Je lis dans la bouche de Gilles de KERCHOVE, coordinateur antiterroriste de l'Union européenne, à la suite des assassinats de CHARLIE HEBDO :
« Nous sommes confrontés à des phénomènes de désespérance sociale, de décrochage scolaire ou familial et qui trouvent dans une distorsion de l'islam, une manière de retrouver une estime de soi ».
(Le MONDE 20 janvier 2015)
Cette formule synthétique me paraît lucide.