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thierry billet

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Lac d'ANNECY environnement = 40 ans !

26 Décembre 2023 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

L'association LAC D'ANNECY ENVIRONNEMENT (LAE) veille sur l'environnement des bords du lac depuis bientôt 40 ans. Elle livre ces jours-ci le 126° numéro de son bulletin "Lac et reflets", exceptionnel exemple de longévité associative. D'autant que l'activité de l'association n'a rien de glamour : il s'agit de veiller au respect des plans locaux d'urbanisme et de la loi LITTORAL dans les communes riveraines du lac. Autrement dit, vider le lac à la petite cuillère tant les tentatives d'abus sont fréquents. 

Comme tant d'autres associations environnementales, LAE au fil des ans est devenue une véritable université continue formant au contentieux administratif de nouveaux membres qui deviennent des spécialistes de l'urbanisme.

Cette compétence acquise avec le temps lui permet de tenter de s'opposer à des projets dont beaucoup sont aujourd'hui  localisés à TALLOIRES MONTMIN avec un enjeu manifeste sur les aménagements au col de la FORCLAZ où le mélange des genres entre l'activité professionnelle et l'activité institutionnelle du maire est source de vive inquiétude.

LAE dans ce numéro 126 revient sur la moule quagga dont l'installation dans le lac est désormais actée et qui est un facteur potentiel de perte de biodiversité que les pouvoirs publics ne prennent pas avec suffisamment de sérieux. Cette espèce de moule invasive est un danger également pour les captations d'eau potable dans le lac. Leur capacité de nuisance jusque 100 mètres de profondeur est impressionnante. Il est essentiel d'empêcher sa prolifération et d'imposer aux bateaux qui viennent de l'extérieur du lac une désinfection complète avant la mise à l'eau pour empêcher l'arrivée d'autres espèces invasives.

Alors pour les 40 ans de LAE et si le respect du Lac vous importe; l'adhésion n'est que de 30 euros déductibles des impôts à 60%.  

Pour la nouvelle année, ce serait une marque d'engagement concret pour l'environnement et pour notre lac.

L'adresse pour votre chèque : ALAE BP 11 74320 SEVRIER.

 

 

Lac d'ANNECY environnement = 40 ans !
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Bernard BOSSON

18 Mai 2017 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

Bernard Bosson est décédé et je voudrais lui rendre hommage au nom de ce qui nous a opposés, et de tout ce qui nous a reunis . Car en réalité, de la Sicn au haras, de la loi littoral à la victoire municipale de 2008, nous savions que nous partagions les mêmes valeurs. Je lui suis redevable de m'avoir appris que l'alliance ne vaut pas reniement, mais convictions partagées et liberté de pensée quand l'essentiel était menacé. Comme ce lac qu'il estimait sacré et qu'on ne pourra contempler désormais sans l'associer à Bernard Bosson et à son père.

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Les sénateurs veulent (encore) modifier la loi LITTORAL

13 Décembre 2016 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

Alors que l'équilibre trouve en 1986 a fait ses preuves, la droite senatori essaie une nouvelle fois de modifier la loi LITTORAL. LE MONDE s'en inquiète dans l'édition datée d'aujourdhui.

Les parlementaires tentent de remodeler la loi littoral
La majorité de droite est favorable à la " création de zones d'activités économiques " sur les côtes aujourd'hui protégées

Au sujet de l'avenir du littoral français, les parlementaires nagent en pleine contradiction. D'un côté, des députés s'efforcent de prendre en compte l'érosion côtière en marche - un irrésistible phénomène qui, par endroits, efface huit mètres de côte sableuse par an, avale les dunes, sape les falaises et va fatalement obliger certaines implantations à reculer. De l'autre, certains saisissent l'occasion pour tenter de rogner la loi littoral, qui limite les constructions nouvelles dans les communes côtières.
Mardi 31  janvier, l'Assemblée nationale doit examiner en deuxième lecture la proposition de loi sur " l'adaptation des territoires littoraux au changement climatique ", initialement déposée par les députés socialistes Chantal Berthelot (Guyane), Pascale Got (Gironde) et Bruno Le Roux, qui a depuis rejoint le gouvernement. Ce texte, technique, " ni de droite ni de gauche ", comme le rappelle Mme Got, veut fournir des outils juridiques aux élus locaux démunis face à l'effritement de leur rivage, qui menace le bâti en front de mer. Il propose - mais n'impose pas - de créer notamment des baux particuliers pour des durées données. Il ouvre aussi la voie à une indemnisation des occupants de bâtiments condamnés par les assauts de la houle et la montée du niveau de l'océan.


