AREVA s'enfonce dans la crise
Le nucléaire n'est pas une réponse adaptée à l'effet de serre.
Les besoins en électricité de la planète (et le nucléaire ne permet de fabriquer que de l'électricité) sont très faibles et le secteur des transports demeure largement dominant.
Malgré notre parc électronucléaire la FRANCE demeure dépendante à 75% des énergies fossiles...
Tandis que les réserves d'uranium sont estimées aussi limitées dans le temps que celles de pétrole.
Et les conséquences d'un accident nucléaire majeur sont absolument non maîtrisables comme le montrent les fuites récentes : en cas de problème sérieux, comment croire que les pastilles d'iode données aux riverains immédiats seront efficaces ?
Quels salariés français prendront les risques qu'ont pris les "liquidateurs" russes qui ont été sacrifiés pour arrêter TCHERNOBYL ?
Alors que SARKOZY essaie de préparer l'opinion à un mariage AREVA - BOUYGUES - ALSTOM pour aller vendre des centrales nucléaires dans n'importe quelle dictature des bords de la Méditerranée, ces incidents répétés illustrent que le nucléaire est incompatible avec la démocratie : 78% des français souhaitent développer les énergies renouvelables pour qu'elles deviennent la première source d'énergie. Le gouvernement actuel ne fait rien en ce sens et Dominique VOYNET s'est usée à essayer de faire "bouger" Lionel JOSPIN sur ce terrain. Même sur le terrain de la simple information, le nucléaire prouve, année aprés année, que l'opacité est la régle d'or que sont maintenant chargés de mettre en oeuvre des responsables de la communication dédiés à crédibiliser la langue de bois et décharger les responsables de l'ennui de s'expliquer en public.
Cela me fait penser au livre de Daniel PENNAC où Benjamin MALAUSSENE travaille dans un grand magasin. Son métier est de recevoir les engueulades des clients furieux des mauvais services rendus. Les directeurs de la communication d'AREVA font le même boulot : éviter à Mme LAUVERGEON de s'expliquer et focaliser l'agressivité du public.
Mais le pire est à venir si la privatisation d'AREVA a lieu : la recherche du profit pour des actionnaires privés mettra en cause les précautions déjà bien malmenées mises en oeuvre par la filière nucléaire.
Le recours déjà trop avancé à la sous-traitance sera encore accru et les dissimulations de fuites, d'expositions du personnel, etc. deviendront la règle. Déjà BOUYGUES est réputé pour ne pas déclarer tous ses accidents du travail : il pourra appliquer ces méthodes aux dosimètres de radioprotection...
Les besoins en électricité de la planète (et le nucléaire ne permet de fabriquer que de l'électricité) sont très faibles et le secteur des transports demeure largement dominant.
Malgré notre parc électronucléaire la FRANCE demeure dépendante à 75% des énergies fossiles...
Tandis que les réserves d'uranium sont estimées aussi limitées dans le temps que celles de pétrole.
Et les conséquences d'un accident nucléaire majeur sont absolument non maîtrisables comme le montrent les fuites récentes : en cas de problème sérieux, comment croire que les pastilles d'iode données aux riverains immédiats seront efficaces ?
Quels salariés français prendront les risques qu'ont pris les "liquidateurs" russes qui ont été sacrifiés pour arrêter TCHERNOBYL ?
Alors que SARKOZY essaie de préparer l'opinion à un mariage AREVA - BOUYGUES - ALSTOM pour aller vendre des centrales nucléaires dans n'importe quelle dictature des bords de la Méditerranée, ces incidents répétés illustrent que le nucléaire est incompatible avec la démocratie : 78% des français souhaitent développer les énergies renouvelables pour qu'elles deviennent la première source d'énergie. Le gouvernement actuel ne fait rien en ce sens et Dominique VOYNET s'est usée à essayer de faire "bouger" Lionel JOSPIN sur ce terrain. Même sur le terrain de la simple information, le nucléaire prouve, année aprés année, que l'opacité est la régle d'or que sont maintenant chargés de mettre en oeuvre des responsables de la communication dédiés à crédibiliser la langue de bois et décharger les responsables de l'ennui de s'expliquer en public.
Cela me fait penser au livre de Daniel PENNAC où Benjamin MALAUSSENE travaille dans un grand magasin. Son métier est de recevoir les engueulades des clients furieux des mauvais services rendus. Les directeurs de la communication d'AREVA font le même boulot : éviter à Mme LAUVERGEON de s'expliquer et focaliser l'agressivité du public.
Mais le pire est à venir si la privatisation d'AREVA a lieu : la recherche du profit pour des actionnaires privés mettra en cause les précautions déjà bien malmenées mises en oeuvre par la filière nucléaire.
