L'AUSTRALIE refuse de s'engager contre les changements climatiques
Je trouve sur MEDIAPART cet article sur la situation en AUSTRALIE ce début
janvier.
L'AUSTRALIE qui refuse de prendre part à la lutte contre le réchauffement climatique.
AUSTRALIE. Les autorités australiennes ont décrété, lundi 4 janvier, l'état de catastrophe naturelle dans les zones inondées de Nouvelle-Galles-du-Sud au sud-est du pays, frappé par des pluies diluviennes depuis le passage du cyclone tropical Laurence. Plusieurs rivières sont sorties de leur lit, notamment la rivière Castlereagh dont la crue a atteint 5,14 mètres lundi à la mi-journée à Coonamble. 1200 habitants de cette localité ont été évacués. Dans l'immédiat, les pouvoirs publics devront réunir plusieurs millions de dollars pour régler la facture de ces inondations. Plus au nord, dans l'Etat voisin du Queensland, des pluies diluviennes ont également provoqué des inondations, tandis que dans l'ouest de l'Australie de violents incendies font rage. (Le Monde, AFP)
AUSTRALIE. Les autorités australiennes ont décrété, lundi 4 janvier, l'état de catastrophe naturelle dans les zones inondées de Nouvelle-Galles-du-Sud au sud-est du pays, frappé par des pluies diluviennes depuis le passage du cyclone tropical Laurence. Plusieurs rivières sont sorties de leur lit, notamment la rivière Castlereagh dont la crue a atteint 5,14 mètres lundi à la mi-journée à Coonamble. 1200 habitants de cette localité ont été évacués. Dans l'immédiat, les pouvoirs publics devront réunir plusieurs millions de dollars pour régler la facture de ces inondations. Plus au nord, dans l'Etat voisin du Queensland, des pluies diluviennes ont également provoqué des inondations, tandis que dans l'ouest de l'Australie de violents incendies font rage. (Le Monde, AFP)
Dette publique, l'explosion
Il n'est pas possible de repenser sans sourire à
la période du gouvernement JOSPIN au cours de laquelle la gauche fit assaut d'orthodoxie financière pour "tenir" les déficits publics tant de l'Etat que de la Sécurité sociale.
La "barre" des 3% du PIB imposée par le traité de MAASTRICHT (tiens on a presque oublié ce nom dont l'on nous rebattait les oreilles tous les jours comme celui du plus impératif catégorique économique) était devenue l'alpha et l'oméga.
Malheur à celui qui aurait laissé filer les déficits !
Avec Nicolas SARKOZY, tout ceci est oublié.
La dette publique est de 1.457,40 milliards d'euros et tout le personnel politique de droite s'en moque comme de sa première chemise. Ce qui est troublant, c'est ce j'en foutisme. La somme est tellement énorme que personne n'arrive plus à en prendre la mesure. A ce niveau là, 1 ou 2 milliards de plus !
Plus aucun être humain ne peut prendre la mesure de ce chiffre abyssal, ce qui permet de l'aggraver encore avec un "grand emprunt" : on n'est plus à cent milliards près nous disaient il y a peu une soixantaine de députés UMP.
La loi TEPA a coûté 11 milliards pour détaxer des heures supplémentaires en période de chômage et pour assurer le bouclier fiscal aux plus riches. Le cadeau aux restaurateurs a coûté 3 milliards d'euros.
Mais la "chasse" aux évadés du fisc aurait rapporté selon M. WOERTH... 0,5 milliard d'euros. Chiffre invérifiable qu'il présente comme un succés remarquable !
Quant à la Sécu, plus personne n'en parle.
Qui paiera l'addition de ces cadeaux fiscaux ?
Qui prendra les mesures nécessaires au remboursement de cette dette colossale ?
Elles sont renvoyées aux calendes grecques et surtout s'accompagnent d'une politique de remise en cause exclusive du service public dans tous ses aspects avec la Revue générale des politiques publiques (RGPP) qui déstabilise complètement les administrations déconcentrées de l'Etat, avec des regroupements ministériels invraisemblables au plan régional et la liquidation des directions départementales qui deviennent de vagues unités territoriales.
La "barre" des 3% du PIB imposée par le traité de MAASTRICHT (tiens on a presque oublié ce nom dont l'on nous rebattait les oreilles tous les jours comme celui du plus impératif catégorique économique) était devenue l'alpha et l'oméga.
Malheur à celui qui aurait laissé filer les déficits !
Avec Nicolas SARKOZY, tout ceci est oublié.
La dette publique est de 1.457,40 milliards d'euros et tout le personnel politique de droite s'en moque comme de sa première chemise. Ce qui est troublant, c'est ce j'en foutisme. La somme est tellement énorme que personne n'arrive plus à en prendre la mesure. A ce niveau là, 1 ou 2 milliards de plus !
Plus aucun être humain ne peut prendre la mesure de ce chiffre abyssal, ce qui permet de l'aggraver encore avec un "grand emprunt" : on n'est plus à cent milliards près nous disaient il y a peu une soixantaine de députés UMP.
La loi TEPA a coûté 11 milliards pour détaxer des heures supplémentaires en période de chômage et pour assurer le bouclier fiscal aux plus riches. Le cadeau aux restaurateurs a coûté 3 milliards d'euros.
Mais la "chasse" aux évadés du fisc aurait rapporté selon M. WOERTH... 0,5 milliard d'euros. Chiffre invérifiable qu'il présente comme un succés remarquable !
Quant à la Sécu, plus personne n'en parle.
Qui paiera l'addition de ces cadeaux fiscaux ?
Qui prendra les mesures nécessaires au remboursement de cette dette colossale ?
Elles sont renvoyées aux calendes grecques et surtout s'accompagnent d'une politique de remise en cause exclusive du service public dans tous ses aspects avec la Revue générale des politiques publiques (RGPP) qui déstabilise complètement les administrations déconcentrées de l'Etat, avec des regroupements ministériels invraisemblables au plan régional et la liquidation des directions départementales qui deviennent de vagues unités territoriales.
Stéphane HESSEL, 92 ans
Co rédacteur avec René CASSIN de la déclaration universelle des droits de
l'homme, et pour la première fois engagé dans une élection politique au sein d'EUROPE ECOLOGIE, Stéphane HESSEL est une autorité morale indéniable.
Son entretien sur FRANCE CULTURE que me signale une amie du comité local est une
excellente introduction à l'année 2010 au travers du regard de M. HESSEL sur les dix premières années du 21° siècle.