'ANNECY de manièer significative : il freine tous les dossiers qui ne lui plaisent pas.

Pour éviter les clashs permanents le président tempère et des dossiers aussi importants que l'achat de vélos électriques sont renvoyés aux calendes parce que Bernard n'est pas d'accord...

En attendant l'agglomération donne le sentiment de patiner; ce qui donne des justificatifs aux critiques de M. ACCOYER.

Comme l'agglo n'a pas de ligne politique, mais est l'agrégation des intérêts communaux, tout ce qui fâche est évacué. Autrement dit, les politiques les plus novatrices ou qui ne plaisent pas à Bernard ( ce sont souvent les mêmes évidemment) sont mises en stand by...

Vivement l'élection des conseillers communautaires au suffrage universel !

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Bilan Carbone du SILA : de premières indications...

7 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET


La réalisation du "Bilan Carbone" du SILA est maintenant presque achevée.

Sur le plan du constat, les émissions de gaz à effet de serre du SILA représentent 27.000 tonnes équivalent carbone, soit l'équivalent des émissions de 13.500 français.

Comme il fallait s'y attendre, 90% des émissions sont liées à l'incinération.

Sans la mobustion liée à l'incinération qui surdétermine le résultat global, les émissions par secteurs sont de 66% au traitement des déchets, de 25% liés à l'assainissement, 6% liés aux activités tertiaires et 3% pour des activités marginales du SILA.

On peut réduire de l'ordre de 2.500 tonnes les émissions du SILA en identifiant des axes d'action qui passent par les tranasports, mais évidemment surtout sur la diminution de l'incinération et son remplacement par de la méthanisation et la production de compost, comme le préconise l'orientation politique du SILA en fermant d'ici 4 ans le 3° four de CHAVANOD.

Le comité de pilotage se réunit à nouveau fin septembre pour valider le plan d'action.

En parallèlle, le dossier d'agrément pour la certification iso 14001 du SILA avance bien avec une forte implication du personnel.

Ces deux démarches complémentaires vont donc pouvoir être conduites de front dans le délai prévu.
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La taxe carbone : un nouveau modèle pour l'économie

5 Septembre 2009 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement


Par Gilles Le Blanc | Economiste | 04/09/2009 | 11H30 sur Rue89

 

Je poursuis avec ce texte un tour d'horizon sur la question de la "taxe carbone". Je m'amuse de lire que 66% des français sont contre : avec la présentation déplorable qu'en ont fait l'UMP et le PS et l'absolu manque de loyauté dans la présentation du travail de Michel ROCARD, je m'étonne qu'ils ne soient pas plus nombreux ! J'apprends incidemment que Jean Pierre MIGNARD, le président de Désir d'avenir, lâche à son tour Ségolène ROYAL... Ce n'est pas forcément un hasard.

 

« Nouvel impôt », « contrainte supplémentaire pour les entreprises »,« inefficacité », « injustice sociale »…

 

Les critiques contre le projet de taxe carbone du gouvernement pleuvent, ouvrant des oppositions internes aux partis et des coalitions d'intérêt inédites. Alors que l'urgence de lutter contre le réchauffement et l'épuisement des ressources naturelles fait l'objet désormais d'un large consensus, on peut s'en étonner.

 

La polémique, parfois teintée de surenchère médiatique, tient en partie à ce que le sujet reste abordé principalement sous l'angle fiscal alors qu'il s'agit d'une question économique beaucoup plus large. En particulier, la dimension industrielle mérite une attention particulière.

Tous les secteurs et activités sont concernés

 

Au départ, un objectif général largement partagé : modifier les comportements afin de réduire la consommation d'énergie, de ressources fossiles et l'émission de CO2 et de polluants divers. Cela passe par la mise au point de produits, de technologies et de services « verts ».

 

Puis ensuite de favoriser leur diffusion et leur adoption générale par l'ensemble des populations, condition nécessaire pour infléchir réellement le réchauffement climatique en cours. L'enjeu est donc considérable : rien moins que d'inventer un nouveau modèle économique, car tous les secteurs et activités sont concernés (agroalimentaire, industrie, transport, logement, loisirs…).

 

Le débat actuel porte sur la meilleure et la plus juste façon d'y parvenir. Pour cela, il faudra créer de véritables marchés avec des productions de masse, accessibles à l'ensemble de la population, au lieu des quelques niches existant actuellement réservées aux plus fortunés ou mieux informés.

 

L'histoire de l'industrie nous montre quels mécanismes puissants peuvent être mobilisés pour y parvenir.

 

Ils sont au nombre de deux :

 

      Les économies d'échelles.

 

Il s'agit de la baisse du coût de production à mesure que le volume augmente. L'automobile, l'électroménager et, plus récemment, les appareils numériques en fournissent des exemples spectaculaires.

 

      Par la standardisation et l'automatisation, des biens initialement de luxe se sont banalisés avec leur production de masse. Il fallait 3 700 heures de travail au salaire minimum pour acquérir une 2 CV en 1949 contre 1300 en 1990.

 

      Les effets de réseaux.

 

Dans le second cas, illustré par les réseaux de voie ferrée, d'électricité ou dans les années 90 de téléphonie mobile, c'est l'intérêt du produit ou service (les économistes parlent d'« utilité ») qui augmente lorsque le nombre d'utilisateurs s'accroît.