Le recours déjà trop avancé à la sous-traitance sera encore accru et les dissimulations de fuites, d'expositions du personnel, etc. deviendront la règle. Déjà BOUYGUES est réputé pour ne pas déclarer tous ses accidents du travail : il pourra appliquer ces méthodes aux dosimètres de radioprotection...
TRICASTIN, suite & pas fin
Réagissant au contenu de la fuite du 8 juillet, Bruno Chareyron, responsable du laboratoire de la Criirad, procède au calcul suivant pour tenter d’évaluer l’intensité de la radioactivité de la fuite, qui se mesure en becquerel :
«8 grammes par litre d’uranium, cela fait quand même beaucoup. C’est environ 200.000 becquerels par litre, soit nettement plus que la limite réglementaire de 50.000 becquerels par litre,pour l’usine de Socatri.
Au total, sur environ 6m3 d’uranium rejetés,
cela représente plus d’un milliard de becquerels, soit beaucoup plus que leur limite annuelle réglementaire de 72 millions de becquerels.»
AREVA affirme que l'uranium relargué dans la nappe phréatique est de l'uranium non enrichi.
Mais cette fuite a permis de localiser un "pic" de pollution radioactive sur l'un des points mesurés suite à la fuite, pic qui ne peut s'expliquer par celle-ci...
A chaque fois qu'on lève un pan du voile secret qui occulte l'activité nucléaire, on découvre de nouvelles cachoteries de la part d'AREVA...
Apiculteur en colère !
Je reçois d'un apiculteur en colère cette lettre adressée aux décideurs agricoles.
Elle mérite intérêt.
Monsieur le Président,
Le mutualisme entre les plantes à fleurs (angiospermes) et l’entomofaune existe depuis que ces deux êtres vivants sont apparus sur terre.
La disparition de l’une entraîne ipso facto la disparition de l’autre.
Par courrier du 01/09/98 la filière apicole a averti, à la fois la D D A et la Chambre d’Agriculture de la disparition des fleurs dans les prairies de Hte Savoie qui entraînerait une disparition programmée de l’apiculture.
Les pratiques agricoles dans les zones laitières amènent les abeilles à une disparition inéluctable. La tendance lourde qui s’annonçait il y vingt ans se confirme avec encore plus d’acuité et ce n’est pas un hasard si les pertes de ruches cette année sont plus importantes dans les zones laitières que partout ailleurs.(60% à 80%) C’est bien la résultante prévue et dénoncée en son temps.
Il est même surprenant que l’apiculture subsiste encore en Hte Savoie.
Les journaux télévisés vont de nouveau faire leur ‘’une’’ avec les disparitions d’abeilles.
Le ministre de l’agriculture de l’époque, Mr Hervé GAYMARD, avait ordonné en date du 04/05 2004 une table ronde sur la disparition de la biodiversité.
Au cours de ces tables rondes, la Chambre d’Agriculture avait refusé de participer en répondant par voie de presse dans un journal professionnel avec des arguments tous plus loufoques les uns que les autres.
Mais le pire venant de la D D A quand son directeur nous disait qu’il fallait « donner du temps au temps » (sic) ...
Voilà une phrase qui n’est pas tombée dans l’oreille de sourds puisque les gens qui ne veulent rien faire en ont fait leur devise.
Quand à son adjoint : « La Hte Savoie, c’est 100% de prairies naturelle, et les apiculteurs sont des négatifs, la meilleure preuve c’est qu’un technicien de chambre s’installe en apiculture avec une prévision de 40 kg de miel par ruche et ça c’est indiscutable et irréfutable » (sic)
Maintenant ce même technicien qui avait contribué aux pratiques à faire disparaître les fleurs se plaint ouvertement, une fois installé en tant qu’apiculteur, dans un quotidien départemental de cette disparition.
J’avais aussi à l’époque exposé tous les faits à Mr DENESL alors à la DRAF qui était assisté du Docteur vétérinaire CHAUMECIENNES.
Mr DENESL m’avait demandé de le rappeler, ce que je n’ai pas manqué mais celui-ci m’a adressé une fin de non recevoir !
Le paradoxe de la filière fromagère qui a fait disparaître les fleurs dans les prairies a besoin de cette image de prairies fleuries et l’on peut lire dans les publicités:
Le fondement d’une A O C est basé sur le fait que lors des fenaisons les agriculteurs coupaient des plantes médicinales; l’hiver le bétail mangeait des tisanes et le fenil sentait l’herboristerie.
Au nom de quoi une A O C comme le reblochon qui ne respecte pas son cahier des charges s’arroge le droit de faire disparaître :
• 170 espèces prairiales répertoriées par les botanistes (fabacées, brasicacées…)
• Tous les insectes dont l’abeille
• La filière apicole
Pour la première fois de notre histoire il va manquer d’insectes en Haute Savoie.
Même si les bonnes décisions étaient prises, le temps de réponse sera de dix ans.
