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thierry billet

Mme LARDET écologiste épisode 4 - le péage urbain qu'on vous cache

21 Juin 2020 , Rédigé par Thierry BILLET

J'ai reçu certains retours incrédules de lecteurs sur le souhait de Madame LARDET de mettre en place des péages urbains. Alors pour ceux qui veulent voir pour croire, voici la vidéo tirée du site de l’Assemblée Nationale en date du 5 février 2020, un mois avant les municipales. Mme LARDET avait déjà soutenu ce projet le 12 juin 2019. C'est donc une idée qui lui tient à cœur pour qu'elle y revienne deux fois en 6 mois à l’Assemblée. Habitants du GRAND ANNECY et même si RÉVEILLONS ANNECY n'ose évidemment pas parler de ce projet impopulaire et inefficace, vous paierez pour rentrer dans ANNECY. Foi de Mme LARDET, future Présidente autoproclamée du GRAND ANNECY. Écoutez bien le passage où elle regrette le manque d'allant des élus locaux et tirez en toutes les conséquences le 28 juin. Mme LARDET est habile : elle est convaincue qu'il faut le faire mais elle sait que cela lui ferait perdre les élections municipales donc le deal avec M. ASTORG c'est de mettre l'éteignoir dessus pendant la campagne électorale. Tromperie à l'image de cette alliance contre nature et contre la nature.

Séance en hémicycle du mercredi 12 juin 2019 à 21h30

Annie Genevard, présidente

La parole est à Mme Frédérique Lardet, pour soutenir l'amendement no 2958.

Frédérique Lardet

Si vous le permettez, madame la présidente, je défendrai également l'amendement suivant, le no 2949, dont je suis aussi la première signataire.

L'expérimentation des péages urbains est rendue possible par l'article 1609 quater A du code général des impôts, introduit par la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle II ». La principale difficulté posée par cette disposition provient du fait qu'elle prévoit qu'un péage urbain ne peut être mis en place en France qu'à titre expérimental, pour une durée maximale de trois ans. Cette condition revient, en pratique, à rendre impossible cette expérimentation, dans la mesure où les systèmes techniques nécessaires ne peuvent raisonnablement être amortis en trois ans – selon la direction générale du trésor, un péage urbain, par exemple, ne devient rentable économiquement qu'au bout de huit ans.

Il s'agit donc de porter la durée de l'expérimentation de trois à cinq ans, avec la possibilité, comme la législation le permet déjà, de la prolonger de trois années supplémentaires.

 

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