" Dent creuse "
Adoptée en  1986 à l'unanimité, la loi littoral vise essentiellement à protéger du mitage urbain et du bétonnage massif qui a sévi chez certains voisins européens les paysages et les écosystèmes des bords de mer et des grands lacs. Si elle concentre les attaques de certains élus, c'est qu'elle ne se contente pas de défendre rigoureusement une bande large de cent mètres le long du rivage : elle réglemente aussi les zones attenantes.
Ainsi, jusqu'à présent, il n'est pas permis de construire n'importe où sur la lande ou au-dessus d'une calanque hors d'une zone déjà urbanisée ou d'un hameau. Jusqu'à deux kilomètres environ à l'intérieur des terres, il est aussi interdit de combler une " dent creuse " - c'est-à-dire l'interstice compris entre des constructions déjà existantes, maisons ou bâtisses agricoles.
En première lecture, le 11  janvier, la majorité sénatoriale s'est appliquée à enfoncer des coins dans cette loi appréciée des Français. Ses membres y ont introduit suffisamment de dérogations pour vider de leur substance ces dispositions qui empêchent de densifier les côtes. Foin des défis posés par l'érosion, réduits à quelques brefs échanges : les parlementaires ont finalement adopté un amendement ouvrant généreusement les vannes à " la création de zones d'activités économiques " nouvelles, sans garde-fou.
Le sénateur Jérôme Bignon (LR) avait alors prévenu ses " collègues " qu'il se " désolidarisait " de cette initiative. En tant qu'ancien président de l'Agence des aires marines protégées, il ne pouvait pas contribuer à ouvrir la boîte de Pandore.


La réaction ne s'est pas fait attendre. Une pétition intitulée " Ne touchez pas à la loi littoral ! " a enregistré presque 150 000 signatures en quelques jours. Son auteur, Jean-Laurent Félizia (EELV), un jardinier paysagiste conseiller municipal du Lavandou (Var), n'a pas eu de mal à convaincre d'y joindre leurs noms Yann Arthus-Bertrand, Isabelle Autissier, Allain Bougrain-Dubourg, Nicolas Hulot, Corinne Lepage, quelques parlementaires européens et présidents d'associations de défense de l'environnement.


" Je ne suis pas surpris que des élus s'en prennent à la loi littoral, ce n'est pas la première fois, note M. Félizia. Mais là, c'est quand même un comble, alors que l'on cherche justement à établir un cordon sanitaire face à l'érosion ! Ils jouent aux apprentis sorciers face au changement climatique. "
La Fédération des parcs naturels régionaux a elle aussi envoyé un message à l'Assemblée nationale, lui demandant de revenir sur les modifications apportées par le Sénat, car celles-ci donnent " la possibilité de davantage urbaniser le littoral, fragilisant ainsi les équilibres écologiques, socio-économiques et paysagers de ces espaces sous pression ".
Alors que le temps presse pour les côtes les plus vulnérables, Pascale Got a opté pour la recherche de consensus. " Je veux bien faire une avancée sur les constructions en discontinuité pour les activités agricoles, forestières ou ostréicoles afin de faciliter l'installation de jeunes exploitants ; voyons aussi si on peut s'entendre sur la définition de «dents creuses», concède la députée de Gironde. Mais rien de plus. "


" Briser un tabou "
Les députés seront-ils sensibles à ces concessions et aux appels du public ? Lors de la réunion de la commission du développement durable, le 25  janvier, certains à droite ont repris à leur compte les arguments de leurs homologues du Sénat, qui " ont su briser un tabou en revenant sur les contraintes de la loi littoral ", selon Guillaume Chevrollier (LR, Mayenne).


" Il y a une application obsolète " d'un texte vieux de trente ans, sujet à interprétation de la part des juges et qui aurait besoin " non pas d'une remise en cause mais d'une adaptation ", a défendu en substance Jean-Marie Sermier (LR, Jura). Ce dernier a demandé par la même occasion de revisiter la toute récente loi montagne, adoptée en décembre  2016.
La fin de la législature approchant, si les parlementaires se mettent d'accord lors du nouvel examen du texte par le Sénat, prévu le 13 février, la proposition de loi sera adoptée. Dans le cas contraire, Mme Got met en garde les élus tentés par un blocage : " Ils prennent la responsabilité de pénaliser les maires qui attendent des réponses et les propriétaires qui sont en train de perdre leurs biens. "
Martine Valo


 

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Perturbateurs endocriniens, agissons !