La disparition des espèces prairiales a eu jusqu’à présent des conséquences uniquement morales et esthétiques mais la facture économique va arriver, (déficit de pollinisation de l’espace agricole), et elle sera particulièrement ‘’colossale‘’.
Vous avez traité le problème par l’irresponsabilité et parfois la désinvolture, désormais vous ne pourrez plus plaider l’ignorance et repousser les solutions à apporter aux calendes Grecques
Votre responsabilité est engagée sur la disparition des ressources nectarifères et pollinifères.
Avant l’irréversible comment envisagez-vous de réagir ?"
Elle mérite intérêt.
Monsieur le Président
Chambre d’Agriculture
52 av des Iles
74 000 ANNECY
Chambre d’Agriculture
52 av des Iles
74 000 ANNECY
Monsieur le Président,
Le mutualisme entre les plantes à fleurs (angiospermes) et l’entomofaune existe depuis que ces deux êtres vivants sont apparus sur terre.
La disparition de l’une entraîne ipso facto la disparition de l’autre.
Par courrier du 01/09/98 la filière apicole a averti, à la fois la D D A et la Chambre d’Agriculture de la disparition des fleurs dans les prairies de Hte Savoie qui entraînerait une disparition programmée de l’apiculture.
Les pratiques agricoles dans les zones laitières amènent les abeilles à une disparition inéluctable. La tendance lourde qui s’annonçait il y vingt ans se confirme avec encore plus d’acuité et ce n’est pas un hasard si les pertes de ruches cette année sont plus importantes dans les zones laitières que partout ailleurs.(60% à 80%) C’est bien la résultante prévue et dénoncée en son temps.
Il est même surprenant que l’apiculture subsiste encore en Hte Savoie.
Les journaux télévisés vont de nouveau faire leur ‘’une’’ avec les disparitions d’abeilles.
Le ministre de l’agriculture de l’époque, Mr Hervé GAYMARD, avait ordonné en date du 04/05 2004 une table ronde sur la disparition de la biodiversité.
Au cours de ces tables rondes, la Chambre d’Agriculture avait refusé de participer en répondant par voie de presse dans un journal professionnel avec des arguments tous plus loufoques les uns que les autres.
Mais le pire venant de la D D A quand son directeur nous disait qu’il fallait « donner du temps au temps » (sic) ...
Voilà une phrase qui n’est pas tombée dans l’oreille de sourds puisque les gens qui ne veulent rien faire en ont fait leur devise.
Quand à son adjoint : « La Hte Savoie, c’est 100% de prairies naturelle, et les apiculteurs sont des négatifs, la meilleure preuve c’est qu’un technicien de chambre s’installe en apiculture avec une prévision de 40 kg de miel par ruche et ça c’est indiscutable et irréfutable » (sic)
Maintenant ce même technicien qui avait contribué aux pratiques à faire disparaître les fleurs se plaint ouvertement, une fois installé en tant qu’apiculteur, dans un quotidien départemental de cette disparition.
J’avais aussi à l’époque exposé tous les faits à Mr DENESL alors à la DRAF qui était assisté du Docteur vétérinaire CHAUMECIENNES.
Mr DENESL m’avait demandé de le rappeler, ce que je n’ai pas manqué mais celui-ci m’a adressé une fin de non recevoir !
Le paradoxe de la filière fromagère qui a fait disparaître les fleurs dans les prairies a besoin de cette image de prairies fleuries et l’on peut lire dans les publicités:
- Le goût subtil du reblochon dû à une flore abondante et variée (sic)
- L’alimentation du bétail issue uniquement des prairies Savoyardes(sic)
Le fondement d’une A O C est basé sur le fait que lors des fenaisons les agriculteurs coupaient des plantes médicinales; l’hiver le bétail mangeait des tisanes et le fenil sentait l’herboristerie.
Au nom de quoi une A O C comme le reblochon qui ne respecte pas son cahier des charges s’arroge le droit de faire disparaître :
• 170 espèces prairiales répertoriées par les botanistes (fabacées, brasicacées…)
• Tous les insectes dont l’abeille
• La filière apicole
Pour la première fois de notre histoire il va manquer d’insectes en Haute Savoie.
Même si les bonnes décisions étaient prises, le temps de réponse sera de dix ans.
La disparition des espèces prairiales a eu jusqu’à présent des conséquences uniquement morales et esthétiques mais la facture économique va arriver, (déficit de pollinisation de l’espace agricole), et elle sera particulièrement ‘’colossale‘’.
Vous avez traité le problème par l’irresponsabilité et parfois la désinvolture, désormais vous ne pourrez plus plaider l’ignorance et repousser les solutions à apporter aux calendes Grecques
Votre responsabilité est engagée sur la disparition des ressources nectarifères et pollinifères.
Avant l’irréversible comment envisagez-vous de réagir ?"