 

      A un niveau de prix donné, plus il y a d'abonnés au téléphone mobile, plus il sera intéressant d'y souscrire car on pourra toucher plus de personnes et l'utiliser dans des buts variés (privés, professionnels).

 

Ce petit détour nous permet de reposer la question de la taxe carbone. Il ne faut pas l'envisager comme un impôt punissant ceux qui consomment ou produisent mal mais comme le moyen de permettre la création de nouveaux marchés de masse, seule condition pour que les biens « verts » deviennent accessibles à la totalité de la population.

 

Et pour cela, enclencher, par des investissements rationnels, les dynamiques d'économies d'échelle et de réseau évoqués plus haut.

 

On rétorquera qu'il n'a nul été besoin d'introduire semblable taxe pour que l'automobile et les écrans plats deviennent abordables. Effectivement, là réside la spécificité de la question environnementale, et le rôle associé de la taxe.

La taxe : une incitation à « produire vert »

 

Car, si le gain proposé par le nouveau produit « automobile » ou « écran plat » par rapport aux alternatives existantes est évident, tangible et valorisé économiquement par le consommateur, pouvant justifier un écart de prix, un bien « vert » ne dispose pas des mêmes atouts.

 

Son intérêt est en effet différé (les économies accumulées au cours du temps) et collectif (tout le monde vivra mieux si on consomme de tels biens). La taxe vise précisément à introduire, dès maintenant, cet intérêt de façon monétaire, en pénalisant les produits moins sobres en énergie. Ce biais est certes artificiel, mais il est légitimé par l'objectif poursuivi et l'incapacité du marché à y répondre seul.

Dans ce cadre, il devient économiquement rationnel pour des entreprises, dans une logique de profit, de se lancer dans la R&D et les investissements nécessaires à une production de masse de produits « verts ».

 

Démocratiser les produits « verts »

 

Sur la dimension sociale et de justice, il ne faut pas se voiler la face. Les inégalités environnementales et sociales vont de pair. Les ménages les plus défavorisés, ceux qui subissent le plus les effets de la crise actuelle, n'ont/n'auront pas les moyens d'accéder aux biens et services « verts » tant que ceux-ci ne seront pas fabriqués à très grande échelle et que leur prix n'aura pas été abaissé (ou leur utilité augmentée) par des économies d'échelle (et des effets de réseaux) suffisants.

 

L'exemple de la voiture électrique illustre bien ce double processus. Seul le passage à des grands volumes de production permettra de réduire l'écart avec le prix des véhicules existants. Mais on oublie souvent aussi l'aspect investissement, qui concerne les effets de réseaux.

 

Car il faudra bien recharger en énergie son véhicule électrique soit sur des stations dédiées, soit par un échange standard de batteries. A l'instar des milliers de stations services qui maillent notre territoire, un réseau de points de recharge suffisamment dense est nécessaire pour que chacun, compte tenu de sa localisation et de ses trajets, puisse y accéder.

 

L'effort d'investissement sera considérable mais peut aussi aller très vite, comme dans la téléphonie mobile, dès lors qu'une demande de masse émerge. L'enjeu de la taxe est ainsi de fournir le signal fort, crédible et prévisible du futur marché de masse à venir, incitant les acteurs économiques à investir à grande échelle.

L'alternative à la taxe carbone pose des problèmes

 

L'alternative proposée par certains consisterait à taxer les profits des entreprises par exemple pétrolières (ou électriques ? ) qui bénéficient du prix croissant avec la rareté des ressources épuisables. Si on maintient l'objectif affiché d'une orientation environnementale, il faut aller au bout du raisonnement.

 

Cela signifie que ce sera l'Etat, collectant le produit de cette taxe, qui pilotera l'offre et la demande de produits « verts », par des outils multiples (subventions à la R&D et l'investissement, incitations fiscales à la consommation par une TVA réduite). Le dispositif sera sans doute complexe mais est imaginable.

 

Ce qui pose plus fondamentalement problème, c'est la capacité de l'Etat à faire les bons choix. Car nous ne sommes pas seuls, et d'autres pays s'engageant dans la même direction des produits, des standards et des technologies vont progressivement s'imposer au plan mondial.

 

Notre histoire est malheureusement jalonnée de grands projets technologiques, bâtis avec les meilleures intentions du monde, mais qui se sont révélés de cuisants et coûteux échecs.

 

Le rôle de la puissance publique en matière d'impulsion, de soutien, de réglementation est incontestable, et plus que jamais dans ce modèle à créer de l'économie verte.

 

Mais la définition précise des produits et des technologies résulte d'un jeu complexe, d'expérimentation et d'interactions entre l'offre et la demande, qui ne peut être géré et planifié entièrement par des administrations.

 

Plutôt que de prélever 1 ou 2 milliards d'euros de taxes sur les profits de Total, il serait ainsi souhaitable que, compte tenu du niveau et de la progression affichée de la taxe, avec ses conséquences prévisibles sur la réduction des marchés de l'entreprise et l'émergence parallèle de nouveaux marchés, celle-ci s'engage, dans son intérêt bien compris, dans des investissements de 1 ou 2 milliards dans l'offre de produits « verts » innovants !

 

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