3 Décembre 2016 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

 

Halte à la manipulation de la science !

Près de cent scientifiques demandent à l'Europe et à la communauté internationale d'agir contre les perturbateurs endocriniens. Ils dénoncent la fabrication du doute par les industriels, déjà à l'oeuvre dans la lutte contre le changement climatique

Depuis des décennies, la science est la cible d'attaques dès lors que ses découvertes touchent de puissants intérêts commerciaux. Des individus dans le déni de la science ou financés par des intérêts industriels déforment délibérément des preuves scientifiques afin de créer une fausse impression de controverse. Cette manufacture du doute a retardé des actions préventives et eu de graves conséquences pour la santé des populations et l'environnement.

Les " marchands de doute " sont à l'oeuvre dans plusieurs domaines, comme les industries du tabac et de la pétrochimie ou le secteur agrochimique. A elle seule, l'industrie pétrochimique est la source de milliers de produits toxiques et contribue à l'augmentation massive des niveaux de dioxyde de carbone atmosphérique, à l'origine du changement climatique.

La lutte pour la protection du climat est entrée dans une nouvelle ère avec l'accord de Paris de 2015, malgré la farouche opposition de climatosceptiques sourds au consensus établi par les scientifiques engagés pour travailler dans l'intérêt général. Une lutte comparable fait rage autour de la nécessaire réduction de l'exposition aux perturbateurs endocriniens. La Commission européenne s'apprête à mettre en place la première réglementation au monde sur le sujet. Bien que de nombreux pays aient également manifesté leur inquiétude à l'égard de ces produits chimiques, aucun n'a instauré de réglementation qui les encadrerait globalement.

Jamais l'humanité n'a été confrontée à un fardeau aussi important de maladies en lien avec le système hormonal : cancers du sein, du testicule, de l'ovaire ou de la prostate, troubles du développement du cerveau, diabète, obésité, non-descente des testicules à la naissance, malformations du pénis et détérioration de la qualité spermatique. La très grande majorité des scientifiques activement engagés dans la recherche des causes de ces évolutions préoccupantes s'accordent pour dire que plusieurs facteurs y contribuent, dont les produits chimiques capables d'interférer avec le système hormonal.

Des sociétés savantes signalent que ces produits chimiques, appelés les perturbateurs endocriniens, constituent une menace mondiale pour la santé. Parmi ceux-ci : les retardateurs de flamme présents dans les meubles et l'électronique, les agents plastifiants dans les matières plastiques et les produits d'hygiène, ou encore les résidus de pesticides dans notre alimentation. Ils peuvent interférer avec les hormones naturelles lors de périodes critiques du développement, pendant la grossesse ou la puberté, lorsque notre organisme est particulièrement vulnérable.

Une réglementation nécessaire

On ne peut faire face à ce fardeau croissant de maladies à l'aide de meilleurs traitements médicaux : non seulement ces traitements n'existent pas toujours, mais les effets des perturbateurs endocriniens sur la santé sont bien souvent irréversibles. Les possibilités de réduire notre exposition à un niveau individuel en évitant certains produits de consommation sont, elles aussi, limitées. La plupart de ces substances atteignent notre organisme par le biais de notre alimentation.

Seule solution pour enrayer la hausse des maladies liées au système hormonal : prévenir l'exposition aux produits chimiques à l'aide d'une réglementation plus efficace. Or le projet d'établir une réglementation de ce type dans l'Union européenne est activement combattu par des scientifiques fortement liés à des intérêts industriels, produisant l'impression d'une absence de consensus, là où il n'y a pourtant pas de controverse scientifique. Cette même stratégie a été utilisée par l'industrie du tabac, contaminant le débat, semant le doute dans la population et minant les initiatives des dirigeants politiques et des décideurs pour développer et adopter des réglementations plus efficaces.

Les discussions sur le changement climatique et sur les perturbateurs endocriniens ont toutes deux souffert de cette déformation des preuves scientifiques par des acteurs financés par l'industrie. La plupart des scientifiques pensent qu'exprimer publiquement leur point de vue sur des questions politiques et participer aux débats de société pourrait compromettre leur objectivité et leur neutralité. Ce serait effectivement inquiétant si nos opinions politiques obscurcissaient notre jugement scientifique. Mais ce sont ceux qui nient la science qui laissent leurs opinions politiques obscurcir leur jugement. Avec, pour conséquence, des dommages irréparables. La manipulation de la science concernant les effets de la fumée du tabac a coûté des millions de vies.