JO de PEKIN, Dany c/ Sarko
Cohn-Bendit contre la présence de Sarkozy aux JO de Pékin
envoyé par ZappeurLePost
Je dois vous avouer toute l'amitié que je porte à Dany COHN BENDIT depuis sa venue en HAUTE SAVOIE lors de la campagne des EUROPEENNES.
Je forme le voeu que Dany soit à nouveau le candidat des VERTS aux élections européennes de 2009.
J'apprécie en particulier cette déclaration :
Son émotion lors de cette interpellation de SARKOZY me touche car elle est sincère et j'invite les annéciens à se procurer des drapeaux tibétains à suspendre à leur fenêtre le temps des Jeux Olympiques.
Je forme le voeu que Dany soit à nouveau le candidat des VERTS aux élections européennes de 2009.
J'apprécie en particulier cette déclaration :
"On me dit que le peuple chinois est très nationaliste, que beaucoup de gens en Chine
s'identifient maintenant aux jeux Olympiques, et c'est vrai", a déclaré
M. Cohn-Bendit.
"Mais le peuple allemand aussi s'identifiait en 1936 aux jeux Olympiques, le peuple allemand aussi était très nationaliste, le peuple allemand aussi était derrière Hitler", a déclaré M. Cohn-Bendit. Ce n'est pas parce que "le peuple a tort que nous on doit avoir tort",
s'identifient maintenant aux jeux Olympiques, et c'est vrai", a déclaré
M. Cohn-Bendit.
"Mais le peuple allemand aussi s'identifiait en 1936 aux jeux Olympiques, le peuple allemand aussi était très nationaliste, le peuple allemand aussi était derrière Hitler", a déclaré M. Cohn-Bendit. Ce n'est pas parce que "le peuple a tort que nous on doit avoir tort",
Son émotion lors de cette interpellation de SARKOZY me touche car elle est sincère et j'invite les annéciens à se procurer des drapeaux tibétains à suspendre à leur fenêtre le temps des Jeux Olympiques.
360 kilos d’uranium & le principe de « précaution »...
Le syndrôme Tchernobyl n’est pas mort en FRANCE...
Avec le rejet accidentel d’uranium au TRICASTIN, on atteint de nouveaux sommets de la désinformation.
Pour maquiller les chiffres, AREVA ne parle que de 12 grammes d’uranium par litre... Rassurant !
Sauf qu’au total cela fait 360 kilos quand on multiplie par 30.000 litres...
La CRIIRAD précise que la fuite a provoqué le rejet dans l’environnement d’au moins 9 000 Mégabecquerels (MBq), soit un dépassement de plus de 100 fois la limite maximale autorisée sur l’année (71,7 MBq) et de plus de 700 fois la limite maximale mensuelle.
Le dépassement de la limite d’activité volumique est avéré : la limite réglementaire a été pulvérisée : concentration de plus de 300 000 Bequerels/l pour une limite maximale de 50 Bq/l.
Quant aux délais, le communiqué des préfets de la Drôme et du Vaucluse annonçait hier que la fuite s’était produite tôt dans la matinée du 8 juillet, vers 6h30. Le délai de plus de 7 heures entre le rejet incontrôlé dans l’environnement et l’information des élus locaux (vers 13h30 pour le maire de Lapalud, après 16h pour les médias) paraissait déjà trop long. En réalité, le débordement de la cuve s’est produit la veille au soir, le lundi 7 juillet, vers 23h00. Les formulations de l’IRSN sont relativement sibyllines et ne précisent pas le temps qui s’est écoulé entre le débordement de la cuve et la fuite au niveau du module de rétention, ni si le personnel s’est rendu compte immédiatement des dysfonctionnements (ou s’il ne l’a découvert que tardivement). S’il n’y a pas eu de délai, que la fuite s’est produite vers 23h et que les responsables locaux n’ont été informés qu’après un délai de 14h et les médias de 17h, le retard est alors considérable.
Pour que les mesures de prévention soient efficaces, elles doivent être prises dans les délais les plus brefs. Qui a été informé ? Quand ? Pourquoi de tels retards ?
La CRIIRAD réclame toute la transparence sur le déroulement de l’accident.
Comment expliquer le débordement de la cuve (un débordement d’au moins 30 000 litres !), puis la faillite du système de rétention précisément destiné à pallier un éventuel défaut d’étanchéité. L’article 22 de l’arrêté d’autorisation de rejet et prélèvement d’eau précise que « chaque réservoir (…) est muni d’un cuvelage de rétention ou d’un dispositif apportant les mêmes garanties, dont la capacité est fixée à 100% du volume du réservoir le plus grand ou 50% du volume total des réservoirs. L’étanchéité de ces rétentions est contrôlée annuellement ».
Le communiqué de l’Autorité de Sûreté Nucléaire indique que des réparations étaient en cours au niveau de la rétention.