Nous considérons qu'il n'est plus acceptable de nous taire. En tant que scientifiques, nous avons en fait l'obligation de participer au débat et d'informer le public. Nous avons la responsabilité de rendre visibles les implications de nos travaux pour la société et les générations futures, et d'attirer l'attention sur les graves dangers qui nous menacent. Les enjeux sont importants, et l'action politique pour endiguer l'exposition aux perturbateurs endocriniens et les conséquences des émissions de gaz à effet de serre est devenue une urgence.

Scientifiques spécialistes des perturbateurs endocriniens ou du changement climatique, nous avons uni nos forces, car un grand nombre d'actions essentielles à la limitation des effets des perturbateurs endocriniens contribueront également à lutter contre le changement climatique. La plupart des substances chimiques synthétisées par l'homme sont des dérivés de combustibles fossiles produits par l'industrie pétrochimique. Une réduction de la quantité de pétrole raffiné permettra aussi de réduire la quantité de sous-produits utilisés dans les plastiques et celle de plastifiants : ces produits chimiques compromettent la santé reproductive masculine et contribuent au risque de certains cancers.

Une réduction de la dépendance aux combustibles fossiles et un encouragement au développement des énergies alternatives entraîneront non seulement une baisse des émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de celles de mercure. Le mercure, un contaminant issu du charbon, émis dans l'air et accumulé dans le poisson, finit par atteindre nos organismes et compromet le développement du cerveau.

Créer l'équivalent du GIEC

Bien que de nombreux Etats aient exprimé la volonté politique de traiter le problème des gaz à effet de serre, la traduction des connaissances scientifiques sur le changement climatique en action politique effective a été bloquée, notamment à cause de la désinformation du public et des dirigeants. Les gouvernements sont déjà en retard. Il est important de ne pas répéter ces erreurs avec les perturbateurs endocriniens, et d'apprendre de l'expérience des scientifiques du climat et de la recherche en santé publique.

La Commission européenne a l'occasion de choisir des instruments de réglementation qui pourront fixer de nouveaux standards pour le monde entier afin de nous protéger des effets nocifs des perturbateurs endocriniens. Nous sommes cependant préoccupés par les options réglementaires que propose aujourd'hui la Commission, très éloignées des mesures nécessaires pour protéger notre santé et celle des générations futures. Les options proposées pour identifier les perturbateurs endocriniens requièrent un niveau de preuve bien plus élevé que pour d'autres substances dangereuses, comme celles cancérigènes. Dans la pratique, il sera très difficile de reconnaître une substance dangereuse comme perturbateur endocrinien dans l'Union européenne.

Des actions urgentes sont nécessaires sur les deux thèmes. Pour cette raison, nous appelons à la mise en oeuvre de mesures qui s'attaqueraient aux perturbateurs endocriniens et au changement climatique de façon coordonnée. Un moyen efficace pourrait être la création, sous les auspices de l'Organisation des Nations unies, d'un groupe ayant le même statut international et les mêmes prérogatives que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Ce groupe serait chargé d'évaluer les connaissances scientifiques destinées aux responsables politiques dans l'intérêt général et mettrait la science à l'abri de l'influence des intérêts privés. Nous le devons aux générations qui vivront demain.

Collectif

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Café géo sur la pollution de l'air le 17 novembre

14 Novembre 2016 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

Une fois par mois, le mercredi à 18h au café Le Beaujolais de Chambéry ou à 18h30 la Librairie BD Fugue Café d’Annecy, venez découvrir la géographie autour d’une tasse ou d’un verre.

Des géographes de tout horizon, parfois accompagnés d’autres spécialistes, viennent analyser les grands enjeux nos sociétés et de leurs espaces, nous aident à comprendre nos territoires proches ou lointains à différentes échelles. Les Cafés géographiques de Chambéry – Annecy offrent un moment convivial pour débattre des défis d’ici et d’ailleurs, d’aujourd’hui et de demain.
 
Rendez-vous le jeudi 17 novembre, à 18h30 à Annecy, à la librairie BD Fugue.
 
Nicolas Donner viendra discuter des enjeux de la pollution atmosphérique dans les vallées alpines.
 
 
Retrouvez l'équipe des cafés-géographiques de Chambéry-Annecy en ligne : http://cafe-geo.net/cafes-geo-chambery-annecy/
sur Facebook :
 
 
 
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Stratégie lumière

5 Novembre 2016 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

La déclinaison concrète du programme d'investissement prévu dans le cadre de la convention signée avec l’etat au titre du “territoire à énergie positive” commence à se préciser.