Ce n’est pas une excuse, au contraire : le dispositif de rétention étant indisponible, soit la cuve ne devait plus être utilisée, soit un système alternatif devait être mis en place.
Dans tous les cas, une vigilance particulière devait être apportée à l’installation.
Alors, venir nous parler aujourd’hui du principe de précaution, alors que le risque est réel, immédiat, parfaitement mesurable est une utilisation bien inadaptée du terme de « précaution » : tout au contraire, ce risque est avéré et parfaitement connu.
C’est d’une grave négligence et d’un retard inacceptable de l’information des habitants de manière à ce qu’ils ne consomment plus d’eau potable immédiatement que l’on doit parler !
Pour plus d’informations, le site de la CRIIRAD vous apporte une documentation fiable et indépendante.
Y compris sur les 770 tonnes de déchets radioactifs stockés par AREVA sans aucune précaution sur le même site du TRICASTIN.
http://www.criirad.org
Avec le rejet accidentel d’uranium au TRICASTIN, on atteint de nouveaux sommets de la désinformation.
Pour maquiller les chiffres, AREVA ne parle que de 12 grammes d’uranium par litre... Rassurant !
Sauf qu’au total cela fait 360 kilos quand on multiplie par 30.000 litres...
La CRIIRAD précise que la fuite a provoqué le rejet dans l’environnement d’au moins 9 000 Mégabecquerels (MBq), soit un dépassement de plus de 100 fois la limite maximale autorisée sur l’année (71,7 MBq) et de plus de 700 fois la limite maximale mensuelle.
Le dépassement de la limite d’activité volumique est avéré : la limite réglementaire a été pulvérisée : concentration de plus de 300 000 Bequerels/l pour une limite maximale de 50 Bq/l.
Quant aux délais, le communiqué des préfets de la Drôme et du Vaucluse annonçait hier que la fuite s’était produite tôt dans la matinée du 8 juillet, vers 6h30. Le délai de plus de 7 heures entre le rejet incontrôlé dans l’environnement et l’information des élus locaux (vers 13h30 pour le maire de Lapalud, après 16h pour les médias) paraissait déjà trop long. En réalité, le débordement de la cuve s’est produit la veille au soir, le lundi 7 juillet, vers 23h00. Les formulations de l’IRSN sont relativement sibyllines et ne précisent pas le temps qui s’est écoulé entre le débordement de la cuve et la fuite au niveau du module de rétention, ni si le personnel s’est rendu compte immédiatement des dysfonctionnements (ou s’il ne l’a découvert que tardivement). S’il n’y a pas eu de délai, que la fuite s’est produite vers 23h et que les responsables locaux n’ont été informés qu’après un délai de 14h et les médias de 17h, le retard est alors considérable.
Pour que les mesures de prévention soient efficaces, elles doivent être prises dans les délais les plus brefs. Qui a été informé ? Quand ? Pourquoi de tels retards ?
La CRIIRAD réclame toute la transparence sur le déroulement de l’accident.
Comment expliquer le débordement de la cuve (un débordement d’au moins 30 000 litres !), puis la faillite du système de rétention précisément destiné à pallier un éventuel défaut d’étanchéité. L’article 22 de l’arrêté d’autorisation de rejet et prélèvement d’eau précise que « chaque réservoir (…) est muni d’un cuvelage de rétention ou d’un dispositif apportant les mêmes garanties, dont la capacité est fixée à 100% du volume du réservoir le plus grand ou 50% du volume total des réservoirs. L’étanchéité de ces rétentions est contrôlée annuellement ».
Le communiqué de l’Autorité de Sûreté Nucléaire indique que des réparations étaient en cours au niveau de la rétention.
Ce n’est pas une excuse, au contraire : le dispositif de rétention étant indisponible, soit la cuve ne devait plus être utilisée, soit un système alternatif devait être mis en place.
Dans tous les cas, une vigilance particulière devait être apportée à l’installation.
Alors, venir nous parler aujourd’hui du principe de précaution, alors que le risque est réel, immédiat, parfaitement mesurable est une utilisation bien inadaptée du terme de « précaution » : tout au contraire, ce risque est avéré et parfaitement connu.
C’est d’une grave négligence et d’un retard inacceptable de l’information des habitants de manière à ce qu’ils ne consomment plus d’eau potable immédiatement que l’on doit parler !
Pour plus d’informations, le site de la CRIIRAD vous apporte une documentation fiable et indépendante.
Y compris sur les 770 tonnes de déchets radioactifs stockés par AREVA sans aucune précaution sur le même site du TRICASTIN.
http://www.criirad.org
Nucléaire, la fausse bonne solution !
Après les "agro carburants" qui n'ont eu pour effet que de faire flamber le prix des matières premières
agricoles et de hâter la déforestation au BRESIL, comme le dénonce maintenant le Fonds Monétaire International lui-même; voilà que Nicolas SARKOZY veut diffuser le nucléaire et lancer un deuxième
programme EPR en FRANCE.