En particulier, dans le cadre d'un partenariat avec le Syane, l'agglomération d’annecy lance un programme appelé “stratégie lumière “ dont la facette la plus emblématique sera le survol du territoire par un avion qui permettra de visualiser les niveaux de pollution lumineuse et les excès d'éclairage public comme privé. À partir de cette photographie pourront se mettre en place des actions concrètes de réduction de ces éclairages abusifs, voir des arrêts de l'éclairage comme cela se pratique à chavanod et à argonay sans difficulté depuis plusieurs années maintenant.

A cette stratégie de réduction de la dépense en énergie pour l'éclairage public qui se traduit notamment par l'utilisation systématique des leds, la question de l'éclairage public intelligent sera au cœur des préconisations. Un éclairage qui s'allume uniquement en cas de présence physique d'un piéton ou d'une voiture, un éclairage différent selon les lieux et les usages. Mais aussi un éclairage support de capteurs qui permettront de piloter la collecte des déchets, de relever les compteurs d'eau ou de renseigner sur les flux de trafic et de le réguler plus efficacement. Le projet prévoit de réaliser un pilote dans une rue de la commune nouvelle pour tester les solutions techniques pertinentes pour réduire nos dépenses de fonctionnement et assurer un service public plus efficace.

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Atlas des mammifères sauvages en Rhône Alpes

20 Octobre 2016 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

Dans le cadre du projet d'Atlas des mammifères sauvages de Rhône-Alpes, la FRAPNA et la LPO vous invitent à une conférence sur les mammifères de notre région.

 

Le 21 novembre 2016, 20h00-22h00, salle d'animation de la mairie de Metz-Tessy. Entrée libre, sans inscription. (voir affiche en PJ)

 

Au programme: présentation des espèces de mammifères, des méthodes d'inventaires, du projet d'Atlas et des outils participatifs qui permettront à tout un chacun de contribuer à cet ouvrage de référence.

 

Contact / informations: Christophe GILLES- christophe.gilles@frapna.org

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AG européeene de la CIPRA à ANNECY

11 Février 2014 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

Les ressources naturelles sont limitées. Y compris dans les Alpes. Nous devons en faire un usage parcimonieux et raisonnable.


Mais cela ne doit pas nous empêcher de bien vivre, au contraire, car avec notre créativité nous pouvons trouver des solutions qui respectent notre environnement. Parfois cela implique aussi de ne pas intervenir, de se « retirer », de ne rien faire.


A quoi ressemblent ces solutions, qui n’impliquent pas une consommation toujours croissante de la nature et de ses ressources?


Comment pouvons-nous amplifier et démultiplier les nombreux concepts et initiatives qui existent déjà en termes de sobriété et de gestion durable des ressources ?

 

Nous vous invitons à débattre et chercher des réponses à ces questions, parmi d’autres, lors de la conférence annuelle 2014 de la CIPRA sur le thème « des solutions créatives face à la raréfaction des ressources ».

 

Elle se tiendra du 13 au 15 novembre 2014 à Annecy.


Vous trouverez prochainement de plus amples informations sur www.cipra.org/fr/ca2014.


Nous nous réjouissons d'ores et déjà de vous retrouver à Annecy pour des débats passionnants !

 

Sincères salutations


L'équipe de CIPRA International et de CIPRA France

www.cipra.org   www.cipra.org/fr/CIPRA/cipra-france

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Quelques images d'outre Rhône

4 Février 2014 , Rédigé par Thierry BILLET Publié dans #Environnement

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Entre INNSBRUCK et la Vallée du STUBAITAL, ce train qui se transforme en tramway lors de ses arrêts dans la Ville et dessert tous les villages de la Vallée et les pistes de ski : ce qu'il nous faudrait entre ANNECY et le GRAND BORNAND.

 

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A INNSBRUCK, des hangards à vélo couverts à l'intérieur des cours d'immeubles.

 

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A SION, cette "zone de rencontre" piétons-voiture-bus limitée à 20 kilomètres/heure malgré la largeur de l'artère qui laisse facilement la place au croisement de voitures. La question de la qualité de l'air va nous conduire nécessairement à développer cette stratégie d'occupation de l'espace publique. Dommage que le passage en zone de rencontre n'ait pas donné lieu à des plantations plus fournies, mais il est vrai que les bus doivent se croiser.

Pour le "fun", le propriétaire de la Mercedes mal garée craignant une dénonciation est venu s'enquérir de mon but en prenant cette photo...

 



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