Comme si il s'agissait d'une solution !
On ne fera jamais rouler les voitures et les camions à l'électricité !
L'électricité ne représente que 17% de la consommation d'énergie en FRANCE...
Et le nucléaire n'empêche pas la FRANCE d'être une grosse consommatrice de pétrole : 1,48 tonne par habitant par an contre 1,49 en ALLEMAGNE, 1,41 en GRANDE BRETAGNE et 1,36 tonne en moyenne dans l'UNION EUROPEENNE.
Cette voie est une impasse pour d'autres raisons : les stocks d'uranium sont estimés à 2 millions de tonnes, soit 60 ans de réserve au rythme de consommation actuel et une dizaine d'années si tous les pays industriels embrassaient l'atome.
Quant aux déchets, rien n'est résolu. Personne n'en veut près de chez lui et le risque de dissémination nucléaire avec l'extraction de plutonium dont 6 à 10 kilos suffisent pour fabriquer une bombe de la puissance de celle d'HIROSHIMA.
La vraie solution c'est de diminuer notre consommation d'énergie = la meilleure énergie est celle que l'on n'utilise pas.
Pour cela, isolons nos maisons plutôt que de construire des centrales nucléaires.
Comme si il s'agissait d'une solution !
On ne fera jamais rouler les voitures et les camions à l'électricité !
L'électricité ne représente que 17% de la consommation d'énergie en FRANCE...
Et le nucléaire n'empêche pas la FRANCE d'être une grosse consommatrice de pétrole : 1,48 tonne par habitant par an contre 1,49 en ALLEMAGNE, 1,41 en GRANDE BRETAGNE et 1,36 tonne en moyenne dans l'UNION EUROPEENNE.
Cette voie est une impasse pour d'autres raisons : les stocks d'uranium sont estimés à 2 millions de tonnes, soit 60 ans de réserve au rythme de consommation actuel et une dizaine d'années si tous les pays industriels embrassaient l'atome.
Quant aux déchets, rien n'est résolu. Personne n'en veut près de chez lui et le risque de dissémination nucléaire avec l'extraction de plutonium dont 6 à 10 kilos suffisent pour fabriquer une bombe de la puissance de celle d'HIROSHIMA.
La vraie solution c'est de diminuer notre consommation d'énergie = la meilleure énergie est celle que l'on n'utilise pas.
Pour cela, isolons nos maisons plutôt que de construire des centrales nucléaires.
Couleurs du monde
Une simple promenade dans les jardins de l'EUROPE et le parc Charles BOSSON pour découvrir "les couleurs du monde", le festival estival de fleurissement 2008 de la Ville d'ANNECY, pour le plaisir des yeux.
Un travail remarquable du service des espaces verts de la Ville à partir de clichés photographiques de villes du monde : les couleurs choisies par les coloristes municipaux renvoient aux couleurs caractéristiques des Cyclades, du Val de Loire (notez les éclats d'ardoises au pied des vanneries), à la ville bleue de Jodhpur en INDE, etc.
Il faut saluer ce travail remarquable piloté par le responsable des espaces verts municipaux Christophe FERLIN et ses collaborateurs.
Pour ANNECY, l'enjeu est important puisque les règles de reconnaissance de nos efforts de fleurissement sont profondément modifiées en 2008 : seules 9 villes seront "étoile d'or" en 2008 contre 70 communes "grands prix national du fleurissement" jusqu'alors.
Alors que nos concitoyens peuvent être quelquefois surpris de voir les herbes "sauvages" pousser au pied de certains de nos arbres, la Ville a en effet choisi de réduire de manière drastique la consommation des produits phytosanitaires, et notamment des désherbants...
Nous n'utilisons plus "que" 75.000 litres de désherbants contre 200.000 et 2.000 litres d'insecticides de synthèses contre 9.000, tandis que l'utilisation de traitements naturels est en plein essor.
Un fauchage au pied des arbres ou le brûlage des herbes dans les allées se susbstituent à l'utilisation de produits chimiques pour une meilleure préservation de l'environnement et de la santé des agents municipaux.
Un travail remarquable du service des espaces verts de la Ville à partir de clichés photographiques de villes du monde : les couleurs choisies par les coloristes municipaux renvoient aux couleurs caractéristiques des Cyclades, du Val de Loire (notez les éclats d'ardoises au pied des vanneries), à la ville bleue de Jodhpur en INDE, etc.
Il faut saluer ce travail remarquable piloté par le responsable des espaces verts municipaux Christophe FERLIN et ses collaborateurs.
Pour ANNECY, l'enjeu est important puisque les règles de reconnaissance de nos efforts de fleurissement sont profondément modifiées en 2008 : seules 9 villes seront "étoile d'or" en 2008 contre 70 communes "grands prix national du fleurissement" jusqu'alors.
Alors que nos concitoyens peuvent être quelquefois surpris de voir les herbes "sauvages" pousser au pied de certains de nos arbres, la Ville a en effet choisi de réduire de manière drastique la consommation des produits phytosanitaires, et notamment des désherbants...
Nous n'utilisons plus "que" 75.000 litres de désherbants contre 200.000 et 2.000 litres d'insecticides de synthèses contre 9.000, tandis que l'utilisation de traitements naturels est en plein essor.
Un fauchage au pied des arbres ou le brûlage des herbes dans les allées se susbstituent à l'utilisation de produits chimiques pour une meilleure préservation de l'environnement et de la santé des agents municipaux.
« vivre simplement pour que tous puissent simplement vivre »
La question du changement climatique et le renchérissement du prix du pétrole offrent une opportunité à l’écologie : elle
devient une ardente nécessité.
GANDHI disait « vivre simplement pour que tous puissent simplement vivre »
Les objectifs de réduction par 4 de nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 exigent que l’on modifie radicalement nos modes de vie et de déplacements.
Jusqu’à il y a peu, je me rendais au SILA en voiture, quelquefois en vélo.
Aujourd’hui, je n’utilise plus que le bus : tous les quarts d’heure avec une excellente ponctualité et avec un arrêt à 30 mètres du SILA et retour à COURIER.
Il nous faut changer nos habitudes : ce n’est plus le voeu pieux de quelques extrêmistes écologistes, mais une nécessité sociale compte tenu de la faiblesse du pouvoir d’achat et une urgence écologique pour la planète.
L’offre de transports publics dans l’agglomération annécienne est de bonne qualité ; il nous faut l’utiliser.
Mais aussi prendre le vélo...ou ses pieds pour se rendre au travail ou chez le médecin.
ANNECY, ces temps-ci, fait sa révolution cycliste lorsque l'on voit les vélos accrochés partout en centre ville, autour de BONLIEU et ailleurs.
Continuons !
Notre sobriété énergétique est la condition pour que le monde de demain soit simplement vivable.
GANDHI disait « vivre simplement pour que tous puissent simplement vivre »
Les objectifs de réduction par 4 de nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 exigent que l’on modifie radicalement nos modes de vie et de déplacements.
Jusqu’à il y a peu, je me rendais au SILA en voiture, quelquefois en vélo.
Aujourd’hui, je n’utilise plus que le bus : tous les quarts d’heure avec une excellente ponctualité et avec un arrêt à 30 mètres du SILA et retour à COURIER.
Il nous faut changer nos habitudes : ce n’est plus le voeu pieux de quelques extrêmistes écologistes, mais une nécessité sociale compte tenu de la faiblesse du pouvoir d’achat et une urgence écologique pour la planète.
L’offre de transports publics dans l’agglomération annécienne est de bonne qualité ; il nous faut l’utiliser.
Mais aussi prendre le vélo...ou ses pieds pour se rendre au travail ou chez le médecin.
ANNECY, ces temps-ci, fait sa révolution cycliste lorsque l'on voit les vélos accrochés partout en centre ville, autour de BONLIEU et ailleurs.
Continuons !
Notre sobriété énergétique est la condition pour que le monde de demain soit simplement vivable.
Conseil de développement RHONE ALPES
La réunion du séminaire du CDRA du 2 juillet a permis de partager le futur bilan établi sur l’année 2007 et de recueillir les
éléments forts de l’évolution du bassin annécien au sens large.
Pour donner quelques chiffres, il est remarqué que le bassin a perdu 452 hectares d’espace agricole et 61 hectares d’espace naturel entre 2000 et 2006. Le rythme de construction ralentit avec un délai de 120 jours de commercialisation au lieu de 70 jours en 2006/2007, et des promoteurs abandonnent certains projets ce qui n’existait pas jusque-là.
Je suis intervenu sur la question du Schéma de cohérence auquel chacun renvoie pour indiquer sa nécessité d’un travail de cadrage de l’évolution du territoire. Or le SCOT arrive comme les carabiniers : trop tard.
Bien entendu, il est aujourd’hui reparti de l’avant depuis le changement de président, et Joseph GRIOT a eu raison de souligner que d’ores et déjà le SCOT donne des avis sur les plans locaux d’urbanisme dans le sens du développement durable.
Mais on ne fera pas oublier les déclarations de Bernard ACCOYER selon lequel le SCOT ne servait à rien (sic) et qu’il n’en avait pris la présidence qu’à la demande de ses « amis » (sic).
Compte tenu des délais de concertation, d’enquête publique, etc. le SCOT ne sera pas adopté avant 4 ans. « 6 ans » a annoncé récemment Bernard ACCOYER au conseil municipal d’ANNECY LE VIEUX après une question de l’ami Eric SERVEL.
Les discussions ont porté en sus de ce constat sur une nette augmentation de la précarité dans le bassin. 85% des demandeurs en attente de logements sociaux sont aujourd’hui en deçà du seuil de 1.024 € si ils sont seuls ou de 1.900 € pour un couple avec 2 enfants. 1.000 personnes sont ainsi hébergées par des tiers.
Quant aux déplacements, le projecteur doit être porté sur la progression de 33% de la fréquentation des bus de la SIBRA alors que l’offre n’a augmenté que de 9% : il y a donc bien un gain net de fréquentation significatif. On note aujourd’hui une fréquentation de 92 voyages par an et par habitant alors que la moyenne nationale est de 79. Cela illustre l’efficacité de la politique d’offre de transports collectifs développée par la SIBRA depuis plusieurs années. Et renvoie à la question de l’augmentation du « VT », le versement transport que doivent verser les entreprises pour financer le transport collectif : l’augmentation du prix du pétrole nous oblige à être encore plus ambitieux dans l’offre de solutions de transports collectifs.
Dernier élément à souligner, c’est le débat sur l’aménagement du territoire autour de deux dimensions : le sillon alpin et l’arc franco-valdo-genevois organisé autour et par GENEVE dont ANNECY est pour le moment absente, alors que le nombre de frontaliers a augmenté de 9% entre décembre 2006 et décembre 2007 pour atteindre 5.770 personnes dans l’agglomération. Si ANNECY a pu considérer que sa richesse et son développement tertiaire lui rendaient inutiles de se préoccuper de l’aire métropolitaine de GRENOBLE à GENEVE, les participants ont convenu de la nécessité de contacts formels avec nos voisins pour comprendre leur stratégie, mesurer l’impact sur le bassin et envisager les mesures d’adaptation ou d’opposition utiles.
Pour donner quelques chiffres, il est remarqué que le bassin a perdu 452 hectares d’espace agricole et 61 hectares d’espace naturel entre 2000 et 2006. Le rythme de construction ralentit avec un délai de 120 jours de commercialisation au lieu de 70 jours en 2006/2007, et des promoteurs abandonnent certains projets ce qui n’existait pas jusque-là.
Je suis intervenu sur la question du Schéma de cohérence auquel chacun renvoie pour indiquer sa nécessité d’un travail de cadrage de l’évolution du territoire. Or le SCOT arrive comme les carabiniers : trop tard.
Bien entendu, il est aujourd’hui reparti de l’avant depuis le changement de président, et Joseph GRIOT a eu raison de souligner que d’ores et déjà le SCOT donne des avis sur les plans locaux d’urbanisme dans le sens du développement durable.
Mais on ne fera pas oublier les déclarations de Bernard ACCOYER selon lequel le SCOT ne servait à rien (sic) et qu’il n’en avait pris la présidence qu’à la demande de ses « amis » (sic).
Compte tenu des délais de concertation, d’enquête publique, etc. le SCOT ne sera pas adopté avant 4 ans. « 6 ans » a annoncé récemment Bernard ACCOYER au conseil municipal d’ANNECY LE VIEUX après une question de l’ami Eric SERVEL.
Les discussions ont porté en sus de ce constat sur une nette augmentation de la précarité dans le bassin. 85% des demandeurs en attente de logements sociaux sont aujourd’hui en deçà du seuil de 1.024 € si ils sont seuls ou de 1.900 € pour un couple avec 2 enfants. 1.000 personnes sont ainsi hébergées par des tiers.
Quant aux déplacements, le projecteur doit être porté sur la progression de 33% de la fréquentation des bus de la SIBRA alors que l’offre n’a augmenté que de 9% : il y a donc bien un gain net de fréquentation significatif. On note aujourd’hui une fréquentation de 92 voyages par an et par habitant alors que la moyenne nationale est de 79. Cela illustre l’efficacité de la politique d’offre de transports collectifs développée par la SIBRA depuis plusieurs années. Et renvoie à la question de l’augmentation du « VT », le versement transport que doivent verser les entreprises pour financer le transport collectif : l’augmentation du prix du pétrole nous oblige à être encore plus ambitieux dans l’offre de solutions de transports collectifs.
Dernier élément à souligner, c’est le débat sur l’aménagement du territoire autour de deux dimensions : le sillon alpin et l’arc franco-valdo-genevois organisé autour et par GENEVE dont ANNECY est pour le moment absente, alors que le nombre de frontaliers a augmenté de 9% entre décembre 2006 et décembre 2007 pour atteindre 5.770 personnes dans l’agglomération. Si ANNECY a pu considérer que sa richesse et son développement tertiaire lui rendaient inutiles de se préoccuper de l’aire métropolitaine de GRENOBLE à GENEVE, les participants ont convenu de la nécessité de contacts formels avec nos voisins pour comprendre leur stratégie, mesurer l’impact sur le bassin et envisager les mesures d’adaptation ou d’opposition utiles.